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Un coaching tant désire (4)

 Mardi 19 octobre 2021


La date que j'attendais tant était enfin arrivée. J'allais rencontrer Lucie pour de vrai. J'étais impatient et stressé comme d'habitude. Je trouve le lieu de rencontre devant sa fac assez facilement et par chance je trouve à me garer à quelques mètres de là. Je continue à pied et arrive devant l'entrée. Lucie m'informe qu'elle va avoir un peu de retard à la sortie de son cours. Elle finit par sortir, et je guette son visage. Elle sort avec sa meilleure amie. Elle lui dit au revoir et me serre dans ses bras. Je suis super heureux de ce geste, la rencontre commence bien. Nous nous dépêchons à rejoindre le restaurant italien qu'elle a choisi, afin de ne respecter au maximum l'heure de son repas. On est bon à cinq minutes près. 

Nous parlons de choses et d'autres, nous apprenons enfin à nous connaître en face à face. Je passe un merveilleux moment avec elle. Toutefois, en arrière plan, je ne peux m'empêcher de penser à ce qu'il va se passer dans l'après-midi. Il y a un certain nombre de contraintes que je ne maitrise pas et cela ne me rassure pas quant à la suite des évènements. Le lieu où doit se dérouler la séance est un appartement HLM pas très bien isolé phoniquement. Je ne voudrais pas qu'un voisin rameute la maréchaussée. Cela va fortement influer sur le déroulement de la séance. La deuxième chose que je ne maitrise pas pour le moment, c'est le seuil de tolérance de Lucie. Enfin, la troisième chose sur laquelle je me pose des questions est ma propre endurance. 

Le repas se termine dans la bonne humeur et nous repartons vers l'appartement, situé assez loin de notre lieu de repas. N'étant plus familier de la région parisienne depuis un bail, je mets du temps à arriver à destination. Nous finissons par entrer dans l'appartement. Il y fait très chaud, et il n'est pas très grand.

Lucie et moi nous mettons à l'aise, et je commence à parler du bilan. J'ai noté toutes les punitions sur mon téléphone. Je commençais par la première, le mensonge à Hugo, j'avais prévu quatre minutes de fessée à main nue, déculottée et debout. Je m'attendais à ce qu'elle accuse un peu le coup. J'ai clairement sous-estimé la jeune fille. La fessée fut désagréable, certes, mais pas autant que je l'espérais. En plus je m'inquiétais vraiment du bruit et j'étais à l'affût des réactions des voisins. En conséquence je n'appliquais pas les temps de fessée prévus. Bref, rien ne fonctionnait comme je voulais. Je guettais aussi les réactions de Lucie. Elle chouinait un peu, mais beaucoup par comédie. Je le savais, mais encore une fois, je n'osais pousser le choses pour le moment.

Deuxième épisode, la fessée pour tchip. Clairement, je n'aime pas ça. Je décidais de prendre la raquette de ping pong. Là aussi, j'ai sous-estimé Lucie, qui accusa les coups, donnés sur sa robe (épaisse, il est vrai) comme une promenade de santé. J'étais extrêmement déçu. Je décidais alors d'agir autrement. Je voulais qu'elle sache qui commande. Je lui posais donc la question une première fois. La petite effrontée me répondit que c'était elle. Je la déculottais et entrepris de la fesser à la raquette de ping pong. Re-questionnement, même réponse. Ok. Je laisse tomber la raquette et prends mon martinet. Un premier coup tombe, question, pas de réponse. Un deuxième coup tombe à nouveau, toujours pas de réponse. Elle cède au troisième coup, même si je sais que c'est loin d'être sincère, je lui ai tout de même fait dire.

Pour des raisons de bruits, je décide de ne pas appliquer la fessée prévue pour les excès de vitesse, je craignais les voisins. En fait, en ce lieu, je ne me sentais pas à l'aise du tout, ça a complètement faussé la séance que je prévoyais. J'étais hors de moi, à l'intérieur. Mais je devais faire avec, question d'amour propre. Après un petit moment, j'envoyais Lucie au coin, mais elle s'était rhabillée. J'aurais du la punir pour l'avoir fait sans mon autorisation. Erreur de ma part qui va me coûter cher au final. Comme elle est récalcitrante, je lui assène quelques coups de strap sur ses vêtements. J'en ai eu marre et je la redéculotte (une fois de plus) pour lui remettre quelques coups de strap et de martinet qui finit par rendre l'âme ! Décidément, aujourd'hui, rien ne fonctionne comme je veux, je suis furax contre moi-même.

Bon, je passais à la fessée pour insolence. Toujours à cause de la peur du voisinage, j'avais prévu initialement quinze minutes, mais n'en mis réellement qu'une. C'est pourtant la première où je sentis Lucie sincèrement accuser le coup. Intéressant.

