Accéder au contenu principal

Histoire fictive : une fille très spéciale 32

Episode 32 : Les bêtises de Sophie.

La journée commençait avec un temps merveilleux et Sophie se prélassait au lit, le soleil levant qui rentrait dans sa chambre donnait de jolis tons pastel à celle-ci. Elle n'avait pas envie de se lever. Elle avait rencontré Éric Dussot la veille, un homme charmant avec une autorité naturelle qui lui plaisait bien, et ça ne lui déplairait pas de se retrouver sur ses genoux. D'ailleurs, ça ne lui déplairait pas non plus de développer quelque chose de plus sentimental, mais avec son propre caractère, cela lui semblait un rêve bien éloigné. Elle s'en voulait d'être ainsi. Comment quelqu'un pourrait-il l'aimer ? Ils devaient se revoir au bar dans l'après-midi. Elle angoissait un peu à l'idée qu'il puisse refuser de la cadrer sur la durée et au quotidien. Pourtant, elle en avait besoin, elle devait bien l'admettre, et seules des fessées bien sévères la feraient rentrer un peu dans le rang. Elle n'aimait pas les fessées, ça faisait mal et c'était humiliant mais elle était consciente que ce n'est que de cette manière qu'elle évoluerait dans le bon sens et dans le sens de ses intérêts. Ces pensées finirent par la tirer du lit. Sans même s'habiller, elle petit-déjeûna nue et fit son ménage dans cette tenue. De mémoire de Sophie, il lui semblait que finalement, elle n'avait jamais reçu de vraies fessées jusqu'à celle de Luc quelques jours plus tôt. Finalement, son ex ne l'avait jamais fessée vraiment sévèrement. Aujourd'hui, elle payait le laxisme de ce dernier. Elle se rendait compte que c'était sa plus grosse erreur et que ça a engendré une situation dont elle a du mal à se sortir.
Après le repas de midi, elle décida enfin de s'habiller. Il faisait chaud et une jupe courte, ça serait parfait. Une culotte sage irait très bien, juste au cas où et un tee-shirt léger compléterait sa tenue. Elle sortit de la maison et se dirigea vers le bar où elle et Eric devaient se rencontrer.
Elle n'eut même pas besoin de rentrer dans l'établissement car elle le croisa sur le chemin. 
"Bonjour Sophie, salua Éric, pouvons nous marcher un petit peu ?
- Bonjour Éric. Oui, bien sûr..."
Ils marchèrent un moment ce qui les firent s'éloigner du village sur un des chemins de montagne...
"J'ai réfléchi à votre proposition, commença Eric. Il va sans dire qu'il m'a fallu un moment pour prendre une décision tant votre comportement passé était exécrable.
- Je suis désolée, Eric.
- Taisez-vous et laissez-moi finir ! Si j'accepte, vous devrez m'obéir au doigt et à l'œil, je ne vous laisserai rien passer, et tout écart sera sévèrement puni. Vous commencerez par faire un séjour de quinze jours chez moi, pour voir comment ça se passe entre nous deux et pour commencer à vous remettre dans le droit chemin. J'ai téléphoné à Luc ce matin. Je le connais assez bien et je lui fais confiance. Il m'a raconté votre dernière bêtise et le deal qu'il a passé avec vous. Si j'ai bien compris, vous ne souhaitez pas quitter le village, c'est bien ça ?
- Oui, Eric.
- Ce sera Monsieur, jusqu'à nouvel ordre, Sophie !
- Bien Monsieur.
- Dans ce cas, je suis prêt à vous aider. Mais sachez que vous allez vous retrouver très souvent sur mes genoux les fesses à l'air car à la moindre bêtise, vous recevrez une très bonne fessée. Vous acceptez mes conditions ?
- Oui, Monsieur, je n'ai pas le choix si je veux pouvoir rester au village.
- Bien, c'est une bonne décision. Il est temps alors que vous découvriez ce à quoi vous vous exposerez en cas de bêtises. "
Il attrapa Sophie par le bras, il s'assit sur une énorme pierre qui était sur le chemin, il bascula Sophie sur ses genoux sans ménagement, lui relèveva sa jupe et lui baissa sa culotte sans attendre. Sophie n'eut pas le temps de réagir que les claques tombaient déjà fortement sur ses fesses. Il n'y allait pas de main morte. La fessée de ce type valait largement celle de Luc. Elle en pleurait déjà alors que ses fesses rougissaient à vue d'œil. Il allait falloir filer droit avec lui ! Là encore, on était à mille lieues des fessées de son ex. Elle suppliait pour qu'Eric arrête cette pluie de claques plus fortes les unes que les autres. Celui-ci s'arrêta et la fit se relever.
"Enlève ta jupe et ta culotte ! Lui ordonna-t-il.
- Noooon, s'il vous plaît..."
Deux claques monumentales sur ses cuisses eurent raison des protestations de la jeune femme. Elle enleva sa jupe et sa culotte. Eric les prit et les mit de côté, hors de portée de Sophie qui se retrouva tout de suite après à nouveau sur ses genoux. La fessée reprit dans la foulée. Sophie criait et pleurait tout ce qu'elle pouvait. Ça, c'était une vraie punition dont elle se souviendrait longtemps. Quand la fessée cessa enfin, elle promit qu'elle serait sage dorénavant. Il l'a releva et la fit asseoir précautionneusement sur ses genoux. 
"J'espère que tu as bien compris la leçon car désormais, ça se passera comme ça pour chacune de tes bêtises.
- Oui, Monsieur, répondit-elle en mouchant et hocquetant.
