Dimanche 10 octobre 2021
Dans la semaine, j'ai invité Sarah à venir passer le dimanche à la maison. C'est un bon moyen de resserrer notre relation, ce qui est nécessaire pour que le tutorat fonctionne correctement. Je vais donc la chercher à la gare qui est à deux minutes de chez moi. Je ressens un immense plaisir à l'accueillir dans la maison qui me sert de chez moi.
Après avoir fait une ou deux courses, nous arrivons. Je la fait entrer, elle ne se sent pas mal à l'aise à l'intérieur. Nous discutons, je lui montre aussi la partie studio d'enregistrement et elle s'essaie même au piano. Elle se rend compte que ce n'est pas évident du tout.
Nous décidons de déjeuner pratique et nous allons nous chercher à manger au Drive pas loin de chez moi. Une fois le repas terminé, nous passons au bilan de la période comprise entre vendredi (notre première rencontre) et aujourd'hui, la séance de lundi étant un recadrage.
Son tableau, par chance pour Sarah, est loin d'être catastrophique. Les séances précédentes ont donc porté, et j'en suis heureux. Toutefois, il reste un certain ombre de points essentiels sur lesquels je resterai intransigeant. Sarah est diabétique et pourtant elle prend un malin plaisir à grignoter entre les repas, ce qui est disons-le clairement, pas génial, ni pour son diabète, ni pour son poids. Le deuxième point est le rangement de son appartement, toujours catastrophique et sur lequel elle rechigne à mettre un vrai coup de collier, excepté vendredi, où elle a passé un peu de temps. Il faut dire que la tâche est titanesque. Pour cela, je lui accorde deux dates supplémentaires en "OK" sur le tableau pour la récompenser de son effort. Malgré tout, il y a encore trop de rouge dans cette colonne. Je dois intervenir rapidement pour lui faire comprendre qu'un appartement rangé est plus agréable à vivre qu'un appartement en désordre.
Bon si on compte tout ce qui doit être corrigé, on en est à cinq dates. J'estime que c'est déjà pas mal, car chaque date est punie individuellement. Le moment est venu. Je regarde Sarah qui commence à appréhender ces punitions. Les séances précédentes ont été courtes mais intenses. Cette séance risque d'être nettement plus longue, elle le sait. De mon côté, j'élabore une stratégie. Je ne suis pas Hulk, ni Arnold Schwarzenegger. Donc, je choisis une autre méthode par rapport aux séance précédentes.
Je demande à Sarah de se lever et de se mettre au "coin" face au mur, les mains sur la tête. Elle hésite un instant et se lève. Je ne lui en tiens pas rigueur, même si normalement, cette hésitation aurait dû être punie dans l'instant. Comme elle ne présente aucune résistance, je la guide vers son point de pénitence. Je déboutonne son jean et le baisse sans brutalité. C'est un moment important, dans le processus de la punition, ce moment du déculottage. Pour elle, c'est la certitude de ce qui va suivre inéluctablement. Pour moi, c'est l'instant où je prends les choses en main (sans jeu de mots), où Sarah ne décide plus de la suite des évènements. Je baisse également sa culotte jusqu'aux chevilles. J'aurais trop envie de lui mettre deux claques dans cette position, mais elle ne les mérite pas, ce serait injuste, donc je m'abstiens. La voir déculottée ainsi me procure un sentiment mitigé de plaisir et de gêne aussi. Je sais que je vais devoir la punir fermement. Je suis là pour ça et je ne vais pas dire que je n'aime pas cela, ce serait hypocrite. Mais je sais aussi que je le fais pour l'aider, pour qu'elle s'attache à faire les choses. Et c'est le plus important pour moi. J'aime bien cette fille sans y voir de connotation amoureuse, je la considère comme une amie que j'apprends à connaître et que j'apprécie beaucoup.
Le moment est venu, je lui demande de retirer complètement son jean et sa culotte. Sarah est donc à moitié nue, ne gardant que ses bottines aux pieds. Je lui ordonne de s'installer en travers de mes genoux, je devrais dire de mon genou gauche. Je suis assis sur le canapé, approximativement au milieu. Elle n'a donc aucun mal à se positionner confortablement. A chaque fois, je fais attention à ce que la punie soit bien installée. Le but est de la fesser, non de lui faire mal à un autre endroit du corps. Je lui caresse les fesses un moment et je commence à faire tomber les claques. Elles ne sont pas aussi intenses que lors des séances précédentes, mais je les donne à un rythme plus rapide et régulier. Cela reste de très bonne claques et Sarah les sent parfaitement sur ses fesses. Ce n'est que la première des cinq fessées qu'elle doit recevoir et déjà, je sens qu'elle bouge un peu, même si elle ne dit rien. Cela dure une minute au bout de laquelle je m'arrête. Je regarde la couleur de son postérieur qui a déjà pris une teinte un peu rosée. Bon, ça commence bien. Sarah attend la suite avec une certaine crainte, vu ce qu'elle a déjà subi. Encore quatre. Et j'entame la deuxième. Je sens bien que Sarah supporte cette fessée plus difficilement, ça commence à chauffer dur, ses fesses commencent à virer au rouge, couleur qu'elles garderont jusqu'à la fin des punitions. Les jambes de la jeune fille commencent à remuer de plus en plus. Fin de la deuxième. Après une ou deux minutes, j'attaque la troisième. Elle la sent passer vu que je descends très bas sur ses fesses à la jonction des cuisses. Une strie plus foncée apparait à cet endroit, d'ailleurs. Cela ne m'empêche pas de continuer avec la même force. Elle gémit à peine, mais je sens bien qu'elle accuse les frappes. Je m'arrête à nouveau, à son grand soulagement, ça lui permet de souffler un peu. Cela ne durera qu'un court moment, je passe à l'avant dernière. Là, ça commence à lui faire vraiment mal, ses jambes bougent beaucoup. Toutefois je ne les lui bloque pas. A la fin de cette fessée, je lui laisse un peu plus de temps pour récupérer. La dernière commence à être compliquée pour elle, je le sais, mais je ne faiblit pas pour autant. C'est un punition et ça doit faire mal, sinon, ça n'a aucun intérêt et ce sera totalement inefficace. Cette façon de faire me permet de maintenir un rythme et une intensité constante sans me fatiguer. Je pourrais continuer ainsi indéfiniment. Mais au bout d'une minute de cette dernière fessée, je m'arrête et je l'envoie au coin.
