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Les aventures de Nina (3)

 L’ambiance fut lourde pendant le repas qu’avait préparé Nina. En dehors du strict minimum, Jack ne décrocha pas un mot. La soirée allait s’annoncer très longue, et la nuit encore plus, si cela ne se débloquait pas. Nina envisageait même d’aller dormir dans la chambre d’amis tellement elle avait honte de ce qu’elle avait fait. Une fois le repas terminé, Nina débarrassa la table et fit la vaisselle, c’était son tour, mais même si ça ne l’avait pas été, elle l’aurait fait. Elle n’avait qu’une envie, se faire  pardonner, mais elle ne savait pas comment.

Ils s’installèrent sur le canapé, là même où Nina avait reçu cette fessée magistrale quelques heures plus tôt. Ses fesses s’en souvenait encore de façon très présente. C’est la première fois où une fessée qu’elle reçut ne fut que douleur, sans plaisir. Elle était plutôt résistante, mais là, l’intensité était si grande qu’elle sentait ses limites approcher à grand pas. Elle espérait ne pas en vivre une autre aussi intense de si tôt. Il fallait qu’elle apaise Jack.

Ils regardaient une émission à la télé sans vraiment la regarder. Jack était impassible. Le bulletin de notes, le vrai, était toujours posé sur la table basse en face du canapé. Jack l’avait à peine regardé. Jack aimait profondément Nina. Il voulait la punir pour ce qu’elle avait fait, mais ça lui faisait mal. Cette histoire pourrait bien briser leur couple et il ne le voulait pas.

Nina, de son côté se sentait tellement coupable qu’elle se serait coupé un bras pour revenir en arrière. Mais c’était impossible. Elle n’était plus digne de lui. Elle ne le méritait plus. Elle se mit à pleurer doucement, de honte, de culpabilité et aussi de la peur de perdre Jack. Avec ce qu’elle avait fait, elle méritait de le perdre. Elle partirait si Jack le lui demandait. Ses pleurs se faisait plus intense, ce qui attira l’attention de Jack. Elle n’en pouvait plus.

Elle se jeta à genoux en face de Jack.

“Jack, s’écria-t-elle presque de désespoir, je suis désolée, je t’aime, ne me laisses pas comme ça, ne m’ignores pas.”

Jack la regarda dans les yeux et y vit une réelle détresse. Il ne pouvait pas la laisser comme ça. Il l’aimait. Ce qu’elle lui avait fait était grave, certes, mais pas au point de la laisser sombrer. Il approcha une main de sa joue qu’il caressa, et lui essuya les larmes. Elle posa sa tête sur ses genoux, à la fois pour sentir un peu de réconfort qu’en signe de soumission totale. Jack la fit se relever et la prit dans ses bras. Elle pleurait à chaudes larmes. Elle avait besoin de ses bras, de sentir son corps contre le sien, son odeur.

“Et si on regardait ce bulletin, finalement, le vrai, cette fois-ci ?” proposa Jack.

Nina se mit à rire en même temps qu’elle pleurait. Le trimestre, comme à son accoutumée, était excellent, encore mieux que les précédents. Nina aura son diplôme sans difficulté aucune. L’examen du barreau ne serait qu’une formalité, il en était sûr. Les appréciations des profs étaient dithyrambiques. Elle avait même réussi l’épreuve d’éloquence, ce qui n’était pas la matière où Nina se sentait le mieux, à cause de sa timidité naturelle.

“Tu sais, Nina, tu m’as fait beaucoup de peine. Pourquoi ?

– Je voulais que tu me punisses un peu pleus intensément que d’habitude. Il fallait que je trouve une raison pour que tu le fasses. Mais j’imaginais pas que mes études te tenaient tant à cœur. Je croyais pas que tu m’aimais à ce point que ma réussite professionnelle t’affecte autant. Je pensais que c’était juste un prétexte pour me discipliner.

– Tu es une idiote, Nina ! Une sacré nom de dieu d’idiote. Bien sûr que cela m’importe. Je vois les efforts que tu fais pour y arriver. Tu ne te contentes pas de la moyenne, tu veux être la meilleure. C’est pour ça que j’étais en colère, en dehors du fait que tu aies mis mon amour pour toi en doute. Cette fessée, tu l’as mérité en me jouant ce tour et tu la mérites encore.”

Nina en entendant cela eut le réflexe de se frotter les fesses encore bien douloureuse.