- Bien, tu vas rentrer dans cette tenue au village, tu vas prendre quelques affaires et me rejoindre chez moi. Je veux que tout le monde au village sache que désormais, tu es prise en main et que si tu fais des bêtises, c'est à moi qu'il faudra venir s'adresser. C'est compris ?
- Oui, Monsieur.
- Bien, allez, on y va, maintenant."
Avant de la libérer, il lui fit un câlin et un bisou sur la joue. Elle apprécia le geste, se leva et se mit en route, les fesses à l'air bien rouges. Personne ne pouvait ne pas comprendre. En traversant le village, elle s'attendait à ce qu'on se moque d'elle ou tout au moins à des réflexions de la part de celles ou ceux qu'elle croisait inévitablement. Il n'en fut rien. Les regards qu'elle pouvait croiser étaient plutôt dans la compassion et dans l'encouragement car tout le monde dans ce village connaissaient les bienfaits d'une bonne fessée. En observant ces réactions, elle avait les larmes qui lui montaient aux yeux. Elle avait toujours cru qu'on la jugeait et ce n'était pas le cas. Alors en larmes, elle réfléchit et intérieurement demandait pardon à tous ces gens avec qui elle avait pu être odieuse.
Toujours les fesses à l'air, elle prit quelques affaires chez elle tandis qu'Eric l'attendait et ressortit le rejoindre. Il l'accompagna jusque chez lui. Il lui montra où poser ses affaires et l'invita gentiment à s'asseoir au salon. Elle resta un moment silencieuse n'osant ouvrir la bouche sans la permission d'Éric.
"Tu as certes les fesses à l'air, mais tu peux parler, tu sais ? La rassura-t-il.
- Pardon, Monsieur, je réfléchissais...
- Et quel est donc l'objet de tes réflexions ?
- Je me suis très mal comportée avec beaucoup de gens au village et je m'en veux. J'étais en train de me demander comment je pouvais réparer ça ou tout au moins donner la possibilité à ces gens de me punir pour ça afin d'être pardonnée et de pouvoir repartir du bon pied dans ce village.
- Je vois que la fessée est bien plus bénéfique sur toi que ce à quoi je m'attendais...
- J'ai réfléchi à beaucoup de possibilités, mais je crois que j'ai une idée même si je vais sans doute le regretter très fort après coup.
- Exposé-moi ton idée.
- Je voudrais faire une sorte de réunion publique dans une salle et offrir à chacun et à chacune à qui j'ai fait du mal la possibilité de me donner une bonne fessée, ce qui ne serait que justice, finalement, et ainsi faire amende honorable auprès de chacun d'eux.
- Ça pourrait s'organiser, dit Éric, mais je ne te laisserai pas te faire punir injustement ou trop sévèrement. Donc je te propose une autre solution : je vais passer un appel pour que ceux qui se sont sentis offensés par ton attitude se fasse connaître. Tu iras alors rencontrer chacun d'eux et chacun décidera s'il souhaite te punir ou non. Je serai présent afin qu'il n'y ait aucun abus. Et pas plus de cinq par jour, il faut que ça reste supportable. Qu'en penses-tu ?
- C'est une bonne idée, je suis d'accord. Je dois assumer mes bêtises et elle doivent être réparées d'une façon ou d'une autre, même si je dois pleurer toutes les larmes de mon corps.
- Je savais que tu avais un bon fond. Il fallait juste quelqu'un pour te guider.
- Je risque de passer un certain temps sur vos genoux."
Eric s'approcha de Sophie, il la prit dans ses bras et lui fit un tendre câlin. Étonnamment, elle se laissa complètement aller. Elle se sentait bien dans les bras de cet homme, même mieux qu'autrefois dans les bras de son ex. 
Eric appela le responsable du comité afin de rédiger l'appel et il serait affiché sur la porte de ce qui tenait lieu de mairie. Au bas de la feuille, chaque personne concernée était invitée à se présenter chez Éric.
"Bon, voilà, dit-il, c'est fait. Maintenant voici ce qu'il va se passer : tu recevras systématiquement une fessée le matin et une le soir, quoiqu'il arrive dans la journée. Ensuite, tu vas participer à la vie du village, pas question que tu restes dans l'oisiveté. Je vais voir ce que je peux te trouver, et tu auras intérêt à avoir une conduite irréprochable, sinon, je te garantis de très mauvais moments à passer ! On est bien d'accord ?
- Oui, Monsieur.
- Autre chose : jusqu'à nouvel ordre, quand tu es à l'intérieur de la maison, tu ne porteras aucun vêtement en dessous de la ceinture. Je veux avoir tes fesses à disposition en permanence. Tu seras autorisée à porter une culotte pendant tes règles par sécurité. C'est bien compris ?
- Ooooh ! Fit-elle au bord de la défaillance. C'est trop sévère !
- Tu peux aussi reprendre tes valises, rentrer chez toi et attendre qu'on te demande de quitter le village...
- Oh mais nooon ! D'accord, je ferai ce que vous voulez.
- Bien ! Dans ce cas nous allons pouvoir avancer ensemble. Tu peux aller ranger tes affaires dans ta chambre." lui dit-il en lui indiquant l'endroit. C'est donc les fesses encore bien rouges et douloureuses que Sophie se dirigea vers la chambre et y installa ses affaires. La fessée d'Éric avait convaincue la jeune femme que c'était ce dont elle avait besoin et elle était prête à s'y soumettre chaque fois que nécessaire. De plus, cette fessée l'avait finalement soulagée d'un poids sur le cœur. En serait-il de même de celles qui allaient inévitable venir ?

