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Les aventures de Nina (deuxième période) (3)

Quelques mois avaient passé depuis cette première disciplinaire. Nina avait fait de réels progrès. Elle avait réussi à ranger son appartement, ne ramenait plus de boulot à la maison, se couchait tôt , et respectait toutes les autres consignes.

Et cela rendait Nina heureuse. De temps en temps, Marc la rappelait à l’ordre et cela suffisait pour que les choses reprennent le droit chemin. Du coup une véritable amitié se développait entre eux. Ils se voyaient en dehors du tutorat et passaient beaucoup de temps à échanger. Un lien se créait. Un lien de plus en plus fort, sans parler d’amour, mais juste un lien. Une amitié, peut-être. Du coup Marc et Nina se tutoyait maintenant, même lors de séances de discipline qui se faisaient rare d’ailleurs, étant donné qu’elle respectait ses objectifs.

Une affaire épineuse au pénal se présenta à la jeune femme. Une affaire déontologiquement compliquée. Une femme, battue par son mari avait fini par le tuer. Aux yeux de la loi, et du procureur, il s’agissait d’un meurtre avec préméditation. Il avait tout de même retenu les circonstances atténuantes. Nina voyait cette acte comme de la légitime défense. Ces deux thèses s’opposaient. Il fallait qu’elle monte un dossier en béton. Elle dut ramener le dossier à la maison. Elle passa beaucoup de temps dessus et le stress montait au fil du temps. Elle devenait irascible, même avec Marc. Celui-ci lui avait demandé de faire une pause dans ce dossier. Mais cela tenait trop à cœur de Nina. Elle fit fi du conseil de Marc.

Marc était venu passer du temps à l’appartement de Nina. C’était toujours un moment privilégié. Dans leur discussion, ils en étaient venu à parler de l’affaire, enfin, pas de l’affaire elle-même, elle était tenue à la confidentialité, mais elle avait pris une hypothèse similaire. Et le débat allait bon train. Nina avait demandé à Marc de jouer le rôle de l’avocat général et quoiqu’il ne soit pas juriste. Lorsqu’un point de droit était soulevé, Nina en précisait les termes et le sens. Mais c’était plus sur l’argumentation morale que Nina voulait s’appuyer, car c’est là-dessus que s’appuierait le jury pour décider du sort de l’accusée. Et Marc avait le mauvais rôle dans l’histoire. Mais son argumentation tenait debout. Il sentait Nina acculée. Elle perdait son contrôle petit à petit et c’est très mauvais dans un tribunal. Trop de stress. Marc s’en aperçut et ne vis qu’une seule solution : Nina devait relâcher ses émotions pour pouvoir se recentrer sur ce qui était important. Elle ne faisait plus la part des choses. Elle commençait à s’énerver. Marc la stoppa net.

« Viens ici, Nina, tout de suite ! »

Nina fut surprise par l’ordre ainsi donné. Elle savait qu’il valait mieux obéir. Elle s’approcha de Marc en protégeant ses fesses instinctivement.

« Tu vas prendre une fessée, Nina. Tu es énervée, stressée et ce n’est plus possible, ton esprit ne voit plus clair. Cette fessée n’est pas une punition, Nina, c’est une manière de tout relâcher. »

Sans plus attendre, il déboutonna son pantalon, le fit glisser jusqu’au chevilles et il baissa aussi sa culotte jusqu’au même endroit.

« Si tu veux être à l’aise, je te conseille de te débarrasser de tout ça. » Ce qu’elle fit. Elle savait ce qu’il attendait d’elle ensuite et vint se pencher sur ses genoux.

« D’accord, mais pas trop fort, hein ? Tenta-t-elle.
– Assez pour que tu te relâches totalement. »

Les claques commencèrent à tomber. Fortes tout de suite. Il voulait faire pleurer Nina pour que la fessée ne dure pas trop longtemps. Il voulait qu’elle arrive à cet état cathartique pendant lequel on s’abandonne totalement.
La fessée était brûlante, même pour Nina qui en avaient déjà pris bien d’autres. Elle essaya de résister, par simple énervement, mais au bout d’une soixantaine de claques, elle avait les larmes aux yeux. Mais elle ne voulait pas lâcher. Marc fit une pause de quelques secondes et comprit ce qu’il se passait. Tant pis pour Nina, ça allait faire plus mal. Jusque là, il avait visé le milieu des fesses et avait retenu sa main. La jeune femme l’obligeait à procéder différemment.

Il bloqua les jambes de son amie avec l’une des sienne et reprit la fessée. Mais celle-ci était nettement plus intense, plus rapide et surtout visait les points sensible de ses fesses. La soudaine augmentation de la douleur surprit Nina, elle éclata en sanglot et criait « Stooo o o p ! ….. Maa a a arc ….. aahahahaïe ….. ouhhhouhh ….. » Mais son ami n’arrêtait pas et augmenta encore l’intensité de la fessée. Il la savait proche de l’état cathartique, mais n’y était pas encore.

Il lui écarta un peu les jambes et recommença à la fesser de façon très intense. Nina sauta presque en l’air tellement la douleur était brutale, Marc visait vraiment les endroits les plus sensibles. Nina ne pouvait plus résister et elle relâcha tout, y compris sa vessie, heureusement presque vide, elle pleurait de façon incontrôlable sous les claques de Marc. Celui-ci s’arrêta enfin. Il garda Nina sur ses genoux afin qu’elle commence à se calmer. Elle avait tout lâché et pleurait abondamment, mais les spasmes s’étaient calmés. Il la fit pivoter pour la prendre dans ses bras et la consoler, elle était ainsi assise sur ses genoux. 

Une fois calmée, il la posa sur le canapé, et entreprit de sécher le sol en parquet synthétique, à l’endroit où Nina s’était relâchée. Une fois fait, il rejoignit son amie sue le canapé et la prit à nouveau dans ses bras. Nina le regarda un moment avec ses yeux encore pleins de larmes et l’embrassa passionnément. C’était leur tout premier baiser. Une façon bien agréable de le remercier. Il le lui rendit avec la même passion. Ils passèrent une bonne heure dans les bras l’un de l’autre. Nina se sentait beaucoup mieux qu’avant cette fessée. C’est comme si on lui avait enlevé un poids. Oui, ça faisait mal, c’est vrai. Mais c’était de sa faute, elle n’avait pas voulu lâcher prise. 

La prochaine fois, elle se promit de ne pas résister, car elle demanda à Marc de recommencer à la fesser comme ça, chaque fois qu’il le jugerait nécessaire.

Il lui promit qu’il le ferait, mais qu’il n’était pas tout le temps là non plus. Cela fit réfléchir la jeune femme. Et si il était tout le temps là ?….

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