Premier Octobre 2021, 14:00
Je suis enfin prêt à partir, je rentre Negrita (ma petite chatte toute noire, elle est adorable), et je ferme la maison. Je monte dans ma voiture et démarre, direction : le lieu de rendez-vous quelque part dans la banlieue de Bordeaux. On est vendredi, et évidemment, il y a beaucoup de circulation en ce début de weekend. Heureusement que j'ai pris de l'avance. J'arrive sur la rocade et là, bien sûr, bouchons, pare-chocs contre pare-chocs ! Pfff ! quelle poisse ! Bon, ça finit par bouger et j'arrive à ma sortie. L'heure de rendez-vous approche. Je reçois un message de Sarah : "Je suis sur place, je t'attends". Eh merde, moi qui voulais arriver avant elle, c'est raté et j'aime pas ça.
Je finis par arriver (enfin) au lieu de rendez-vous, je la reconnais facilement. Elle m'avais envoyé une photo d'elle. Je gare ma voiture. Je sors et vais à sa rencontre. On se salue en se faisant la bise. Bonne entrée en matière. Je la sens super timide et stressée. J'essaie de la détendre. Il y a un café pas loin, nous nous y rendons pour faire plus ample connaissance. Elle prend un jus de tomate et moi un demi panaché.
Nous discutons de choses et d'autres avec parfois des allusions au tutorat, bien sûr. Nous sommes relativement isolés dans le bar, donc peu de risque d'être entendu. Toutefois, je sens la pression monter chez Sarah à chaque fois que j'aborde le sujet. Elle n'a pas vraiment peur de moi, mais a parfaitement conscience que ma main pourrait bien lui démontrer mon autorité. Mais elle est téméraire, et me provoque extrêmement discrètement. Je lui fait comprendre qu'elle prend des risques inconsidérés.
Nous restons une demi-heure environ et quittons l'endroit pour se rendre chez elle en tram, plus pratique que la voiture. Elle habite dans un immeuble récent, dans un T1 bis. Ce n'est pas immense mais il y a suffisamment de place pour une personne voire deux. Seulement voilà. Sarah a un très gros souci avec le rangement. Ce qui fait que même pour une personne seule, vu l'état de l'appartement, c'est compliqué. Je ne dis rien. Nous nous installons sur ce qui lui sert de canapé. Et nous abordons le tutorat et sa mise en place. Il manquait des items dans le premier tableau que j'avais fait, nous les rajoutons. Mais du coup, les objectifs que je lui donne sont stricts et elle me regarde à chaque fois en faisant la moue. Mais je ne lâche rien, sinon des broutilles. En fait je propose des objectifs plus durs que ce que j'attends vraiment, comme ça je laisse une marge à la négociation. Et nous passons aux choses sérieuses...
Je lui avais donné un objectif pour ma venue. Faire sa vaisselle en totalité. Elle avait déjà une fessée promise pour insolence répétées. Je regarde son évier... Une quantité énorme de vaisselle est dans l'égouttoir, non rangée et il y a la même quantité dans l'évier. C'est juste pas possible. Vu l'état de la pièce de vie, impossible d'officier sur place. Nous allons donc dans la chambre et là, bonne surprise, c'est rangé et le lit est fait. Cela fait du bien de voir ça. Un rideau cache la penderie en face de moi. Je place Sarah debout les mains sur la tête devant le rideau, ce sera son coin. Je l'y laisse un moment. Elle est toujours pleinement habillée. Au bout de deux ou trois minutes, je lui ordonne de se pencher sur mes genoux. "Tu sais pourquoi je te punis ? lui demandais-je.
- Oui, pour ne pas avoir fini la vaisselle que tu m'avais demandé. Me répond-elle d'une voix à peine audible.
- Bien, tu es prête ?
- Oui." arrivais-je à peine à entendre.
Je commençais donc à la fesser avec force et avec un bon rythme sur son jean pendant une bonne minute. Je sentais bien qu'elle accusait mes claques. Je la fis relever et la mis en face de moi. Je lui baissait alors son pantalon, mais lui laissait sa jolie culotte noire. Je la repenchais sur mes genoux et recommençais à la fesser sur sa culotte et un peu en-dessous. Elle commençais à bouger un peu plus. Je finis par lui baisser la culotte et lui donnais encore une minute de fessée intense. Une fois fini, je lui frottais les fesses un moment tout en lui demandant si elle recommencerait. Elle m'assura que non, je ne la crus qu'à moitié et lui balançait une bonne dizaine de claques supplémentaires. Je voulais que la fessée porte ses fruits. Puis je la fit remettre au coin toujours fesses nues et déjà bien rouges.
Je lui avait promis avant notre rencontre une fessée pour insolence répétées. C'était le moment de l'exécution de cette menace. "Tu sais pourquoi je vais te punir, maintenant ?
- Insolence ?" me répondit-elle avec sa voix toujours aussi inaudible. Je commençais à lui assener quelques bonnes claques debout, ce qu'elle n'appréciait pas au vu de ses mouvements d'évitement. Je la repris sur mes genoux pour une fessée assez intense quoique courte (deux minutes environ). Je voyais bien qu'elle faisait tout pour cacher ses quelques larmes. Pas franchement des pleurs, non, mais quelques larmes, je pense, elle s'arrangeait toujours pour les essuyer discrètement avant de me montrer son visage.
A la fin de cette fessée, je la prends dans mes bras qu'elle accepte bien volontiers pour la consoler. C'est un moment important pour moi comme pour elle. Nous restons un moment comme ça... Je lui parle un peu, la réconforte, lui rappelle aussi de ne pas recommencer. Mais là, elle me fait un sourire de défi qui voulait dire :"On verra bien.". Ayant parfaitement décodé son message, je lui demande si elle se moque de moi, et de nouveau, ce même sourire narquois. Du coup je la rebascule sur mes genoux. Je sens bien une petite résistance de sa part cette fois. Je recommence à la fesser assez fortement mais je fais gaffe, elle a les fesses bien rouges déjà avec des zones assez foncées. Je ne veux pas la faire saigner. Je la fesse ainsi pendant une bonne minute. Puis re-câlin, je sais que ça fait mal d'en prendre une sur des fesses déjà irritées. Après un moment je l'autorise à se rhabiller et nous retournons sur son canapé où nous discutons un peu. J'essaie de lui donner des outils pour l'aider dans sa gestion quotidienne.
Mais autant Sarah peut être une adorable petite fée, autant cela peut être une diablesse. Elle me provoque encore, je laisse faire une première fois, une deuxième, à la troisième, je dit stop, je l'attrape par le bras, retour la chambre, je la penche sur le lit, lui baisse jean et culotte et lui redonne une bonne fessée pour lui montrer que l'on ne me provoque pas sans conséquences. Une fois terminée, je lui demande si elle en assez eu, elle me dit que oui, elle a compris. Bon, re-câlin (je ne suis pas avare) et retour sur le canapé où nous passons un moment.
Mais il commence à se faire tard et je dois la quitter à regret car je l'aime bien et oui, c'est une fille agréable. Si seulement elle pouvait se discipliner un peu... Mais dans ce cas, ce tutorat n'aurait pas lieu d'être, n'est-ce pas ?
A SUIVRE
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