A suivre... 

Commentaires

Enregistrer un commentaire

Les plus consultés

Histoire fictive : une fille très spéciale 1

  Préambule  : Ce récit est une pure fiction. Il ne saurait représenter ni mon vécu, ni mes fantasmes. C'est plutôt un exercice, un délire, parfois mené par mes côtés les plus sombres et les idées les plus noires. Il y aura de la fessée, bien sûr mais aussi du sexe et des pratiques plus déviantes et perverses. Toutefois mes personnages seront toujours majeurs et consentants dans leurs pratiques, c'est une ligne de conduite que j'ai adoptée depuis le début et je m'y tiens car c'est aussi ma ligne de conduite dans la vie réelle. Ce récit pourra choquer ou donner envie, je m'en moque, mais si vous le lisez, ne venez pas vous plaindre car vous êtes averti. Vos commentaires seront toutefois la bienvenue.  Évidemment, toute ressemblance avec des personnes ou des événements réels ne seraient que pure et triste coïncidence... Quoique triste... Ça reste à voir...  Ces précautions oratoires étant prises, me voilà donc parti à vous raconter l'histoire d'un jeune fi...

Histoire fictive : une fille très spéciale 9

Episode 9. "Le désir naît de la découverte, le plaisir naît d'un désir réalisé. Mais hélas, ce plaisir est éphémère, il faut donc le renouveler et le renouveler encore." (c'est de moi, oups !)  Julie dévorait littéralement Lisa et Luc des yeux. C'est presque comme si elle en était tombée amoureuse. Guillaume était fier d'accueillir le couple. Il ne connaissait Luc que par messages interposés, et pourtant, c'est comme si il le connaissait depuis des années. Il le considérait comme un mentor. Après tout, c'est lui qui avait eu la merveilleuse idée de ce village. Julie et Guillaume n'y étaient que depuis un an, mais s'étaient parfaitement intégrés à la communauté et étaient très appréciés. Julie était tellement absorbée par le corps merveilleux de Lisa qu'elle versa sa boisson sans regarder et évidemment le verre déborda. Guillaume jeta un regard courroucé à Julie qui s'empressa de nettoyer ses bêtises. "Voilà ce que c'est quand o...

Histoire fictive : une fille très spéciale 11

Episode 11. Ce matin là, Lisa et Luc faisaient leurs courses au village. Ils y virent Julie et Guillaume avec qui ils discutèrent un moment, puis ils continuèrent leurs emplettes. C'était lundi, chacun avait ses occupations, certains dans le village lui-même, d'autres en télétravail chez eux. Luc n'avait pas vraiment de nécessité financière à travailler, voilà pourquoi il s'était tourné vers le coaching. Toutefois, il envisageait enfin de vivre à l'année au village. Il revendrait sont appartement parisien à prix d'or ce qui le mettrait définitivement à l'abri du besoin pour le temps qui lui restait à vivre. Il ne savait pas encore s'il continuerait à faire du coaching, Lisa, en entrant dans sa vie, avait bouleversé pas mal de choses. À côté d'elle, il se sentait revivre rien que par sa présence. Faut dire que la demoiselle l'accaparait à plein temps. Mais il fallait qu'il se rende à l'évidence, il aimait vraiment beaucoup cette fille. Non...