Une fille tellement attachante (1)

 Préambule : 

Toute l'histoire que je vais raconter ici est vraie. Les noms, les lieux ne sont pas forcément les vrais mais tous les faits sont bel et bien réels. Je raconterai cette histoire comme je l'ai vécue avec mes propres ressentis et sentiments. Je ne dis pas que c'est la vérité. Juste ma vision des choses avec le plus d'objectivité que je peux avoir sachant que je suis impliqué sentimentalement dans cette histoire.

Au commencement :

Je me suis inscrit il y a quelques temps sur un site où on pouvait faire des rencontres entre fesseurs et fessées. Comme tout un chacun, je remplis mon profil et commence à discuter avec les uns et les autres de notre activité préférée, la fessée, bien sûr. Des affinités se développent avec certaines personnes. Mes compétences en administration de site web m'emmène assez vite à participer plus activement à la gestion de ce dernier. Je me retrouve donc à côtoyer virtuellement une des administratrices du site (elles sont deux). Nous appellerons cette jeune femme Hermione (allusion à Harry Potter dont elle est fan). 

Hermione est ce qu'on appelle une hypersensible. Cela signifie que ses émotions font des hauts et des bas assez brutaux selon les évènements. Lors de nos diverses discussions, nous avons développé une véritable complicité et un attachement sérieux. Nous nous faisons confiance l'un l'autre. Je suis là quand elle a besoin de moi, par messages et visios interposés. Je la soutiens quand elle va mal, je la calme quand ses émotions débordent un peu trop. Petit à petit, elle me considère comme son tuteur, je ne suis pas le seul, Hermione n'est pas quelqu'un d'exclusif. Cela ne m'importe guère. Sa confiance m'importe, par contre. Et avec le temps cette confiance se renforce.

Le moment où les choses basculent :

Hermione a besoin d'un daddy. Oula, me direz-vous, qu'est-ce que ça signifie ? Elle a besoin de ce qui lui a manqué durant toute une période de sa vie : une figure paternelle, quelqu'un qui prend soin d'elle, qui l'encourage, mais aussi qui la cadre quand il y a besoin. Au moment de ces évènements dont je vous parle, Hermione a un daddy. Celui-ci, d'après ce que je sais, et pour avoir discuté avec lui, fait vraiment de son mieux. Mais une incompréhension s'installe entre eux et c'est la rupture. Hermione est effondrée, elle se rejette la faute entièrement, alors que comme dans la plupart des cas il s'agit généralement d'un problème de communication. Mais la confiance est rompue, Hermione est de nouveau "orpheline". Pour ma part, j'ai développé un attachement pour cette fille, une forme d'amour. Ok, stop. Je vais préciser un point important : je suis en couple et très heureux dans ce couple. Celui-ci intègre la discipline domestique et je suis amoureux de ma compagne de vie. Nous avons des projets et nous vivons ensemble. Ceci étant dit, je peux développer des sentiments d'amour, d'attachement pour d'autres personnes, des personnes qui comptent pour moi, des personnes qui font partie de ma vie et auxquelles je tiens. Hermione était en train de devenir l'une d'entre-elles, et elles ne sont pas si nombreuses, les personnes auxquelles je tiens vraiment. 

Alors arrive un moment où je lui propose de remplacer son daddy. La rupture est fraîche et je m'attends à ce qu'elle veuille prendre son temps pour décider. Mais voilà, rien ne se passe comme je l'imaginais. Elle me réponds oui, tout de suite. Là, je tombe de cul ! et de joie ! J'apprendrai plus tard de sa propre bouche qu'elle espérait cela depuis longtemps mais qu'elle n'avait osé me le demander. Je commence alors "officiellement" à la tutorer et à être son daddy. Etant hypersensible moi-même, la communication est nettement plus facile, nous nous comprenons, nous savons l'un et l'autre que nous pouvons être maladroits dans nos mots et nos gestes, nous acceptons de nous tromper, de nous chercher un peu. Et puis, elle n'y tient plus, elle veut qu'on se rencontre pour de vrai, elle veut me voir, elle veut me prendre dans ses bras et me serrer très fort, elle veut passer du temps avec moi. La présence de Sarah, ma compagne est aussi désirée, Hermione a hâte de la connaitre, et Sarah souhaite aussi ardemment la connaitre. Hermione nous proposa de la rejoindre dans une ville à mi-chemin de nos domiciles respectifs, elle nous offrit le gîte. Ainsi fut pris date pour les 22 et 23 avril. Nous nous y préparons, Sarah et moi. 

Le moment de vérité :

Mercredi 20 avril 2022 : Hermione m'envoie un message : "Pouvez-vous partir un jour plus tôt, un ami a des problème pour rejoindre Toulouse. Il peut vous rejoindre à Bordeaux. Il arrive à la gare jeudi soir.

