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Histoire fictive : une fille très spéciale 1

 Préambule :

Ce récit est une pure fiction. Il ne saurait représenter ni mon vécu, ni mes fantasmes. C'est plutôt un exercice, un délire, parfois mené par mes côtés les plus sombres et les idées les plus noires. Il y aura de la fessée, bien sûr mais aussi du sexe et des pratiques plus déviantes et perverses. Toutefois mes personnages seront toujours majeurs et consentants dans leurs pratiques, c'est une ligne de conduite que j'ai adoptée depuis le début et je m'y tiens car c'est aussi ma ligne de conduite dans la vie réelle.

Ce récit pourra choquer ou donner envie, je m'en moque, mais si vous le lisez, ne venez pas vous plaindre car vous êtes averti. Vos commentaires seront toutefois la bienvenue. 

Évidemment, toute ressemblance avec des personnes ou des événements réels ne seraient que pure et triste coïncidence... Quoique triste... Ça reste à voir... 

Ces précautions oratoires étant prises, me voilà donc parti à vous raconter l'histoire d'un jeune fille très spéciale.


Chapitre 1: Le mail.

Luc Renan était un homme d'un quarantaine d'année passée, qui avait l'immense avantage de ne plus avoir à travailler pour gagner sa vie. Un héritage providentiel et un placement judicieux lui assuraient un quotidien confortable sans forcément être luxueux. Luc était célibataire et pour occuper ses journées, il souhaitait venir en aide à des personnes qui avaient des difficultés à gérer leur vie. Ce coaching (il préférait le mot de tutorat) le comblait car il avait le sentiment d'apporter quelque chose dont la société se fout royalement alors que les besoins existent. Il choisissait les personnes avec soin car il fallait au minimum que la personne veuille s'en sortir pour que cela fonctionne. Exprimer cette volonté ne lui suffisait pas, il fallait démontrer cette réelle volonté par des actes passés, même si cela avait conduit à des échecs.

Luc, par le bouche à oreilles, il ne faisait aucune publicité, même sur les réseaux sociaux, s'était forgé une solide réputation. C'était devenu le coach des cas désespérés. Lorsqu'on avait épuisé toutes les autres options, c'était lui qu'on finissait par aller voir, malgré ses méthodes que certains auraient qualifié de déplacées, d'archaïque, voire de torture. En effet, ses méthodes incluaient les châtiments corporels et principalement la fessée donnée sous toutes ses formes. Mais la méthode avait prouvé son efficacité et certaines des personnes qui avaient eu affaire à lui occupaient des postes importants au sein de la société, y compris politiquement et dans tous les courants politiques, de gauche comme de droite. Et chose étonnante, aucun ne reportait ces méthodes sur ses enfants comme méthode d'éducation. Aucun, zéro. Comme quoi... Les idées reçues, hein ?

Bref, cela fonctionnait bien pour Luc et l'essentiel de sa clientèle était féminine, quoique qu'il y ait quelques représentants de la gente masculine, et c'était tout aussi efficace. La période était très calme en ce début d'été. Les examens étaient passés, les résultats publiés et les sanctions pour les étudiants qu'il coachait avaient été exécutées si besoin avait été. Il pouvait donc se prélasser dans son fauteuil sans aucune tâche à accomplir.

Ce matin là, en allumant son ordi, un mail étrange attira son regard :

"Bonjour Monsieur,

Je m'appelle Elizabeth, mais je préfère Lisa. J'ai 25 ans et je suis actuellement employée administrative. J'ai entendu parler de vous par une amie. Elle m'a dit que vous seriez en capacité de répondre à mes besoins. Je ne suis pas sûr qu'elle ait raison tant je suis quelqu'un d'assez difficile à comprendre. Toutefois, n'ayant pas trouvé d'alternative à ma convenance, je me tourne finalement vers vous. Comme cela risque d'être compliqué de tout expliquer dans ce mail, pourrions nous convenir d'un rendez-vous, chez vous de préférence ?

Merci de prendre en compte cette demande alors que vous ne savez pas encore pourquoi je vous sollicite. 

En attente de votre réponse, 

Respectueusement, 

Lisa."

Luc réfléchit quelques minutes et se dit que ça ne coûtait rien de la rencontrer et que cela pourrait égayer ses vacances puisqu'il n'avait plus personne en ce moment. Les demandes n'arriveraient à nouveau qu'en octobre, au mieux. Il fixa donc un rendez-vous pour le lendemain même à dix heures du matin. Il saurait ainsi si sa demande est sérieuse ou si c'est juste une curieuse.

Le lendemain, à l'heure dite, on sonne à la porte de Luc Renan. Celui-ci va ouvrir et découvre une jeune fille assez jolie d'un petit gabarit, elle devait mesurer tout au plus un mètre cinquante cinq et ne devait pas peser plus de cinquante kilo. Mais elle était bien proportionnée, brune avec des yeux d'un marron intense. Elle portait un short assez court, sans être vulgaire et un tee-shirt d'un vert pastel qui faisait ressortir une poitrine légère mais bien formée. Il était facile de deviner qu'elle ne portait pas de soutien-gorge.