Avec tout ce que je lui avait déjà mis je pensais qu'elle commencerait à réfléchir. Je me trompais lourdement. Il fallait que je change de stratégie et rapidement. D'autant que Lucie me fit part de ses doutes. Il fallait que j'agisse. Je repris son bilan et on parla de ses devoirs qui n'étaient jamais fait. Je décidais d'utiliser ce point pour réellement montrer de quel bois je me chauffe.

Mais avant cela, j'avais besoin de lui montrer que c'était moi le patron. Je lui dit qu'elle allait finir par m'obéir. Elle ne voulait rien savoir, je la retirais vers la chambre et lui reposais la question : "Qui décide , Lucie ?

- Moi !" me répondit-elle. Elle m'énerve quand elle fait ça ! Je lui descends ses vêtements au chevilles et lui assène une première fessée. Elle n'eut pas le cran de répondre, cette fois. Ce n'est pas pour ça qu'elle céda. Une deuxième, trois, quatre, cinq, sans résultat probant. Bon ok. Je décide un baroud d'honneur, je lui mouille les fesses et entame une première fessée ainsi. Elle accuse le coup mais ne cède toujours pas. Deux, trois. Trois fessées mouillées pour qu'elle fasse semblant de rendre les armes. Je lui demande de le redire. Refus, re- fessée. Elle cède.

Je vais être honnête. A ce stade, je ne sais pas si je suis le tuteur qu'il lui faut. De sérieux doutes s'emparent de moi, et même à l'heure où j'écris, ces doutes n'ont pas totalement disparu. Mais ma motivation est intacte.

Après une pause au salon, je regarde mon téléphone à nouveau. Ah oui, les devoirs. Je demande à Lucie de baisser son legging. Elle refuse, je lui redemande, elle refuse à nouveau. Je la chope, l'oblige à s'allonger à plat ventre sur le lit et la déculotte manu militari. Je commence alors une fessée méthodique et très puissante. Cette fois, ça lui fait vraiment mal. Elle cède et elle me dit qu'elle fera ses devoirs. Enfin une petite victoire ! Je n'y croyais plus. Du coup j'en profite pour parler de son juron préféré. Je lui colle une fessée comme la précédente. Elle ne peut s'empêcher d'en lâcher un de plus, je lui en recolle une immédiatement. Et ainsi, plusieurs fois de suite. A un moment, je la passais sur un de mes genoux me laissant ainsi la possibilité de lui bloquer les jambes avec la mienne. Là aussi, elle n'apprécie pas. Je la fesse ainsi une bonne minute pour le coup. Il faut dire qu'au bout de cette minute là, ma main commence aussi à me brûler sérieusement. J'ai trop donné de claques pour rien dans cette séance. Et je le ressentais à cet instant. Mais la suite des évènements n'aura pas eu de pitié pour ma main. 

En effet, arrivé de nouveau dans le salon, des jurons (quatre) ressortent de sa bouche. Elle me provoque, une fois de plus. Mais cette fois j'ai compris. Elle va payer. Elle n'y crois pas. Je lui tire le bras, retour dans la chambre, redéculottage et je lui administre quarante bonnes claques et je la gronde en même temps. Elle n'aime pas ça, c'est sûr. C'est par cette dernière fessée que se terminera cette séance. 

Je suis loin d'avoir gagné la guerre avec Lucie. Rien n'a fonctionné comme je le souhaitais. En fait, à part quelques batailles remportées, pour moi cette séance a été un désastre désorganisé. Cela ne se reproduira plus jamais.

Le soir, nous partons manger dans un resto. A la fin du repas, nous rejoignons ma voiture. Lucie lâche un juron. Je décide d'intervenir, de lui montrer que j'irai jusqu'au bout. Je la retourne pour qu'elle se trouve dos à moi, lui soulève sa jupe et lui colle six claques sur le legging. Elle les sent passer malgré la protection de la culotte et du legging. Elle sait maintenant qu'elle peut en prendre dans n'importe quelles circonstances.

Je ne suis pas sûr que le message soit bien passé, mais bon...

Conclusion : pour moi, cette séance fut un désastre sans nom. Cela n'arrivera plus. Elle aura eu le mérite de me montrer comment aborder les choses. J'aurai appris. J'ai fait des erreurs, je les regrette car elles ont clairement mis en danger ce tutorat. Je ne les referai plus jamais. Lucie, au bilan, a gagné cette séance. Je compte bien lui faire perdre toutes les autres, sans exception, même si psychologiquement, pour le moment, elle a un petit avantage.


A suivre donc, et c'est dans pas longtemps.


Commentaires

  1. Une bien belle histoire que tu vis là. La réalité atteint certaines fictions, merci de nous la faire vivre avec toi cette réalité. J'espère que l'histoire aura un prolongement sur une vie commune et la mise en place d'une discipline domestique.

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    Réponses
    1. Bonjour Roi des Aulnes. Vous faites référence à l'histoire de Sarah (un tutorat inattendu) et non celle de Lucie aujourd'hui terminée en tant que tutorat.
      Merci pour le commentaire et votre intérêt pour les quelques histoires que je partage ici.

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