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Les aventures de Nina (deuxième période) (2)

Quelques jours ont passé depuis la première rencontre entre Marc et Nina. Depuis cette première fessée, Nina en gardait un souvenir cuisant. Ils discutaient par écran interposé. Marc avait fixé des objectifs à Nina. Elle devait :

  • Ranger son appartement une fois par semaine
  • Faire une lessive une fois par semaine
  • Marcher une heure par jour
  • Ne pas ramener du boulot à la maison plus de trois fois par semaine. (Lundi , mercredi et vendredi)
  • Prendre des nouvelles de ses parents une fois par semaine.
  • Couvre feu à 23:00.

Marc avait établi un tableau partagé que Nina devait remplir tous les jours.

 

Pendant trois semaines, Nina avait respecté les consignes, sauf pour le couvre feu où c’était du un jour sur trois, et encore et pour le boulot à la maison où c’était quasiment tous les jours. Du coup, l’appartement en souffrait et devenait de plus en plus désordonné.

Après moultes avertissements de Marc, ce dernier décida qu’il était temps qu’ils se revoient. A ces mots Nina eut comme un choc. Elle savait ce que ça voulait dire. Elle allait en prendre une sévère, et elle la redoutait. Elle essaya, en bonne avocate, de plaider sa cause. Peine perdue, le rendez-vous fut fixé au samedi suivant, pour ne pas gêner l’activité professionnelle de l’un ou de l’autre.

Samedi… et on n’était que mardi. Quatre jours à attendre, à appréhender, à craindre. Si il y a une chose que Nina avait comprise, c’est que Marc n’était pas Jack. Il n’y avait aucun affect entre Marc et elle, contrairement à Jack à l’époque où ils étaient ensemble. Il n’y aurait donc aucun passe-droit, aucune pitié, aucune indulgence, aucune négociation. Elle avait merdé en ne suivant pas les consignes et ses fesses allaient en payer le prix, c’était sûr. En y pensant, elle en avait les larmes aux yeux. Mais le boulot primait. Il fallait qu’elle se concentre sur ses dossiers. Heureusement, la semaine était calme, les procédures en cours étaient…en cours et elle ne pouvait pas avancer plus vite que les magistrats débordés. Nina avait une secrétaire juridique à qui elle confia les clefs pour le reste de la semaine. Nina avait besoin de se changer les idées. Elle resterait disponible et viendrait au bureau si nécessité. La secrétaire pouvait l’appeler de jour comme de nuit si problème ou affaire urgente.

 

Elle rentra chez elle, constata avec désespoir, encore une fois, le désordre, rangea deux trois choses, pour la forme et alluma la télé sur Netflix. Elle sortit un verre (au moins, sa vaisselle était suivie) et se versa une bonne dose de vodka. Elle ne put s’empêcher de penser à samedi et se frotta les fesses machinalement. De nouveau, ses yeux s’humidifiaient : “Mais quelle conne ! Quelle conne !” se réprimandait-elle. Elle savait pertinemment qu’elle avait failli par paresse, par facilité. Et elle savait que seule, elle n’arriverait pas à se discipliner. C’est pour ça qu’elle avait fait appel à Marc. Et aujourd’hui, enfin, plutôt samedi, elle allait subir les conséquences de ses mauvais choix. Si elle faisait le bilan, elle n’avait que trois objectifs de correct, la lessive, marcher une heure par jour (et elle s’y tenait rigoureusement) et appeler ses parents une fois par semaine. Cela ne faisait que cinquante pour cent des objectifs ! C’était insuffisant pour Marc. La punition sera rude, elle le savait, il l’avait prévenue. Elle décida de se passer de la crème apaisante sur les fesses tous les jours, bien qu’elle doutait d’une efficacité quelconque le jour de la punition. Disons que c’était psychologique, l’effet placebo. Le soir arriva et pour une fois, elle se coucha tôt, respectant ainsi son couvre feu.

