Lundi 4 Octobre 2021
Il arrive parfois que les choses ne tournent pas comme on le souhaite. Dans ce cas, la plupart du temps, il faut intervenir de manière démonstrative. On appelle cela un recadrage.
J'avais donné un couvre feu à Sarah. Celui-ci est fixé à minuit en temps normal. Samedi, nous discutons pas mal par texto assez tard. Comme je vois l'heure tourner et que c'est en partie de mon fait, je donne une heure de plus de liberté à Sarah avant son couvre feu ce qui le pousse à une heure du matin.
Le dimanche matin, avant son départ en famille , nous discutons un peu et elle m'apprend qu'en fait, elle s'est couchée à deux heures du matin la veille. Je ne peux laisser passer cela. Non seulement elle dépasse son couvre feu mais en plus elle se moque de moi. Je lui laisse passer la journée tranquillement en famille. Le soir, je la recontacte en lui disant qu'elle va payer pour s'être payé ma tête. Je décide qu'il faut qu'on se voie rapidement. Je propose (j'impose) lundi soir, puisqu'elle est à l'asso toute la journée. Cela tombe bien, lundi, je ne bosse pas et je vais en profiter pour voir ma mère l'après-midi.
L'après-midi se passe assez mouvementé car Lucie (voir "Un coaching tant désiré") a certains problèmes à gérer et nous passons une partie de l'après-midi au téléphone à en discuter. L'heure du départ de chez ma mère a sonné et je prends la direction de chez Sarah qui vient de m'avertir qu'elle vient d'arriver chez elle. Une heure et quart plus tard, je frappe à sa porte.
"Bonjour petite fée...
- Bonjour Yves, pas trop long la route ?
- Non, ça a été et j'ai pu me garer vraiment près de chez toi."
Nous discutons un peu, mais très vite j'aborde le sujet de ma venue : "Tu t'es franchement moqué de moi, tu ne crois pas ? commençais-je.
- Mais nooon, je finissais ma série !
- Quoi ? Tu t'es couché à deux heures du mat juste pour finir ta série.
- Oui, mais je me suis quand même levée tôt dimanche !
- Donc en plus, tu n'avais pas ton quota d'heures de sommeil ?
- Oooups !
- Tu sais où est le coin maintenant ! Tu es punie ! Vas t'y positionner !"
Elle se lève et va se mettre en face du mur dans le couloir. Sauf que le coin, depuis notre première séance, ce n'est pas là, mais en face du rideau de la penderie, dans la chambre.
Je fonds sur elle immédiatement, lui colle quatre magnifiques claques sur sa jupe et l'emmène au bon endroit, non sans lui en coller quelques autres en marchant. Evidemment, ça ne lui plaît pas et elle proteste un peu. Elle ne s'attendait pas à ce que cela tombe aussi rapidement.
Après quelques minutes dans la position requise, je m'approche d'elle et la sermonne à voix basse près de son oreille :"Tu vas arrêter de te moquer de moi ! C'est inadmissible et je ne te laisserai pas faire ! M'as tu bien compris ?
- Oui, dit-elle d'une voix quasi inaudible.
- Tu peux me dire ça plus fort ?
- Oui ! cette fois, je l'entend. Je lui colle quatre grosse claques sur sa jupe. Aïeuh !"
Je lui relève sa jupe, attrape l'élastique de son collant et de sa culotte en même temps et baisse le tout lentement mais fermement. Je veux qu'elle appréhende ce moment où elle va recevoir une bonne fessée debout, fesses nues. Je commence à la fesser fortement dans cette position. Elle bouge pour essayer d'éviter les claques qui pleuvent. Après une vingtaine de ces claques je m'arrête. Je l'attrape par le bras et la fais se pencher sur le lit les mains posées dessus.
Commence alors une fessée à la main, forte, juste assez pour pouvoir la prolonger sans trop la marquer dès le départ, vu que je lui réserve un traitement spécial. Après une minute de cette fessée, je m'arrête. Ses fesses ont pris une teinte rosée qui leur va bien. Je sors de mon sac deux instruments. Ma règle et mon paddle en plexiglas. Après l'avoir prévenu que ça allait faire mal, je lui colle fermement et rapidement dix coups de règles. Il est clair qu'elle le sent passer, vu ses mouvements et gémissements. Après une pause de quelques secondes, je passe au paddle. Dix coups assez appuyés et rapide qu'elle n'apprécie pas non plus. Je finis par une grosse fessée à la main, elle danse un peu, signe que ça porte.
Je regarde l'état de ses fesses. C'est impressionnant. Deux grandes auréoles d'un rouge carmin très foncé ont pris place au milieu de chacune de ses lunes. Elle va avoir mal un moment, je pense.
Durant le câlin d'après punition, elle a la mauvaise idée de me provoquer encore une fois, par défi. Une fois de trop, elle s'était rhabillée. Qu'à cela ne tienne, je relève sa jupe et colle à Sarah une fessée sur son collant et sa culotte. Elle ne s'attendait pas à une telle réaction de ma part, aussi immédiate et soudaine.
Nous retournons dans le salon où nous passons un long moment ensemble dans les bras l'un de l'autre. Elle a besoin de sentir cette autorité que je représente près d'elle, ça la rassure de sentir ma présence, cette "main" qui la tient fermement.
Je m'en vais vers un peu plus de vingt et une heures, satisfait de lui avoir apporté ce recadrage dont elle avait un impérieux besoin. Elle sait maintenant à quoi s'en tenir si elle "dérape".
Affaire à suivre donc...
Récit très bien mené. Vocabulaire précis et riche. Sarah est consciente et recherche ces et ses punitions.
RépondreSupprimerVous avez trouvé un système à la fois éducatif, de cadrage et de jeu qui vous satisfaits tous les deux.
Je vais de suite lire vos autres récits.
Un fesseur passionné.
Ralph.
Merci de votre commentaire. Ici, il s'agit vraiment de discipline, même si Sarah joue parfois à me provoquer sciemment, elle cherche surtout mes limites pour connaître mes failles et s'engouffrer dedans. Évidemment, elle en est pour ses frais...
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