“Dis, tu vas pas…

– Si ! Tu vas avoir une fessée avant d’aller au lit. Je te fous la paix pour le moment, mais tu mérites cette punition n’est-ce pas ?

– Oui, Jack, dit-elle en baissant les yeux.

– Elle ne sera pas aussi intense, compte tenu de ce que tu as déjà pris, mais tu vas la sentir quand même passer ! En attendant, viens dans mes bras.”

Nina ne se fit pas prier et se jeta dans les bras de Jack. Mais elle pensait aussi à la fessée qu’elle allait recevoir sur ses fesses endolories. Même si cela serait moins dur, elle savait qu’elle allait encore beaucoup pleurer. Elle le méritait, elle le savait, ce n’était que justice. Elle ne chercha même pas à argumenter une défense, ce qui était un comble pour une future avocate. Au moins dormirait-elle dans le même lit que Jack, ce qui lui donna un peu de réconfort. Elle aurait eu du mal à supporter devoir dormir dans la chambre d’amis.

La soirée se passa dans les bras l’un de l’autre. Nina ne voulait rien perdre de cela. Quant à Jack, il prenait en pitié Nina, mais il savait qu’il devait la punir. Sinon, elle recommencerait, pas tout de suite, mais à un moment ça se reproduira. Il ne le voulait pas. La punition devait donc être mémorable, et avec Nina, ce n’était pas chose facile. Elle avait une forte tendance à oublier les punitions reçues.

“Va dans la chambre, Nina, et attends-moi.” L’ordre était simple, et clair. Nina se leva, regarda Jack avec des yeux lui suppliant d’être indulgent et s’en alla dans la chambre, sans autre mot ajouté, ce n’était pas le moment de protester. Elle se prépara pour la nuit. Elle avait l’habitude de dormir en nuisette avec ou sans culotte, dépendant de son humeur du moment. Compte tenu des circonstances, elle choisit sans, s’offrant ainsi à Jack sans détour. La nuisette lui couvrait seulement la moitié des fesses, encore bien rosées. Au cours de la soirée, la douleur s’était bien atténuée. Elle pensait pouvoir supporter cette nouvelle correction. Elle entra dans la chambre et s’assit sur le lit sur ses genoux, jambes légèrement écartées. Cela rendait Nina très sexy, cette position. Elle espérait que ça ne rendrait pas Jack insensible. Et Jack ne l’était pas. Il entra dans la chambre à son tour. Il regarda la jeune fille et cela le troubla un instant de la voir ainsi, comme à chaque fois qu’elle faisait ça. Mais il faisait tout en cet instant pour cacher ses émotions. Il s’assit sur le bord du lit.

“Nina, tu sais ce qui va arriver. Viens et penche-toi sur mes genoux.” Celle-ci s’exécuta à contre cœur, elle savait sans savoir. Et elle craignait cette nouvelle fessée qui allait arriver. Une fois installée sur les genoux de Jack, ce dernier releva la nuisette pour laisser les fesses totalement à sa portée. Il les caressa un moment. Il sentit Nina trembler autant de peur que de plaisir, elle adorait que Jack lui caresse les fesses. Mais ceci ne dura pas. La main de Jack quitta le postérieur de la jeune fille et se mit prête à faire son office.

Nina se trouvait sur le genoux de Jack, prête à recevoir sa fessée promise. Elle s’attendait à ce que ça fasse mal sur ses fesses encore rouges. La main de Jack s’abattit sur ses pauvres fesses, à un rythme soutenu. Nina fut surprise par la douleur ressentie, bien moins forte que ce à quoi elle s’attendait. Jack frappait moins fort, c’était sûr. Du coup, cette fessée en devenait excitante. Et c’est bien ce que recherchait Jack, qui, au bout d’une soixantaine de claques, s’arrêta et alla vérifier l’état de l’intimité de la jeune fille. Il ne fut pas déçu, elle était bien mouillée. Il décida donc de continuer, juste un peu plus fort. Nina quoiqu’en larmes, ça faisait mal quand même, sentait son plaisir monter inexorablement. Et ce qui devait arriver arriva, au bout d’une centaine de claques, elle explosa dans ses sanglots, elle jouit très intensément et inonda les genoux de Jack dans la foulée, ce qui était assez rare, mais c’était pas pour autant la première fois que ça arrivait. Jack arrêta la fessée, estimant qu’elle en avait assez eu pour la soirée. Elle avait les fesses bien bien rouges. “Va te mettre face au mur, les mains sur la tête”. Elle se leva pour aller face au mur mais ne put s’empêcher de faire un gros câlin à Jack avant et de lui souffler dans l’oreille entre deux sanglots “Merci, mon amour.” et elle alla se mettre en position, en attendant que Jack la libère selon son bon vouloir. Ce qui arriva dix minutes plus tard. “Viens te mettre au lit, ma chérie. Viens te reposer dans mes bras.” Elle sut alors qu’il lui avait pardonné. Elle  sut alors combien il l’aimait. Elle s’endormit dans ses bras le corps et le cœur apaisé. Demain serait un autre jour. Elle finissait par attendre ce qui allait se passer avec une certaine envie. Jack adorait quand sa chérie s’endormait telle une enfant dans ses bras. Il avait alors une infinie tendresse pour elle.