 

Mercredi

 

Nina traîna au lit jusqu’à dix heures et demie, ce qui lui fit du bien. Elle avait bien calculé pour le bureau, sa secrétaire ne l’avait pas appelée une seule fois. Une fois son petit déjeuner pris, elle s’assura que tout se passait bien au cabinet, et c’était le cas. Elle sortit marcher, comme tous les jours depuis qu’elle avait rencontré Marc. En parcourant les rues de la ville, elle ne pouvait s’empêcher de penser à ce qui allait se passer dans trois jours. Après tout, se dit-elle, ça ne sera peut-être pas si terrible. Elle en a pris d’autres, et des salées, dont une, pour un certain bulletin de notes falsifié, qu’elle n’est pas prête d’oublier. Cela ne peut pas être pire quand même ! Quoique….

Elle rentra chez elle, pas vraiment rassurée pas ses propres réflexions. Elle décida de contacter Marc histoire de tenter de négocier. Fin de non recevoir. Le rendez-vous était maintenu, mais sa punition dépendra de ce qu’elle aura fait ou non d’ici samedi. C’est la seule concession qu’elle a obtenu. Mieux que rien...

Bon déjà, elle n’avait pas ramené de boulot à la maison. Elle se fit violence pour commencer à ranger, mais s’arrêta au bout d’une heure pour cause de flémingite aiguë. Elle fit tout de même une machine à laver, c’était le jour prévu pour la faire. Puis, une fois de plus, elle s’installa devant Netflix. Trop addictif, ce truc ! Une fois encore, elle arriva à se faire violence pour ranger un peu. Mine de rien, petit à petit, cela commençait à se voir. Elle y passa deux heures, encouragée par les résultats. La menace de Marc portait ses fruits, elle devait bien l’admettre.

Ce soir encore, elle respecta son couvre feu, mais tout juste.

 

Vendredi.

 

Le jeudi avait été une copie conforme du mercredi. Cela profita grandement à l’appartement de Nina qui commençait à retrouver un peu de clarté. Certes, il restait beaucoup à faire, mais au moins les choses s’amélioraient-elles. Elle prenait des photos, qu’elle envoyait à Marc pour lui montrer ses efforts, seul moyen pour implorer son indulgence. Il restait un peu plus de vingt quatre heures et l’angoisse montait. Mais elle irait au rendez-vous. Même si la punition risquait d’être sévère, elle avait apprécié se retrouver sur ses genoux la première fois. En y repensant, ça l’excitait. Elle n’avait pas oublié qu’elle avait joui durant cette fessée. Mais aussi qu’elle avait bien pleuré. Et elle savait que samedi, elle allait pleurer encore plus, et plus longtemps. Elle se frotta à nouveau les fesses à cette idée, mais cette fois, sa main s’égara entre ses cuisses et elle sentit sa culotte toute mouillée, malgré elle. Elle ne put s’empêcher de se caresser jusqu’à ce qu’elle explose de plaisir. Elle se coucha, une fois de plus en respectant son couvre feu. Dorénavant, le sort en était jeté. Elle ne pouvait plus rien faire. Elle espérait que Marc apprécierait les efforts fournis ces derniers jours…

Samedi 9h00.

Le réveil sonna. Nina l’avait mis exprès pour être sûr d’être à l’heure au rendez-vous. Avoir du retard n’était juste pas envisageable. Déjà que ça allait être compliqué, inutile d’en rajouter une couche. Elle déjeuna normalement, prit sa douche et se passa de la pommade sur les fesses comme tous les jours depuis mardi. Cela ne servirait probablement à rien mais…on ne sait jamais.

