Trois années ont passé depuis les dernière aventures de Nina. Le couple qu’elle formait avec Jack a éclaté un peu après la réussite de son examen du barreau, qu’elle a eu haut la main. Jack voulait qu’elle travaille dans son cabinet. Mais Nina souhaitait garder une distance professionnelle. Lors d’une affaire, ils se sont retrouvés face à face au tribunal, en adversaires. L’affaire était sensible philosophiquement. Des désaccords profonds sont apparus au sein de couple. D’un commun accord et avec beaucoup de larmes de part et d’autre, ils ont fini par se séparer. Ils sont toutefois restés amis et ont gardé une grande tendresse l’un envers l’autre.
Nina a pris un appartement correct dans le 17ième arrondissement de Paris, rue des Renaudes, non loin de l’avenue de Wagram et de la place des Ternes. Elle put monter son cabinet d’avocat dans le même immeuble qui faisait partie de l’ambassade des Terres Australes. Devant ses succès auprès des tribunaux, Nina se fit rapidement une réputation et avait du mal à répondre à la demande. Financièrement, elle avait largement de quoi vivre, même pour une parisienne. Elle vivait seule, et quoique très occupée, il lui manquait quelque chose. En effet, elle n’avait plus reçu de fessée depuis sa séparation d’avec Jack. Et si elle était rigoureuse professionnellement, sa vie personnelle était un peu chaotique, n’étant plus “tenue” disciplinairement. Il fallait qu’elle trouve une solution. Cela ne pouvait plus durer. Elle passa donc une annonce sur notre site préféré. Elle eu de nombreux candidats, évidemment. Après avoir fait un tri sommaire sur le papier, et en discutant en chat privé, elle en retint trois. Elle décida de les rencontrer un à un physiquement dans un très célèbre bar du 17ième. Elle payait systématiquement les consommations. Il ne lui restait pas beaucoup d’espoir de trouver le bon, les deux premiers rendez-vous ayant été décevants. Il n’en restait plus qu’un sur la liste. Et aujourd’hui, elle allait le rencontrer, sans grand enthousiasme tant il lui paraissait éloigné de ce qu’elle recherchait. Elle l’avait gardé dans la liste un peu par défaut. Elle avait fait une fiche pour chacun d’eux, fiche complétée au fur et à mesure de leurs discussions sur le chat, mais aussi au téléphone. Elle relut cette fiche en se préparant pour aller le rencontrer. C’était un homme de 57 ans (pfff, c’était vieux quand même, mais elle n’aurait pas accepté un homme plus jeune qu’elle, non plus), situation professionnelle honorable quoique bien inférieure à la sienne, mais ça n’avait pas d’importance. Pas très grand, ni très costaud. Il lui avait paru particulièrement sain dans sa tête, par contre, et ça, c’était plutôt bon signe. Bah, elle verrait bien.
Le Fouquet’s n’était pas vraiment bondé à cette heure là. L’homme lui avait dit : pas de retard. Elle était en avance. Elle s’assit à une table et commanda un mojito. Ils avaient convenu d’un signe particulier, très discret. Pour le reconnaitre, il arriverait avec les deux mains dans le dos comme un professeur surveillant ses élèves. Et il entrerait dans le bar en ayant cette attitude caractéristique. Elle serait habillée en étudiante, chemisier et jupe plissé avec une veste et une cravate. Ainsi, il ne pourrait pas la louper. Elle avait le look d’une étudiante anglaise, ce qui ne choquerait pas, tout en étant reconnaissable. Il se pointa devant le bar à l’heure dite. Un bon point pour lui, il était ponctuel, gage de sérieux. Les deux autres avaient tous eu au moins cinq minutes de retard. L’homme repéra la jeune fille sans difficulté. Il s’approcha et se présenta.
“Bonjour, je suis Marc Lemoine, mais pour vous, ce sera -Monsieur-”
A peine arrivé, il posait les règles. Cela impressionna Nina. Elle resta un moment sans savoir comment réagir. Puis reprenant son contrôle, elle répondit :
Puis ils en vinrent au sujet principal, la discipline dont Nina avait besoin. Marc lui assura qu’il ne laisserait rien passer, si elle le choisissait. Nina hésita. Il aurait fallu qu’elle puisse avoir un aperçu de ce qui l’attendait.
Nina ouvrit la porte d’entrée de son logement et invita Marc à s’asseoir dans le luxueux (il faut bien le dire) canapé. Elle s’assit en face de lui sur une chaise comme une étudiante bien sage. Elle savait quelle attitude adopter dans ces circonstances.