"Bonjour, monsieur Renan. Je suis Lisa.

- Bonjour Lisa, je vous en prie, entrez, que nous puissions faire connaissance."

Luc invita Lisa à le suivre dans son salon et lui proposa de s'asseoir sur le canapé et lui proposa un café qu'elle accepta volontiers. Il prit une chaise et s'installa en face d'elle.

"Que puis-je pour vous, Lisa ?

- Hum, vous pouvez me tutoyer, je préférerais. Il faut que je vous parle un peu de moi. Au travail, je suis quelqu'un de sérieuse et d'appliquée. Ma hiérarchie n'a que peu de remarques à me faire et cela se passe bien avec mes collègues. J'ai aussi décidé de reprendre des études, en droit notamment, pour devenir avocate. Je fais ça avec le CNED car je peux ainsi travailler à mon rythme dans une certaine mesure. Mais dans ma vie privée... C'est... Chaotique et je reste polie. J'ai vraiment besoin de quelqu'un qui me cadre très strictement. J'ai essayé plusieurs tuteurs mais ils ont échoué ou abandonné car j'ai besoin d'un suivi permanent. En fait, il me faudrait un tuteur à domicile qui soit tout le temps derrière moi. Mais je n'en ai pas trouvé. L'autre solution, serait quelqu'un qui me prenne un certain temps chez lui et qui m'apprenne à gérer mon quotidien. Une sorte de stage, quoi. Mais là aussi, mes recherches, jusqu'ici n'ont pas abouti.

- Dans quelle mesure ta vie quotidienne est-elle chaotique, comme tu dis ?

- Dans tous les domaines sauf professionnelle. Et encore, je pense que je pourrais m'améliorer, là aussi. Côté privé, j'ose difficilement en parler tant j'ai honte... Mon appartement est dans un désordre innommable, je ne fais pas le ménage ou vraiment le minimum, je ne fais la vaisselle que quand je n'en ai plus de propre, et je ne prends soin de moi que quand je commence à sentir mauvais. Bref, c'est n'importe quoi. J'ai vraiment besoin d'un recadrage strict et ferme.

- Je vois. Qu'attends tu de moi ?

- Votre aide... Que vous me repreniez en main... Que je puisse retrouver une vie décente. Je n'ai plus d'ami car je n'ose pas inviter. Ni de petit copain car qui voudrait de moi comme ça ? Je suis en train de me déssociabiliser. Comment je peux envisager une carrière d'avocate ainsi. Je ne serai jamais crédible. Je suis une merde, là !

- Je vois que le problème est grave, effectivement. On t'a parlé de mes méthodes ?

- Vous voulez dire pour la fessée comme punition ? Oui, et c'est précisément pour ça que je m'adresse à vous. J'ai déjà eu des tuteurs-fesseurs mais pas assez stricts ni assez sévères pour me faire progresser. Et puis, j'ai besoin qu'on soit tout le temps derrière moi. Je dirais vingt quatre heures sur vingt quatre. Je comprendrais si vous refusiez.

- Pour le moment, je n'ai rien dit de tel. Parlons de la fessée, comment la vis-tu ?

- C'est là le noeud du problème, monsieur Renan. J'aime être fessée, ça m'excite et ça me fait même jouir. Je dirais que la plupart des fessées que j'ai reçues ont été inefficaces car ça n'a pas été assez désagréable. Je ne dis pas qu'elle ne me font pas mal sur le moment, je pleure tout le temps pendant une fessée mais finalement, j'aime ça.

- As-tu déjà eu une fessée vraiment sévère ?

- Je ne sais pas. J'ai eu mal parfois, oui.

- Au point de ne pouvoir t'asseoir quelques heures, voir quelques jours ?

- Pas que je me souvienne... J'ai toujours pu m'asseoir même si c'est inconfortable.

- Bien. Je vais y réfléchir. Je te donnerai une réponse demain.

- Je préfère attendre ici que vous réfléchissez et que vous me donniez votre réponse."

Luc regarda Lisa d'un air sévère. Celle-ci comprit qu'il allait se passer quelque chose, mais sans savoir quoi exactement. Luc se leva de sa chaise et vint s'asseoir à côté de la jeune femme. Luc n'était pas très grand avec ses un mètre soixante quinze, ni très costaud, mais la différence avec les un mètre cinquante cinq de Lisa était telle que il en devenait impressionnant. 

"Quand je donne une directive, Lisa, j'aime assez qu'elle soit respectée. Il semble que tu n'aies pas encore compris cela. Alors, afin que tu saches comment je fonctionne, tu vas recevoir ta première fessée de ma part."