10h00

Nina s’est habillée. Pas de tenue imposée par Marc hormis la culotte qui ne doit pas être un string. Tiens ! Même requête que Jack. Elle porte donc un t-shirt, pas de soutien gorge, elle n’en a pas vraiment besoin, pour ça, elle est chanceuse. Elle se maquille un petit peu sauf les yeux car le rimmel, quand on pleure, c’est pas beau à voir. Mais comme elle a naturellement de beaux yeux, pas vraiment besoin non plus. Elle enfile un jean, un peu serré mais pas trop en tissu stretch, plus confortable et surtout, moins douloureux après la fessée. Chaussettes, baskets et c’est tout bon.

12h00 ou H-2:00:00

Elle mange sans grand faim, l’angoisse remonte d’un cran. La première fessée de Marc c’était comme une bande-annonce. Cet après-midi, ce sera le film et elle aura le rôle le plus difficile.
La crainte de la main de Marc commence à se faire sentir dans son ventre qui n’y résiste pas. Elle court aux toilettes et vomit le peu qu’elle a mangé. Elle se demande si elle va vraiment y aller. C’est la première fois qu’elle craint autant une fessée, sans trouver d’explication logique à cette crainte. Mais elle sait une chose : jamais plus elle ne désobéira à Marc.

H-01:30:00

Nina essaie de se rassurer comme elle peut. Elle a choisi Marc, après tout, et pour une raison précise qui trouve tout son sens aujourd’hui. Elle doit y aller, sinon, elle ne pourra pas se regarder dans une glace après. Question d’amour propre. Elle fait les cent pas en réfléchissant.

H-01:00:00

C’est l’heure de partir. Elle prend son sac avec dedans une culotte de rechange (on ne sait jamais) et un tube de pommade qui pourrait s’avérer fort utile. Elle ferme son appart à double tour et quitte son immeuble pour prendre le métro.

H-00:30:00

Elle quitte la station de destination et commence à marcher dans la rue en cherchant l’adresse de Marc. Merci le GPS qui aide bien. Elle trouve sans difficulté. Mais il est trop tôt. Elle décide d’aller prendre un verre en terrasse dans un bar à proximité. On est dans le 11ième arrondissement près de République, aucun problème pour trouver. Elle demande une double vodka, elle va en avoir besoin et puis, elle se ravise. Sentir l’alcool lors d’une séance disciplinaire…pas top. Elle se contentera d’un demi panaché pêche.

H-00:10:00

Oh merde ! Il lui reste juste dix minutes pour aller à l’adresse de Marc. Elle paie et marche à une allure soutenue dans la rue de la Fontaine au Roy. Elle arrive à mi-chemin entre République et Belleville et voit l’immeuble de Marc. elle s’y engouffre, et trouve la bonne sonnette.

H-00:02:00

“Bonjour, qui me demande ? répond une voix par l’interphone.
– C’est Nina Thiriet, Monsieur.” se présente la jeune femme d’une voix mal assurée. Mais où est donc passée cette avocate si convaincante, si sûre d’elle ? Ben en tout cas, aujourd’hui, elle n’est pas là. C’est l’élève qui va voir son professeur en sachant très bien qu’elle n’a pas fait ses devoirs.
Le bruit caractéristique du penne électrique se fait entendre et la porte s’ouvre. Marc habite au deuxième étage sans ascenseur. Elle monte donc les escaliers.

Heure H -00:00:00

La porte d’entrée de l’appartement de Marc s’ouvre. Marc est en face de Nina, et lui sourit :

“Bonjour Nina, entre, je t’en prie.” Au moins, il n’a pas l’air en colère. C’est déjà ça. Marc lui offrit un verre de vodka (il savait que c’était sa boisson favorite) et elle l’accepta de bon cœur. Il l’invita à s’asseoir dans l’un des deux uniques fauteuils de la pièce. Celle-ci disposait aussi d’un canapé. Mais elle ne pourrait pas contenir grand chose d’autre car l’appartement n’était vraiment pas grand. Elle regarda autour d’elle. Elle s’imaginait que Marc habitait un grand appartement luxueux ou tout au moins d’un certain standing, mais ce n’était pas le cas, il ne pouvait pas se le payer et n’avait pas honte de le dire. Il avait des revenus modestes et faisait avec. Après avoir discuté de choses et d’autres, Marc proposa de passer aux choses qui fâchent, à savoir les objectifs de Nina. Il reprit le bilan partagé et passa les points un à un.

