Mai 2022
C'est le jour de l'anniversaire de ma fille Hermione (voir sujet correspondant dans ce blog). Nous nous sommes réunis avec Sarah, et deux autres amis pour fêter cet anniversaire. Je ne connaissais aucun des deux amis présents avant cette journée. Il y a Marc et Léa. Marc est un des tuteurs de Léa, celle-ci n'étant pas exclusive. La jeune femme est extrêmement discrète et se contente d'observer, d'essayer de comprendre l'ambiance de la soirée. De mon côté, je l'observe aussi. Même si je suis allé la chercher à la gare, nos rapports restent assez distants.
Sarah (surtout elle) va dérider la situation en me provoquant et en provoquant Marc. Elle se retrouvera sur nos genoux à tour de rôle pour des fessées somme toutes assez légères. Du coup, Léa décide de provoquer un peu son tuteur et c'est à son tour qu'elle reçoit une petite fessée.
Un peu plus tard dans la soirée, c'est moi qu'elle vient provoquer. Ce fut sa seule et unique erreur de la soirée. Explications : j'ai l'habitude de jeunes filles assez, voire, très résistantes. Du coup, j'applique à Léa la même dynamique que j'ai coutume d'appliquer aux autres. Juste une dizaine de claques, et c'est déjà insupportable pour Léa prête à craquer. Étant donné que ce n'était pas le but, je stoppe immédiatement, je la prends dans mes bras et la réconforte, comme je fais systématiquement après avoir donné une fessée. Cette fessée scellera notre relation à jamais. Le fait d'avoir stoppé, de l'avoir réconforté sans la juger ni lui poser de question a établi la confiance entre nous.
Le lendemain, nos deux amis regagnent leurs pénates. Mais Léa souhaite nous revoir rapidement. Elle me demande à demi mots si je pouvais l'aider, être l'un de ses tuteurs. Je lui réponds que nous en parlerons à tête reposée.
Les jours suivants, nous échangeons beaucoup par messagerie interposée. Je lui demande ce qu'elle souhaite et nous mettons des objectifs de tutorat en place ensemble. Parmi ces objectifs, il y en a un très important. Léa est une geek invétérée qui a pour habitude de passer des nuits blanches derrière son ordinateur ou son téléphone. Je le lui ai interdit. Pas de nuits blanches et un couvre feu à deux heures du matin (elle a vingt ans et je me dois de lui laisser un peu de liberté correspondant à son âge). Je lui demande de préparer un tableau pour un suivi de ses objectifs et nous ferons un bilan d'ici une quinzaine de jours.
Les quinze jours passent, et je retourne la chercher à la gare pour un petit séjour chez nous. Elle apprécie d'être avec nous. Les liens entre Hermione, Sarah, elle et moi se renforcent. Nous nous faisons beaucoup de câlins et Léa commence à trouver un peu ses marques. Elle sait toutefois qu'elle va passer un très mauvais moment. Je lui ai interdit les nuits blanches strictement. En regardant son tableau, il y a de nombreux dépassements de couvre-feu et une nuit blanche. Je décide de régler cela en soirée. Je sais maintenant qu'elle a un fessier sensible. J'agirai en fonction.
Arrive donc le moment tant redouté :"Il faut qu'on discute en tête à tête toi et moi !" Elle a tout de suite compris que ça allait chauffer pour ses fesses, surtout avec le souvenir de la première qu'elle a reçue dans le cadre du jeu en plus. Maintenant cela va être une punition et si elle me suit dans la chambre docilement, c'est avec une très forte appréhension, voire même une certaine peur.
"J'ai regardé ton tableau, Léa, que dois-je en penser ?
- C'est pas vraiment joli, me répond-elle penaude.
- Et que dois-je faire, d'après toi ?
- Me punir ?
- D'accord, et comment devrais-je te punir ?
- Par une bonne fessée ?
- Pas une, mais deux ! Une pour tes dépassements et une autre pour ta nuit blanche. Viens par ici, en face de moi !"
Je lui baisse pantalon et culotte. "Vas te mettre au coin, main derrière le dos et tu ne bouges pas. Prends ce temps pour réfléchir à tes bêtises et à ce qu'il va t'arriver dans quelques minutes !"
N'osant me contrarier, elle s'y place et ne bouge plus d'un cheveu. Mais je sens bien son appréhension, sa crainte monter encore d'un cran. J'aime autant, je ne souhaite pas la punir encore pour la même chose. En agissant ainsi, j'espère bien lui faire passer le bon message.
Cinq minutes plus tard, je lui demande de se pencher sur mes genoux. "Pourquoi tu es dans cette situation, Léa ?
- Car j'ai dépassé mon couvre feu.
- Exactement. Cette fessée sera modérément sévère. J'espère que cela sera suffisant à te faire comprendre que je n'accepte pas ces dépassements.
- Oui, Yves."
Je commence alors une fessée avec une intensité progressive. Ne connaissant pas bien sa sensibilité, je me montre particulièrement attentif à ses réactions. A un certain stade, je n'augmente plus la force des claques. Et cette fessée aura duré trois minutes. Une éternité déjà pour elle. Je sens qu'elle a eu mal, mais c'est resté supportable. Je la renvoie au coin, je vois aussi par la même occasion ses yeux déjà humides. Cette fessée a porté ses fruits. Mais celle à suivre sera d'un autre niveau. D'ailleurs Léa sait très bien que cette première fessée n'a été qu'un hors d'oeuvre. Elle craint la suite et au bout de cinq minutes je la rappelle sur mes genoux. "Tu sais pourquoi je vais te punir, cette fois ?
- Pour ma nuit blanche... Me dit-elle au bord des larmes.
- Oui. Je te l'avais strictement interdit ! Strictement ! Et tu m'as désobéi ! Cette fessée sera donc très intense. Tu vas avoir mal, c'est une punition dont je veux que tu te souviennes. Je veux qu'elle soit à jamais ancrée dans ta mémoire, comprends-tu ?
- Oui, Yves. Je comprends."
Après lui avoir demandé si elle était prête, j'entame une fessée assez intense dès le départ. Léa comprend très vite que je ne plaisante plus. Ses fesses souffrent. Elles se parent d'un couleur rose tendant vers le rouge au fur et à mesure que les claques tombent sur sa peau douce et tendue par la position. Léa craque et les larmes coulent, mais je ne m'arrête pas pour autant. La punition doit être mémorable. Une cinquantaine de claques plus tard, j'estime que cela suffit. Je l'envoie au coin en la tenant par le bras. A ce moment là, je lui réitère la consigne : pas de nuits blanches. Et j'appuie cette consigne par de nombreuses claques sur ses fesses déjà très douloureuses. Elle m'assure qu'elle ne recommencera plus. Je la laisse tranquille au coin pendant une dizaine de minutes. Puis je viens la prendre délicatement dans mes bras pour la réconforter et l'assurer de mon pardon total et entier. Nous nous allongeons sur le lit un moment dans les bras l'un de l'autre. Elle me remercie de l'avoir prise en charge. Un peu plus tard, elle me demandera d'être son tuteur principal. J'accepte, bien entendu, c'est une fille adorable qui mérite pleinement mon aide. Elle n'a pas fait de nuit blanche depuis cette punition, cela fait plusieurs mois, maintenant.
C'est le début d'une magnifique histoire entre deux personnes qui ne fait que commencer.
A Suivre...
Super récit , Monsieur, félicitation
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