- Pas de problème, lui réponds-je, ce n'est pas loin de chez nous, on le récupère, il fera le reste du voyage avec nous.

- Super, c'est génial et je vais profiter aussi de vous un jour plus tôt. Je te donne l'adresse exacte d'arrivée."

Son ami est super sympa, je l'appellerai Marc, ici. Nous le récupérons très facilement à la gare et nous partons pour Toulouse où nous arriverons un peu plus de deux heures plus tard. Notre lieu de rencontre initial est devant un bar à bière très connu dans ce secteur. Sarah et Marc sortent de la voiture en premier et vont à la rencontre d'Hermione. Moi, je range mes affaires, arrêt du GPS de mon téléphone, je le débranche te le mets dans ma poche. Mon cœur accélère, je vais rencontrer Hermione pour de vrai. Je m'approche du groupe et je la vois, j'ai un moment d'hésitation, je souffle un grand coup, "Hermione ?" Elle m'aperçoit. "Daddy !" s'exclame-t-elle. Nous nous serrons dans les bras l'un de l'autre, naturellement, sans faux semblant, sans arrière pensées, comme si on s'était juste séparés il y a quelques jours. 

Nous entrâmes dans le bar où Marc nous offrit à boire. Je voudrais ici le remercier car c'est aussi lui qui a pris à sa charge le carburant du voyage. Merci mille fois Marc.

Nous faisons la fermeture du bar mais l'hôtel n'est pas loin, un Première Classe. C'est pas le grand luxe, mais c'est correct pour cette nuit non prévue. Nous profitons de cette soirée pour nous faire des câlins. Et puis nous nous sommes mis au lit, j'ai pris l'initiative de border Hermione, comme si c'était ma fille. C'est comme ça que je l'appelais depuis un petit moment. C'est comme ça que je sens les choses depuis la fin de ma relation père-fille que j'avais avec Lucie. C'est une nouvelle chance qui m'est offerte, et j'ai bien l'intention de la saisir. 

Je ne dors pas, je somnole. Résultat, je me réveille avec une espèce de torticolis qui ne va pas me quitter jusqu'à...ceci est une autre histoire. Bref, nous nous réveillons le matin, mes deux protégées (Sarah et Hermione) sont en forme, même après la courte nuit. D'ailleurs, ma fille commence à me titiller. Je ne réagis pas mais note le fait mentalement. Sarah s'amuse aussi à me provoquer un peu. Je pense qu'elle veut juste attirer mon attention alors que je suis un peu focalisé sur Hermione que je découvre. Sarah a bien fait, cela me permet de me recentrer sur le présent. Nous devons rendre la chambre à onze heures, nous nous bougeons. Promenade de son chien (ah oui, elle a un petit chien adorable prénommé Nox, ce qui me fait penser à nitrox, un mélange utilisé en plongée profonde, c'est un bon moyen pour moi de le retenir, par association d'idée), café rapide et on quitte l'hôtel, direction le centre de la ville rose, vu qu'on ne pourra avoir l'appart-hôtel qu'à partir de seize heures. Nous nous baladons ainsi une bonne heure. Hermione a vécu à Toulouse quelques années, du coup, elle nous fait partager ses connaissances de la ville. Puis nous décidons de nous installer en terrasse pour boire un verre, il est midi passé. Je profite de chaque moment passé en compagnie d'Hermione. Sarah et Hermione deviennent de plus en plus complices. Elles s'amusent à m'embêter gentiment. Nous décidons de rentrer à l'intérieur du restaurant pour un très bon repas. Nous nous sommes régalés. J'avais commandé un bon Bordeaux (St Estèphe, un Médoc, en fait) pour accompagner le repas. Nous en avons pleinement profité sans abus toutefois.

Après le repas, nous décidons d'aller faire un tour dans un magasin spécialisé dans l'univers d'Harry Potter. Le deux filles ne sont pas fan, elles sont addicts ! Elles se font plaisir et achètent quelques objets relatifs à la saga. Elles sont guillerettes. Du coup, elles ne se gênent pas pour me provoquer. Encore une fois je laisse faire, même si j'aurais bien envie de leur en administrer une en public pour leur apprendre qu'on ne joue pas impunément avec moi. Je m'abstiens et je ronge mon frein. Il sera bien assez tôt pour corriger les demoiselles insolentes !

Il est temps de rejoindre notre deuxième hôtel. Rien à voir avec le premier. Hermione, qui s'est chargée de la logistique pour ce weekend a vu les choses en grand. C'est un espace de trente cinq mètres carré qui nous attend, divisé en deux pièces principales. Nous nous y installons et prenons nos marques. Nous détendons un moment, nous nous câlinons aussi beaucoup, nous en avons tous besoin, il faut que les émotions sortent, moi le premier. Et puis vient le moment fatidique pour Hermione. 