“Bon, Nina, c’est vraiment difficile pour toi, de ranger cet appart, hein ? On en reparlera un peu plus tard. Pour la lessive, ma foi, c’est correct, donc rien à dire. Bravo pour la marche quotidienne, j’apprécie vraiment les efforts que tu as fait pour ça. Et tu prends régulièrement des nouvelles de tes parents, je sais que ce n’est pas ton fort, mais tu le fais, c’est cool.”

Nina écoutait Marc sans rien dire, c’était pas le moment de la ramener. Qui aurait cru que Nina pouvait être si sage ! Comme quoi, la peur d’une bonne fessée, ça marche ! Mais là, on allait passer aux points défaillants…

“Bien, les points faibles, qu’il va falloir redresser : le boulot à la maison, c’est pas possible, Nina. Je t’accorde un doigt et tu prends le bras. Tu m’expliques ?
– J’ai toujours peur d’être à la bourre avec les procédures. Donc j’essaie toujours de prendre de l’avance.
– Et ça te fait vraiment gagner du temps au final ?
– Non, les dossiers restent à attente de traitement par les magistrats. Ils sont débordés.
– Donc si tu ne les avais pas emmenés à la maison, finalement, ça n’aurait pas changé grand chose, n’est-ce pas ?
– Exact.
– Je t’avais accordé trois jours sur sept pour le boulot pro à la maison. Tu en as emmené tous les jours et ainsi tu m’as désobéi. Tu seras donc punie pour ça. Et comme ça a joué à la fois sur le rangement de ton appartement et ton couvre feu, la punition sera assez sévère, car je ne veux plus que ça arrive. Jamais !
– Non mais je recommencerai plus, plaida Nina qui voyait déjà la main de l’homme sur ses fesses.
– Oh mais j’en suis sûr, Nina. Pas après la correction que tu vas recevoir.
– Mais monsieur…tenta-t-elle.
– Nina Thiriet ! Tu souhaites faire une réclamation ?
– Non, monsieur, répondit-elle en baissant les yeux.
– Bien lève-toi et va te mettre contre le mur les mains sur la tête et tu vas réfléchir à ce qui va t’arriver et surtout pourquoi ça t’arrive !”

Nina se leva à contrecœur et alla se positionner contre le mur. Elle sentait bien que ça allait chauffer pour son matricule et ses fesses. Marc se leva et attrapa un objet dont Nina n’entendit que le bruit de métal.

“Nina, pourquoi es-tu contre le mur ?
– Parce que je suis punie, monsieur.
– Et pourquoi tu es punie ?
– Pour ne pas avoir respecté vos consignes, monsieur.
– Et quelle est la punition que tu devrais recevoir d’après toi ?
– Une bonne fessée déculottée.
– Tourne-toi et regarde-moi. Tu vois ça ?” Marc montrait une règle carrée en fer de quarante centimètres de long. Nina en eut des frissons dans le dos. Elle savait par diverses lectures sur le sujet que cela faisait horriblement mal. Et elle n’avait pas l’intention d’y goûter, mais allait-elle pouvoir l’éviter ?

“Cette règle, elle est là pour toi à titre dissuasif. Si tu ne m’y obliges pas, elle restera sage. Sinon, elle atterrira sur tes fesses et tu ne vas vraiment pas aimer, est-ce clair ?
– Oui, monsieur.
– Approche et penche-toi sur mes genoux.” Marc s’était installé sur le canapé, permettant à Nina de recevoir sa punition avec un confort relatif. La jeune femme s’exécuta, tremblante et hésitante. Marc la replaça de telle manière à ce que ses fesses soit dans la bonne position, même au cas où ses jambes danseraient la gigue.