Le soleil se levait à peine en ce samedi matin lorsque Jack se leva discrètement sans réveiller Nina qui dormait comme un bébé. Il faut dire que la veille avait été éprouvante. Jack sortit de l’appartement pour acheter des croissants, du pain et le journal. Quand il rentra, il commença à préparer le petit déjeuner. Pendant que le café passait doucement dans la cafetière, il entreprit de lire un peu le journal. Comme tous les jours, le COVID y occupait une grande place parmi des nouvelles moins importantes. Le café était juste prêt lorsque Nina fit son apparition dans le salon-salle à manger, où ils avaient l’habitude de prendre leur petit déjeuner. Nina était encore toute ensommeillé et n’avait même pas pris la peine de revêtir une robe de chambre. Sa nuisette recouvrant à peine ses fesses offrait un spectacle très agréable à Jack. Nina était un beau brin de fille, et les collègues de Jack en était envieux. Nina vint embrasser Jack et s’assit sur une des chaises en face de Jack. Sur la table, ce dernier avait posé les croissants, un grand pichet de jus d’orange et diverses petites choses pour agrémenter le petit déjeuner. Une fois le café servi, Nina et Jack mangeaient avec entrain en se regardant de temps en temps et se souriant d’un air complice, comme si ce qui s’était passé la veille n’était jamais arrivé. Mais ni Jack, ni Nina n’avait oublié ce qu’il devait se passer aujourd’hui et jusqu’à ce soir. Nina appartenait à Jack et ce dernier pourrait la fesser toute la journée sans prévenir et selon son bon vouloir. Nina espérait que cela n’arrive pas trop souvent, et que ce ne serait pas trop sévère. Mais elle le méritait, elle le savait et n’avais pas l’intention de supplier Jack pour échapper à cette punition peu ordinaire. Le fait même de ne pas savoir quand cela allait arriver, ni combien de fois, n’était pas pour déplaire à Nina. Cela l’excitait un peu même. C’était une sensation nouvelle.
Ils avaient terminé leur repas matinal, Nina débarrassa la table et entrepris de faire la vaisselle. Alors qu’elle avait presque fini, Jack se positionna derrière elle et lui chuchota “Ne bouges pas !”. Il releva la nuisette et commença à claquer fermement les fesses de la jeune fille qui se mit à gémir : “Jaaack, nonnn, s’il te plait….Aaaailleuh…ça fait maaal !”. En fait, Jack ne tapait pas si fort, mais il le faisait rapidement, ce qui chauffait bien les fesses de Nina. Et puis il s’arrêta. “Finis la vaisselle et vas t’habiller, uniforme scolaire pour aujourd’hui.” Nina savait ce que ça voulait dire. Elle n’en n’avait pas fini de prendre des fessées. La première fut très supportable, presque agréable, mais elle savait que cela ne durerait pas.

Nina se rendit dans la chambre, et prit dans l’armoire un petit chemisier blanc. La tenue imposée par Jack signifiait pas de soutien gorge. Mais la poitrine de Nina était suffisamment ferme pour ne pas vraiment en nécessiter. Elle choisit une culotte blanche, imposée par la tenue, c’était une culotte taille basse, mais enveloppant quand même les trois quarts de ses fesses. Ce qui était le minimum requis par la tenue. Elle choisit la jupe de la tenue, bleue nuit, plissée à souhait, pas de fermeture éclair mais taille élastique. Ainsi, elle était plus facile à faire tomber et pouvait même tenir à mi-cuisses pour peu que la jeune femme écarte un peu les jambes. Il lui manquait que la petite cravate bleue par dessus le chemisier et elle serait prête. Elle n’en eut pas le temps. Jack l’avait rejoint dans la chambre sans bruit, la saisit par surprise, la bascula sur un de ses genoux et lui baissa la culotte sans ménagement. Une longue volée de claques bien fortes, vinrent atterrir sur le fessier de la jeune fille désemparée. Ça faisait très mal et Nina se mit à pleurer très vite. La fessée ne dura pas très longtemps mais elle était très intense. Une fois terminé, Jack jeta littéralement Nina sur le lit, et sortit de la chambre sans mot dire, laissant là la jeune fille seule et en pleurs. La journée allait être longue se dit Nina, très longue et très éprouvante. Une fois calmée, elle remonta sa culotte, finit de mettre sa petite cravate et se posa cinq minutes sur le lit avant de rejoindre Jack.