Quand les choses deviennent sérieuses :

Je demande à ma fille de sortir son carnet de punition. Elle le fait avec beaucoup d'appréhension. Elle s'assoit sur le lit dans l'attente du verdict. Cinq fessées sont notées sur son calepin mais je trouve qu'une des cinq n'est pas justifiée, je la raye donc. Il en reste quatre. Je lui demande de se mettre au coin pour commencer. Elle s'y installe sans protester, elle sait que je peux être très convaincant, même si je ne l'ai encore jamais fessée. Je lui baisse son pantalon et sa culotte et lui enlève complètement.

Le menu commence par une dépense non autorisée. Hermione doit faire gaffe à ses sous. Donc elle doit me demander pour toute dépense non indispensable. Ce n'est pas une faute extrêmement grave, mais elle doit être punie comme il se doit. En plus c'est la première, je dois démontrer que je peux être sévère mais aussi que je sais être juste. Je penche Hermione sur mes genoux, je sens la tension monter en elle. Je lui explique pourquoi je vais lui donner cette fessée, et je commence à taper ses fesses très fermement, mais sans excès. J'observe avec beaucoup d'attention ses réactions. La fessée dure à peu près une minute. Ses fesses se colorent déjà d'un joli rosé. Elle a un postérieur très ferme avec une peau très douce. Cela me fait presque mal de le faire rougir ainsi. Mais je suis aussi là pour cela. Une fois cette première fessée terminée, je la renvoie au coin. Je sens bien que sans être insupportable, cette première fessée a fait son petit effet. Maintenant, elle sait que les suivantes vont piquer.

Au bout de deux minutes de coin, je lui ordonne de revenir en travers de mes genoux. Cette fois, c'est pour dépassement de plafond de carte bleu. Là encore, rien de très très grave, mais pour avoir été dans une situation financière difficile, et devant le mal que j'ai à m'en sortir, je ne veux pas qu'elle se retrouve dans cette situation. Je lui donne une fessée un peu plus sévère d'une minute environ. Puis retour au coin. C'est là que ça se corse comme dirait Napoléon (oui, je sais, elle est éculée, celle-là) !

Cette punition concerne des faits qui, pour moi, sont nettement plus graves. Il s'agit d'un oubli de son traitement. Je la penche sur le lit cette fois-ci ce qui me permet de la fesser avec plus d'intensité. Cela fait son effet assez rapidement, elle accuse les claques beaucoup plus difficilement, ça commence à piquer. Les capillaires de ses fesses éclatent à certains endroits. C'est le problème avec ce type de fesses. La peau est tendue et du coup, les plus petits vaisseaux se situent plus près de la surface. Quoique je continue à la fesser, je retiens un peu plus ma force. Cela reste douloureux malgré tout pour elle, surtout que quelques claques tombent aussi sur le haut des cuisses. Après m'être assuré que la leçon avait porté, je la renvoie au coin, non sans lui avoir fait tout de même un câlin, sachant ce qui allait suivre. Je l'y laisse un bon moment pour que la douleur s'atténue un peu. 

Après cinq minutes, je lui demande de se repencher sur le lit. Avant de commencer je lui explique bien pourquoi elle va recevoir cette punition. C'est un fait très grave, à mes yeux que de mélanger alcool et médicaments, quelque soit le médicament. L'interaction alcool-médicament est toujours, je dis bien toujours dangereux. Je ne l'accepte pas. Je suis donc en colère, non pas contre elle, mais contre ce qu'elle a fait. Je sors un instrument : le paddle. Je le pose à proximité de ma main. Je commence par une fessée à la main, avec une force assez intense. Cette fois, des marques distinctes apparaissent sur ses fesses et la jonction fesses-cuisses. Inutile de vous dire que ça fait mal et cela devient compliqué pour elle. Mais je dois me montrer sévère et cette fois, je vais me montrer dissuasif. Je la préviens que ça va faire mal. Je saisis mon paddle en bois (pas trop lourd, mais très pratique) et je commence à la fesser (avec une force modérée tout de même) sur les fesses et ensuite sur le haut des cuisses. Là, elle craque. C'était mon but, je lui donne quatre coups supplémentaires, ensuite je m'arrête (mon but n'est pas de la traumatiser et c'est la première fois qu'elle goûte à mes punitions).

Je jette mon paddle sur le lit et je la prends dans mes bras pour la consoler. La punition est terminée et ses fautes pardonnées. Alors ce moment de réconfort est important, autant pour moi que pour elle. Je demande à Sarah de me donner le gel à l'arnica pour soulager la douleur. Et la pommade fait son œuvre, Hermione me remercie de cette attention.