C'est là que les choses se gâtent pour elle. Evidemment, elle n'est pas joyeuse d'avoir reçu autant de fessées. Et elle a une attitude au coin qui me déplaît. Je lui signifie par une bonne fessée debout. Elle a compris et ne la ramène plus, pour le moment. Vient le temps du câlin, elle se rhabille, avec mon assentiment, avant de me rejoindre pour ce moment d'apaisement. Mais c'est sans compter sur l'espièglerie de la jeune femme. Nous discutons beaucoup pendant ces moments et évidemment je soulève les sujets sensibles du tutorat afin qu'elle reste concentrée et consciente de ce qu'elle a à faire. Et bien sûr, ça ne lui plaît pas. Dans ce cas là, son premier reflexe est de me tirer la langue. Avec moi, ça ne passe pas. Je la bascule pour une fessée sur son jean. Avec ses fesses déjà endolories, c'est pas génial pour elle. Vexée, elle recommence, ce qui amène à la sanction immédiate. On est est à huit fessées dans la journée. Cela commence à faire beaucoup je trouve. Je me trompais.
Un peu plus tard, nous sommes amenés à discuter de son couvre feu. Elle me demande des dérogations sans arrêt. J'en ai ras le bol. On négocie (normal, on adapte le tutorat, c'est une démarche tout à fait bienvenue) et on arrive à un accord. Pas de dérogations dans la semaine mais le vendredi soir et le samedi soir, le couvre feu n'intervient qu'à deux heures du matin. Par contre, je veux que cet accord soit scellé. J'ai une idée pour le faire et je lui propose. Ce sera une fessée pas très intense mais avec une particularité. Elle comprendra cinq coup de ma canne en acrylique pas très appuyés. Cela la fait réfléchir un moment. Je lui précise qu'elle n'est absolument pas obligée d'accepter. Ce n'est pas une punition. Je reconnais que je suis un peu gonflé de lui proposer ça et en fait je m'attends, j'espère même, qu'elle va refuser. Elle accepte, à ma grande surprise, mais évidemment je ne montre rien de celle-ci. Pour être honnête, j'aurais accepté cet accord, même si elle avait refusé cette fessée, mais je voulais savoir jusqu'où elle irait.
Je la positionne face au mur, lui baisse le pantalon et la culotte et commence avec une fessée à la main. Debout, elle gigote un peu. Normal. Après une vingtaine de claques, je vais chercher ma canne. Je lui applique cinq coups avec beaucoup de retenue, il n'y aura aucune marque sur ses fesses. Elle les sent quand même bien comme il faut. Je termine par une vingtaine de claques à la main, et celles-ci, bien appuyées. Ce sera la dernière qu'elle prendra chez moi aujourd'hui.
Vers dix-huit heures, je ramène Sarah chez elle, à une heure de chez moi. Elle m'invite dans son appartement, pas grand chose n'a changé en terme de rangement, mais la vaisselle est faite. Nous discutons un peu et je regarde sa salle de bain tout aussi en désordre que le reste de l'appart. C'est juste pas possible ! Je lui donne quelques conseil pour ranger un peu. Les produits en double, les serviettes qui trainent... enfin bref. Et puis en sortant de la salle de bain, j'aperçois les balais, adossés contre un mur. Sarah qui a vu la direction de mon regard s'empresse de s'enfermer dans la salle de bain, et pour cause. Les balais sont là, rangés mais avec encore une tonne de moutons de poussière dessus. C'en est trop et Sarah le sait bien, d'où sa réaction. J'attends patiemment. Elle sait qu'elle ne pourra pas rester indéfiniment dans la salle de bain. Je le sais aussi. Elle finit par sortir. Je lui demande des explications. Sa réponse : la flemme ! Ma réponse : une vingtaine de claques sur son jean ! Fessée numéro dix !
Il est clair qu'aujourd'hui, elle a pris cher, comme on dit. Mais toutes étaient justifiées et je ne suis pas sûr de ne pas en avoir oublié au passage, dans ce récit. Peut être une ou deux.
Je repars chez moi tout de même très heureux d'avoir passé cette journée avec elle. C'est une fille extrêmement gentille qui mérite qu'on fasse attention à elle. C'est pour cela que j'ai pris ce tutorat. Mais il va falloir que je la suive de près.
A SUIVRE...
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