“Tu m’as pas loupé, lâcha-t-elle, boudeuse.

– Je ne t’ai jamais dit que cette punition serait une partie de plaisir, Nina, précise-t-il.

– Tu m’as fait très mal, rétorqua-t-elle.

” C’est fait pour !” Fin de la discussion. Elle n’insista pas, elle n’avait pas envie d’en reprendre une autre tout de suite. Et effectivement, pendant presque une heure, ce fut le calme plat.

Ils étaient assis sur le canapé tous les deux, Nina à la droite de Jack. Elle profitait de ses bras en regardant un DVD. Le générique de fin apparaissait à l’écran. Jack tira soudainement Nina pour la faire atterrir sur ses genoux. La jeune femme tenta de protester mais avant même qu’elle eut fini de supplier Jack, elle avait la jupe relevée et la culotte à mi-cuisses et les claques tombaient rapidement, de plus en plus fortes, Nina n’en pouvait plus et criait tout en pleurant, suppliait Jack d’arrêter mais il n’en fit rien tant que ses fesses n’arborerait pas un rouge vif. Cela ne prit pas très longtemps. Il stoppa la fessée, Nina se laissa glisser au sol prise de spasmes tellement elle pleurait. Si la journée continuait comme ça, elle ne tiendrait pas le choc longtemps. Au bout d’un moment, Jack l’aida à se relever et la prit dans ses bras pour la consoler. Mais cette fessée là lui avait fait vraiment mal. Elle boudait. Et Jack n’aimait pas ça, elle le savait, mais c’était plus fort qu’elle. Elle se faisait violence pour pas bouder car si Jack s’en apercevait, elle pourrait faire ses bagages. Et elle préférait que Jack l’estropie plutôt que de quitter Jack. Elle pourrait mourir pour lui. Elle lui avait confié sa vie, au sens littéral du terme. Elle s’en fichait qu’il l’a blesse. Ce qui n’arriverait jamais, elle le savait aussi. Jack pouvait être adorable, un vrai nounours. Mais quand il revêtait son costume disciplinaire, il pouvait être terrible. Elle avait juste sous-estimé le sens du mot terrible. Elle l’apprenait durement mais sûrement aujourd’hui. Que cette journée allait être compliquée pour elle. Elle regrettait vraiment sa connerie, il n’y a pas d’autres mots. Elle aurait mieux fait de se casser une jambe le jour où elle a eu cette idée de falsifier son bulletin de notes. Même le gamin le plus demeuré sait qu’il ne faut jamais faire ça. Ben apparemment elle est plus demeurée que le plus demeuré des gamins.

“Tu sais très bien pourquoi tu en es là, Nina, dit Jack.

– Oui, mon chéri, répondit-elle entre deux sanglots.

– Je suis obligé de faire ça pour que jamais, jamais, jamais cela ne se reproduise. Cette journée, que j’aurai préféré passer avec toi à se balader, je veux que tu t’en souviennes toute ta vie ! Et ce sera le cas, je te le garantis.”

Ses mots étaient durs, cinglants, comme une sentence ne supportant pas d’appel. Nina pleura de plus belle. Elle savait qu’elle n’avait aucune excuse, aucune circonstance atténuantes, elle ne pouvait pas implorer sa pitié car elle ne l’a méritait pas. Terrible était le mot juste. Pour décrire sa punition, mais surtout pour décrire ce qu’elle avait fait à Jack. “Va dans la chambre et reposes-toi une heure ou deux.” Nina ne se le fait pas dire deux fois, ces fessées l’avaient tout simplement épuisée. Et puis deux heures, c’était deux heures de gagnées dans la journée. C’était non négligeable.

A SUIVRE...

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