“Trois minutes, tu peux crier, supplier, pleurer, cela va durer trois minutes, pour ce round.”

Il commença à la fesser fermement mais sans plus par dessus le jean. Contrairement à ce qu’elle craignait, c’était très supportable et même excitant comme allait en témoigner sa culotte. Si ça continuait comme ça, elle continuerait à ramener du boulot à la maison. Elle ne détestait pas être sur les genoux de Marc pour une fessée de cette intensité. Elle aimait même plutôt ça. Les trois minutes furent terminées. Nina avait les fesses qui piquaient un peu, mais rien de franchement terrible. bien moins que ce qu’elle imaginait. Il la fit lever et mettre debout face à lui. Il entreprit de déboutonner son jean et le baissa jusqu’au cheville, sans précipitation aucune. C’était toujours un moment particulier, le déculottage, pour Nina. Cela l’excitait énormément. Et ce fut le cas, encore aujourd’hui.
Marc la força à revenir sur ses genoux. Il commençait à voir la peau des fesses tout juste un peu rosé au travers de la culotte. Ça n’allait pas durer. Sa main s’abattit à nouveau sur le postérieur de Nina, sans ménagement et au rythme habituel de deux claques par seconde. Ça chauffait un peu plus, mais c’était supportable, Nina serrait les dents pour ne pas bouger et ne pas émettre un son. La chaleur se répartissait sur ses fesses mais aussi dans son ventre. Elle appréciait d’être fessée ainsi. Et son sexe dégoulinait nettement dans sa culotte. Marc maintenait le rythme et la force de ses claques pendant trois minutes. Nina commençait à bouger un peu ses jambes, laissant à Marc le loisir de voir la tâche très marquée au fond du bout de tissu qui recouvrait ses fesses. Au bout des trois minutes, il fit de nouveau mettre Nina en face de lui. Il lui baissa la culotte lentement, vit le filet de nectar entre ses cuisses. Il descendit la culotte jusqu’au cheville. Nina comprit qu’il fallait qu’elle s’en débarrasse complètement. Ce qu’elle fit. Il la remit sur ses genoux.

« Nina, tout ceci n’était qu’un échauffement, ta punition, c’est maintenant. Pour être sûr que tu sois sage, je vais te donner deux coups de règle. Ça fait mal, mais justement, il faut que sache ce que ça fait pour que je n’aie pas à la réutiliser, tu m’as compris ?
– Oui, monsieur »

Nina s’attendait au pire avec cette règle. Elle savait que c’était très douloureux. Et elle avait raison. Les deux coups tombèrent brutalement. Elle avait l’impression que la règle s’était incrustée dans la peau tant la douleur était intense. Les larmes lui vinrent aux yeux.

« Bien, dit Marc. Tu sais ce que ça fait. Fais en sorte que je n’aie pas à m’en servir à nouveau.
– Oui, monsieur » parvint-elle à dire.

La fessée à la main reprit, nettement plus forte que les précédentes, et sur les impacts des coups de règle, cela faisait vraiment mal. Elle commença à gémir, elle bougeait ses jambes comme elle pouvait, mais cela n’enlevait pas le feu des claques qui tombaient. Les larmes commençaient à couler sur ses joues. Elle gémissait plus fort. Marc fit une pause.

« Tu commences à comprendre qu’il faut suivre les consignes que je te donne ?
– Oui, monsieur, je suis désolée.
– Tu es désolée parce que maintenant tu te retrouves en travers de mes genoux.
– Non, monsieur, je suis vraiment désolée, je recommencerai plus.
– Va te mettre au coin un moment, je n’en ai pas fini avec toi ! »

Elle ne se fit pas prier et alla se mettre en position. La chaleur irradiait ses fesses. Elle prit le parti de tenter de se les frotter un peu. Hélas pour elle, Marc ne l’entendait pas de cette oreille et lui asséna dix claques monstrueuses sur ses pauvres fesses déjà bien rouges. Elle cria et se mit à pleurer. C’était de sa faute. Elle avait joué et perdu. Marc ne lui laisserait aucune marge de manœuvre. On voyait très bien la marque des deux coup de règles sur ses fesses, et ça la brûlait intensément.