Deux claques ferme, mais pas brutales, vinrent atterrir sur ses fesses au travers de sa jupe. Elle ne s’y attendait pas. L’effet de surprise joua à plein.
Marc prit une chaise, la déplaça au milieu de la pièce. Il posa sa veste de costume dessus le dossier et s’assit.
“Viens en face de moi, Nina, s’il te plait.” L’homme avait formulé cela plus comme une requête que comme un ordre. Cela surpris encore une fois Nina. Elle s’exécuta et se mit en face de Marc. Il la regarda attentivement.
Il dégrafa la jupe plissée qui tomba au sol sans autre forme de procès. Nina l’écarta d’un geste du pied. Marc lui baissa ensuite la culotte lentement mais inexorablement jusqu’aux chevilles. Nina retrouvait ces sensations déjà vécues avec Jack, mais il y avait quelque chose d’indéfinissable en plus, aujourd’hui et ça l’excitait follement. “Serait-ce finalement le bon ?” se demanda-t-elle. Ainsi dévêtue, elle alla se mettre face au mur comme demandé par Marc. Elle n’osa pas encore le tester, c’était trop tôt. Il valait mieux rester prudente. Cette première fessée lui en apprendrait beaucoup sur ses marges de manœuvre. Au bout de dix minutes pendant lesquelles elle avait été sage, Marc l’appela à nouveau.
“Ce n’est pas la première fessée que tu prends, donc tu sais comment cela se passe. Viens te pencher sur mes genoux.”
“Aïe, putain ! ça fait mal ! Merde !” C’était tout ce qu’il ne fallait pas faire avec Marc. Deux gros mots dans une même phrase. Vingt claques extrêmement puissantes vinrent s’abattre sur les fesses de Nina. Marc se contenta de dire : “Langage ! La prochaine fois se sera le double !”
Pour Nina, ces claques, c’était trop, elle éclata en sanglots, en espérant que cela arrêterait Marc. Mais celui-ci repris sa fessée normalement malgré les pleurs de la jeune fille qui le suppliait maintenant. Elle avait trouvé son fesseur. Strict, mais pas brutal, comme l’avait parfois été Jack. Posé, et intransigeant, il ne lui laissait rien passer, elle l’avait compris. Et malgré la douleur, elle était très excitée, son sexe était trempé et un filet de son nectar dégoulinait déjà le long de sa cuisse gauche. Marc fit une pause pour permettre à Nina de récupérer un peu.
Nina appréhendait ce qui allait arriver. Elle n'avait pas prévu ça comme ça dans sa tête. Mais elle voulait savoir de quoi était capable Marc. Elle n’allait pas être déçue.
Contrairement à Jack, Marc commença à la fesser avec une force moyenne. Le rythme était le même qu’auparavant. Nina pleurait doucement. Puis, l’intensité augmenta, progressivement mais inexorablement. Nina aimait cette progressivité, elle sentit le plaisir monter autant que la douleur, ce qui la conduisit à l’orgasme. Marc s’en aperçut et relâcha un peu la force de ses frappe le temps qu’elle jouisse. Une fois ce moment de plaisir passé, il augmenta de nouveau l’intensité jusqu’à son maximum. Nina criait, pleurait et suppliait son fesseur. Mais Marc ne faiblit pas et attaquait maintenant la zone sensible des sit-spots ce qui fit pleurer Nina encore plus fort. Elle était à la limite, mais il ne la dépassait pas. Décidément, il maitrisait son art. Enfin, la fessée s’arrêta. La jeune fille continuait de pleurer à chaude larmes. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas pleuré comme ça. Et ça lui faisait du bien. Marc lui caressait les fesses à présent pour atténuer le feu.
“Lève-toi et vas te mettre face au mur comme tout à l’heure !”
Difficilement, les jambes un peu tremblantes encore, Nina s’exécuta. Maintenant, elle savait que ce serait lui. Au bout de dix minutes, Marc vint la chercher et la prit dans ses bras en la câlinant. “C’est bien, Nina, tu t’es à peu près bien comportée.” La jeune femme appréciait ce moment de réconfort. Elle se surprit à penser à Jack. Mais bizarrement, elle sentait les bras de Marc plus rassurant. Sensation étrange. Elle les quitta presqu’à regret.
Ils s’assirent sur le canapé. Nina se rapprocha de Marc et se surprit à poser sa tête sur son épaule. Il la laissa faire et l’entoura de ses bras. Elle n’en demandait pas plus. Ils restèrent ainsi un moment. Mais l’heure tournait et ils devaient se séparer. Marc partit sans que ni l’un, ni l’autre ne se fit la promesse de se revoir. Ils en parleraient plus tard.
[A SUIVRE]
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