Cette déclaration fit l'effet d'une bombe dans la tête et le corps de la jeune femme. La chaleur lui monta aux joues et son excitation sexuelle grimpa d'un cran. 

"Attendez... Il faut que vous sachiez deux trois petites choses avant que vous me donniez cette fessée que je mérite, je l'admets.

- Lesquelles ? S'enquit Luc.

- J'ai des petits soucis d'ordre sexuels, ce qui jusqu'ici a rebuté nombre de fesseurs. Quand je suis excitée, et je vous l'ai dit, la fessée m'excite malgré moi, je....mouille énormément.... Et si j'atteins l'orgasme, ce qui arrive souvent, je...

- Tu t'inondes, c'est ça?

- Oui... Je suis désolée d'être aussi crue...

- Pour moi, ça n'a aucune importance. Et je ne suis pas sûr que la fessée que je vais te donner t'excite tant ça ! Lève toi et viens te mettre en face de moi !

- Ooooh.... Oui, monsieur."

Lisa s'exécuta et vint se placer face à Luc. Celui-ci déboutonna le short de la jeune fille. Il s'aperçut qu'il y avait déjà une tâche humide à l'entrejambe. Il allait falloir fesser très fort dès le départ pour convaincre Lisa qu'une fessée est une punition désagréable, ce qui n'était clairement pas le cas pour elle, au moins jusqu'à présent. Il lui baissa le short sans ménagement et le lui fit enlever. Il lui laissa sa culotte déjà bien mouillée. Il l'attrapa par le bras et l'allongea fermement sur ses genoux.

Contrairement à ses autres fesseurs, Lisa ressentit pour la première fois une véritable autorité ferme et impitoyable. Les autres jouaient avec elle, finalement. Pas lui. Allait-il la convaincre que c'est le bon ?

Elle n'eut pas le temps de répondre à la question. Des claques monumentalement douloureuse tombaient déjà sur ses fesses et la culotte ne présentait qu'une armure de papier. Ses fesses la brûlaient instantanément. Chaque claque la faisait hurler, ça ne lui était jamais arrivé. Elle se mit très vite à pleurer de douleur, suppliant Luc d'arrêter. En vain, les claques, toutes aussi fortes les unes que les autres continuaient à tomber. Ça faisait un mal de chien. Elle regrettait déjà de lui avoir tenu tête.

Lorsque Luc s'arrêta enfin, Lisa pleurait à chaudes larmes. Jamais elle n'avait eu de fessée aussi sévère et aussi douloureuse. Elle ne fut pas très longue mais pour sûr, très convaincante. 

"Si tu veux que je te tutore, il va falloir que tu commences par m'obéir. Chaque fois que ce ne sera pas le cas, tu recevras une fessée. Et celle que tu viens de recevoir n'est qu'un tout petit aperçu. Est ce que c'est bien clair ?

- Oui, monsieur, répondit-elle entre deux hocquettements. Pardon, monsieur, je suis désolée... "

Luc la redressa et la fit asseoir sur ses genoux. Lisa se blottit contre lui, la tête dans son cou. Il la laissa pleurer et se calmer progressivement. 

Une fois calmée, Lisa se rhabilla. 

"Je te rappelle demain pour te proposer quelque chose, Lisa. En attendant, rentre chez toi et réfléchis bien à ce que tu m'as demandé. Demain, ce sera l'heure du choix. Et sauf gros problème, tu ne pourras pas revenir en arrière.

- Oui, monsieur."

Luc la raccompagna jusqu'à la porte, mais avant de l'ouvrir et de la laisser partir, il la saisit par la taille la forçant à se pencher un peu en avant et lui mit une dizaine de bonnes claques sur le short.

"Ceci pour te rappeler qu'une fessée est une punition, pas une récompense ! À demain !"

Lisa sentit passer cette fessée à laquelle elle ne s'attendait pas. Luc avait gagné sur toute la ligne. La fessée ne l'avait pas faite jouir, elle avait été douloureuse et Lisa la voyait maintenant comme une vraie punition. Luc venait de prouver qu'il n'avait pas peur de lui faire suffisamment mal pour que ce soit efficace et c'est les yeux remplis de larmes qu'elle quitta l'appartement de Luc, en se frottant les fesses. Son amie avait raison, il était l'homme de la situation.


A suivre... Si l'histoire vous plaît... Donc allez-y  commentez, commentez encore... vous êtes mon soutien... N'oubliez pas.... 

Commentaires

  1. Très sympa ce début d'histoire, j'attends la suite avec impatience !

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  2. Marion fesses rouges15 août 2024 à 15:36

    Très sympathique cette histoire j'ai hâte de lire la suite

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  3. Très bon début, comme je le dis souvent, t'as pas le droit de arrêter là. Grrrr!!!! Vivement la suite...

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  4. La suite est en cours d'écriture puisque vous aimez...

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  5. Comme d'habitude super histoire avec une tournure comme j'aime. Vivement la suite

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