« Si tu veux goûter à nouveau à la règle, Nina, continues comme ça !
– Non, non, non, s’il vous plaît, pas la règle !
– Fais vraiment attention, Nina ! »

Nina eut un mot dans sa tête : « Sadique ! » mais aucun son ne sortit de sa bouche, ce qui était plus prudent pour ses fesses. Les dix dernières claques n’étaient pas passées inaperçues et présageait de la suite qu’elle commençait à craindre sérieusement.

Marc installa une serviette de bain sur l’accoudoir du canapé. Il avait bien l’intention de faire de cette fessée une fessée mémorable pour Nina et il s’y employait. Il l’avait bien préparée, c’était donc le moment de passer aux choses sérieuses.
Il avait également posé un oreiller sur l’assise du canapé pour permettre à Nina de s’y agripper.

« Viens ici, Nina, penche-toi sur l’accoudoir du canapé, et prends le coussin dans tes bras, tu vas en avoir besoin. Ce qui vas suivre va être désagréable, mais nécessaire pour que tu ne recommences pas tes bêtises. »

Nina ne s’attendait pas à ça. Elle n’avait jamais été fessée dans cette position. Elle s’exécuta malgré tout, ne voulant pas contrarier Marc. Ce dernier affina la position de la jeune femme, avec beaucoup de douceur, contrastant avec le sévérité de la punition. Il lui écarta un peu les jambes ce qui eut pour effet d’offrir une vue sur le sexe de Nina. Celui-ci était trempé au grand dam de la jeune femme.

« Tu es prête ?
– Oui, monsieur. » répondit Nina sans conviction aucune. Bien sûr qu’elle n’était pas prête à ça et elle était certaine que cela allait être compliqué pour elle.
Marc commença au même rythme habituel, pas trop fort, la peau des fesses étant beaucoup plus tendue dans cette position, donc bien plus sensible. Mais pour Nina, c’était déjà beaucoup, elle s’agrippa au coussin. Ça chauffait dur sur ses fesses déjà douloureuses. Ça devenait compliqué, déjà. Elle gémissait fort dans le coussin et les larmes coulaient tandis que les claques tombaient. Mais le corps se défend comme il peut face à la douleur, et dans ce cas, le meilleur moyen était l’excitation sexuelle qui libérait des endorphines. Un orgasme submergea Nina sans prévenir, sans aucune volonté de sa part. Cette sensation de perdre tout contrôle humilia un peu plus Nina qui pleurait maintenant à chaudes larmes. L’avantage de cet orgasme est qu’il avait effectivement produit les fameuses endorphines et, ainsi, atténuait la douleur de la fessée qui continuait, malgré ses gémissement. Au bout des trois minutes habituelles, Marc fit une pause de quelques secondes et caressa les fesses de la jeune fille. Cette pause était bienvenue, la jeune femme commençait vraiment à avoir les fesses en feu. Elle se laissait aller et pleurait franchement. Mais Marc n’avait aucunement l’intention de s’arrêter là. La fessée reprit, mais cette fois, les claques tombaient bien plus fort et bien plus bas sur les fesses.

« Nooon , bouhououuu, aaaaaïe, stooop ….. ça fait mal ….. aaaaah …. je ferai plus….. aaaaïe ….. je …..aaaah …. promets…. » supplia-t-elle tant qu’elle pouvait. Mais cela n’arrêta pas la fessée. Elle bougeait les jambes tant qu’elle pouvait, les écartait, ce qui lui valut quelques claques bien à l’intérieur des fesses, claques fort cinglantes. Cela la fit crier et pleurer encore plus. Il fallait que ça s’arrête, elle était proche de ses limites. Et puis, la force des claques se fit moins intense, comme si il voulait qu’elle récupère un peu. Et d’un coup, vingt claques monstrueuses s’abattirent sur la partie la plus sensible de ses fesses. Rapides, presque insoutenables. Et tout s’arrêta d’un coup. Nina était prise de spasmes tellement elle pleurait. Ses fesses avaient pris une couleur rouge très vif, on aurait dit qu’elle portait un mini short.

