Deux heures, deux heures de repos. Sans fessée, sans se poser de question. Cela faisait du bien dans cette horrible journée. Elle avait repensé pour la énième fois à ce qu’elle avait fait. Elle méritait tout ce qui lui arrivait et bien pire encore. Elle émergeait tranquillement quand Jack l’appela. “Tu veux un café, ma puce ?” Le ton était jovial, amical, sans dureté.
“Oui, s’il te plait, cela me fera du bien, j’ai du mal à émerger.
– Tu peux venir il est prêt.”
Il devait être pas loin de deux heures de l’après-midi, elle n’avait
même pas mangé. Mais elle n’avait pas faim, à vrai dire. Elle se posa
dans le salon, elle avait toujours sa tenue d’écolière. Jack lui serit
son café, en souriant.
Au bout d’un moment, le visage de Jack changea, il redevint sérieux, il redevint celui par lequel l’autorité passe.
“Bon, là, il faut que je te parle, commença-t-il.
– Oui, Jack, répondit-elle attentive.
– Dans quelques minutes, tu vas prendre une fessée.
– Encore ? Pardon, je me tais.
– Si je te préviens pour celle-ci, c’est parce qu’elle va être
particulièrement intense. Tu en prendras d’autres avant ce soir, mais
celle-ci sera vraiment la plus dure à supporter. Et tu peux avoir,
disons, certains réflexes involontaire. N’aie pas honte si ça arrive, ce
n’est pas important. Mais je vais juste te demander de t’assure d’avoir
vidé ta vessie avant. D’accord ?”
Nina ne comprenait pas tout, mais elle acquiesça. Mais ce qu’elle
comprit, par contre, c’est qu’elle allait avoir très mal, ça, elle en
était sûre. Jack n’avait pas d’instrument, donc elle savait que ce
serait une fessée à la main. En réalité, il ne frappait pas hyper fort,
par contre il savait où cela faisait mal. Et il s’en servait très bien
.
“Très bien, Nina, va aux toilettes et reviens ici.”
Elle s’exécuta et deux minutes après, elle était debout en face de Jack.
“Rappelle-moi pourquoi je te punis aujourd’hui ?
– Parce que j’ai douté de ton amour pour moi et parce que j’ai falsifié mon bulletin de notes.
– Je t’ai puni pour le bulletin hier, donc aujourd’hui, je te punis car tu as mis notre couple en danger de façon injustifiée.
– Oui, Jack. Je suis désolée.
– Je ne le permettrai plus, Nina, plus jamais. Et je vais te le dire
très clairement. La prochaine fois que tu fais ça, je ne te fesserai
même pas. Tu prendras tes affaires et tu t’en iras, est-ce clair ? Tu
peux refuser la fessée que je m’apprête à te donner, mais cela
signifiera ton départ. Donc je te le demande, accepte-tu la fessée que
je veux te donner ?”
En entendant ces mots, la jeune femme éclata en sanglot et fit oui de la
tête. Elle avait redouté cela et maintenant elle avait peur que ça
arrive. Elle était prête à souffrir la torture pour rester avec Jack,
s’il le fallait. Alors oui, elle accepta cette fessée, aussi dure
sera-t-elle.
“Approche, Nina.”
Elle approcha. Jack lui ôta sa jupe plissée et sa
culotte. Elle ne portait plus que son chemisier et sa cravate bleue,
tout le bas était nu. Jack vit qu’elle tremblait. Il l’envoya face au
mur, mais ne lui imposa pas les mains sur la tête cette fois. Elle avait
encore les fesses bien roses des dernières fessées reçues. Elle se mit
face au mur. Ce moment qu’elle détestait habituellement, elle
l’appréciait aujourd’hui. Cela lui permettait de se préparer
psychologiquement à ce qui allait inévitablement arriver. Jack la laissa
ainsi dix minutes.
“Viens ici et penche-toi sur mes genoux.”
Nina hésita un instant et
finit par obéir. Une fois en position, Jack passa une crème sur le
postérieur et les cuisses de Nina. C’est la première fois qu’il le
faisait. Si ses fesses avait besoin d’un tel traitement, ça allait être
vraiment très dur.
“Ma chérie, tu ne vas pas avoir mal, tu vas avoir très mal. Alors
laisse-toi aller, quoiqu’il arrive. Tu le supporteras mieux.”
Il lui
caressait doucement la tête en lui parlant. Et l’enfer se déchaîna sur
ses fesses. Jack frappait vite, fort et surtout là où ça faisait le plus
mal, à la jonction des fesses et des cuisses. De nombreuses claques
tombaient aussi sur les cuisses de la jeune fille qui hurlait, criait,
pleurait et suppliait en même temps. Mais Jack continuait,
s’interrompant de temps en temps pour permettre à Nina de reprendre son
souffle et recommençait à la fesser quelques secondes après. Ce qu’avait
prévu Jack arriva. D’abord les orgasmes involontaires, le corps se
défend contre la douleur comme il peut, inondant son entrejambe et ses
cuisses. Nina n’en pouvait plus, elle avait l’impression qu’on lui
arrachait littéralement la peau de ses fesses et de ses cuisses tant
elle souffrait, tant ça la brûlait. Elle criait tout ce qu’elle pouvait
pour que Jack arrête, mais il continuait. Et soudain, plus de bruit,
hormis les pleurs spasmodiques de Nina.
La fessée s’était arrêtée aussi
brutalement qu’elle avait commencé. Les fesses de Nina étaient rouges
très vif, mais Jack n’était pas allé jusqu’au sang. Il n’aurait jamais
voulu la blesser. Il laissa la jeune fille se calmer un peu et une fois
que ce fut le cas, l’envoya à nouveau face au mur, à genoux cette fois,
il savait qu’elle ne tiendrait pas longtemps debout. Après un quart
d’heure, Jack alla chercher Nina, la prit dans ses bras et la ramena
doucement sur son lit. Il lui passa une pommade apaisante. Nina
n’arrivais pas à arrêter de pleurer. Jamais elle n’avait imaginé être
fessée aussi sévèrement. Elle finit par s’endormir d’épuisement. Ce sera
la dernière fessée qu’elle prendra de la journée, malgré ce qu’avait
dit Jack. Il estimait qu’elle avait assez été punie.
Quand elle se réveilla, elle avait toujours mal, mais au moins, c’était
supportable. Jack avait préparé le dîner. La soirée se passa de manière
beaucoup plus détendue et ils partirent se coucher en amoureux qu’ils
étaient. Nina se jura que plus jamais elle ne remettrait en doute
l’amour que Jack avait pour elle.
FIN DE CETTE PERIODE.
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