Ainsi se termine cette première phase de la journée avec toutefois une suite prévue :"Vous m'avez titillé toute la journée toi et Sarah ! Tu recevras donc une fessée avant de te coucher et Sarah aussi !" fais-je.

Cette annonce a l'effet d'une bombe dans la tête d'Hermione. Elle sort d'une assez grosse punition et ça va recommencer ce soir. Je la sens en panique l'espace d'un moment.

Le soir arrive, nous regardons un peu la télé dans les bras des uns des autres. Puis, au bout d'un moment, elle me dit qu'elle commence à être fatiguée. C'est donc ce moment que je choisis pour lui rappeler sa punition. Elle s'est mise en pyjama et je le lui baisse après l'avoir installée sur mes genoux. Elle me dit :"Pas trop sévère, hein ?

- Non, il s'agit d'insolences légères."

Ainsi rassurée, elle se prépare mentalement à la suite. Et malgré le fait que je tape modérément ses fesses déjà bien marquées, cela reste douloureux et je sens bien que c'est difficile pour Hermione de tenir. Ne souhaitant pas la pousser dans ses retranchements, j'arrête assez vite cette punition.

Mais il n'en va pas de même pour Sarah qui n'en a pas encore prise de la journée. Je la penche sur le lit et commence à la fesser assez fort à la main. Mais elle a l'habitude de mes fessées et du coup elle me défie. Je sors le martinet. Une dizaine de coup la calme un peu, mais elle ose encore me provoquer. Cette fois, c'est trop, je ressors le paddle que j'avais rangé. Et je me lâche ! Et ça porte ses fruits. Sarah n'ose plus rien dire et accuse les claques de l'instrument. Je finis par une fessée à la main. Elle ne bronche plus, même si au sortir de la fessée, elle m'affiche un timide sourire. Je sais que ça lui a fait mal. Mais elle est trop fière pour me le dire.

Après cet épisode, Sarah décide d'aller prendre sa douche. J'en profite pour câliner Hermione et la border. Et je la laisse s'endormir paisiblement. Je retourne dans notre chambre et je retrouve Sarah dans les bras de laquelle je m'endors paisiblement cette fois. Et la nuit sera une bonne nuit pour moi, et pour les filles après cette intense journée.

Le lendemain, samedi 23 avril 2022. 

J'appréhende cette matinée. C'est celle des au-revoirs. Celle de la séparation. Je ressens ce moment toujours comme une déchirure. Ce que nous avons vécu fut si intenses, si profonds aussi. Je n'aime pas ces moments là. Et pourtant une évènement va alléger la lourdeur de cette matinée. 

Nous nous réveillons, les uns après les autres, nous préparons nos affaires, nous nous câlinons, nous refusons l'inéluctable. Nous ne savons pas trop, ni les uns ni les autres comment gérer ce temps qui va bientôt nous séparer. C'est Hermione qui trouve la solution en me provoquant. Je l'avertis une fois, mais elle recommence. Je me lève de ma chaise, je la chope et lui colle quelques claques sur son pantalon. Je vois à son sourire qu'elle se moque ouvertement de moi. L'occasion est trop belle, je baisse son pantalon et la tiens sous mon bras gauche, je lui colle quelques claques modérées sur son fessier dénudé. Rien de vraiment terrible. Je la relève, la regarde en face et vois bien qu'elle attend mieux. Je la tire par le bras, l'emmène jusqu'à la chambre, m'assois sur le lit la penche sur mes genoux et commence à la fesser un peu plus intensément. Trois bonnes salves plus tard, dont une à un rythme très rapide, elle rend les armes en criant stop à plusieurs reprises. Ce n'est pas son mot de sauvegarde, mais je n'insiste toute fois pas au-delà, estimant que la fessée avait porté, cette fois. Je lui fis un gros câlin et elle me demanda pardon. Ce fut la dernière fessée du weekend. Et bizarrement, c'est celle que je retiendrai, même si les autres resteront dans ma mémoire.

Il était l'heure, cette heure que je redoutais tant, que Sarah redoutait aussi, qu'Hermione avait du mal à gérer, je le sentais bien. Je n'ai pas voulu en faire un moment trop difficile et j'ai tout fait pour simplifier les choses, mais les sentiments sont là, et chacun de nous, je crois, l'avons vécu comme une déchirure, même si nous nous sommes promis de nous revoir très rapidement.

Voilà, je vous ai retracé ce moment hors du temps pour moi, ce moment de magie. Je me suis retrouvé au quai neuf trois quart jeudi soir, et la magie a commencé. Mais le retour chez les moldus ce samedi fut difficile...

Merci Sarah, merci Hermione... Je n'aurai pas pu le vivre sans vous, j'ai adoré chaque seconde que nous avons passé ensemble... Vivement mon retour à Poudlard...

Cette première rencontre, comme à chaque fois restera gravée à jamais dans ma mémoire...