« Bien, Nina, tu vas reprendre vingt claques comme celles que tu viens de recevoir, et ce sera fini, annonça Marc.
– Non, non , non, j’en peux plus, ça fait trop mal ! S’il vous plaît ! Pitié, stop ! » Nina ne savait pas si elle pourrait encore supporter cette fessée là. Elle n’avait jamais été fessée comme ça. Pour sûr elle obéirait aux consignes dorénavant et ne ferait plus de résistance, la punition avait été efficace.

Marc ne tint pas compte de la supplication de Nina et la fessée tomba. Nina pleurait toutes les larmes de son corps, si tant était qu’elle en eut encore, elle criait et ses jambes se débattait, ce qui n’arrêta pas Marc. Et puis enfin, ce fut la fin. Plus de fessée. Marc lui caressa les fesses endolories pour faire passer un peu le feu qui brûlait Nina. La jeune femme ne pouvait plus s’arrêter de pleurer. Il l’aida à se lever et à se mettre face au mur.

« Tu suivras mes consignes dorénavant ? Lui demanda-t-il doucement.
– Bouiiiii, ouhou bouhouuuu ! Je recommencerai pluuuuuuus ! Je suis désoléééééée, ohouuu !
– Bien, tu vas rester là une dizaine de minutes.
– Oui, monsieuuuur ! Bouhouuuuu ! »

Il n’en fallu pas moins pour que Nina se calme un peu. Les endorphines s’étant taries, la brûlure des ses fesses se faisait plus intense.

« Viens et penche-toi sur mes genoux, appela Marc.
– Non, non, non, non, je croyais que la punition était terminée ! Bohouuuu !
– Nina, tu m’obéis, c’est tout ! »

L’ordre était clair et Nina s’exécuta en pleurant, s’attendant à une autre fessée. Elle s’allongea sur les genoux de Marc.
Celui pris un tube de pommade et déposa une noix de celle-ci sur les fesses de Nina. Il commença à les masser doucement pour faire pénétrer la crème. L’apaisement fut quasiment immédiat. Nina arrêta de pleurer et appréciait que Marc prenne soin d’elle après une correction pareille. Il lui fit écarter les jambes pour pouvoir atteindre l’intérieur des fesses qui avaient pris aussi. Du coup ces caresses excitaient la jeune femme qui bougeait son bassin comme une invitation. Marc voyant son petit manège répondit à son appel en caressant doucement son intimité déjà bien mouillée. Il continua en pénétrant son sexe doucement avec deux doigts. Nina n’en demandait pas tant et fit comprendre à son fesseur qu’elle appréciait. Celui-ci fit des va et vient avec ses doigts et la jeune femme ne put résister longtemps au plaisir qui montait en elle. Elle explosa de cette jouissance douce et profonde que seule les femmes peuvent ressentir.
Une fois apaisée, Marc continua à la caresser doucement. Puis elle se retourna et se blottit dans ses bras, ce que Marc ne refusa pas. Certes, il avait été son bourreau, mais elle avait mérité pleinement cette correction. S’il avait été moins sévère, elle aurait eu des doutes quant à ses capacités de la discipliner. Décidément, elle avait fait le bon choix. Elle lui posa un baiser sur la joue.

« Merci. » lui-dit-elle à l’oreille.

Plus tard, elle rentra dans son appartement, les fesses encore bien brûlantes. Elle se promit de tout faire pour respecter les consignes de Marc. La fessée avait porté ses fruits. Elle s’endormit le soir en pensant très fortement à lui. Les draps en porteraient les stigmates le lendemain….

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