Vendredi 19 août 2022.
Cela fait un bail que je n'ai pas écrit ici. Trop de choses et pas l'envie. Je vais tâcher de résumer un peu : la relation avec ma compagne se renforce au gré des questionnements de chacun. Aujourd'hui, Hermione est ma fille officiellement à la décision d'un juge près, les actes authentiques sont signés. Je suis chez ma fille depuis le dix août. Elle me manquait trop. J'ai mis en vente ma maison et j'ai une offre d'achat. Reste les formalités pour que ce soit effectif. Pour le moment, nous avons gardé l'appartement de Bordeaux de Sarah. Cela nous laisse un pied à terre dans la région.
Hermione est tombée amoureuse de Léa et du coup, elles ont entamé un début de vie commune. Je suis aussi devenu le tuteur principal de Léa par la même occasion et elle en avait besoin. Par exemple, elle a dépensé beaucoup d'argent dans des lectures en lignes. Trop. Après en avoir discuté avec elle, j'ai décidé qu'un avertissement ferme s'imposait. Ce fut une bonne fessée sévère mais sans excès. A l'avenir, si ça se reproduit, ce sera une vraie punition.
Quant à Hermione, je m'étais montré très indulgent avec elle, car son état psychologique m'y obligeait. C'est quelque chose à laquelle je fais toujours attention au risque de passer pour laxiste. Cela eût un effet pervers. Elle ne craignait plus mes punitions et son comportement commençait à dériver. Ce n'était plus possible. Son cahier de punition faisant état d'oubli de médicaments, je décidais de profiter de cette occasion pour réinstaurer une discipline digne de ce nom.
Ce fut un soir, après qu'elle soit rentrée du travail que je me décidais à lui faire comprendre qu'il n'y aurait plus de tolérance. De plus je comptais bien la faire craquer, je sentais qu'elle en avait besoin. Je l'emmenai dans sa chambre et après l'avoir sermonnée, je lui baissai son pantalon et sa culotte. Je commençai une fessée longue et intense en visant aussi les endroits sensibles.
"Pas les cuisses, me supplia-t-elle.
- Ce n'est pas à toi de décider, Hermione, n'est-ce pas ?
- Oui, papa."
Je continuais donc la fessée. Au bout de trois minutes de ce traitement, je l'envoyai au coin sans même lui faire un câlin, à son grand étonnement. Je lui demandai si elle avait quelque chose à me dire.
"C'est bon, là, j'ai compris !" Me retorqua-t-elle énervée.
J'ai une sainte horreur de ce genre de réponse. Je la repris par le bras et l'allongeai de nouveau sur mes genoux pour une série de claques fortes et très rapides. J'obtins la réponse attendue : "Pardon, papa." Je la renvoyai au coin, toujours sans un câlin. La punition n'était pas terminée. C'est à ce moment là qu'elle craqua et qu'elle se mit à pleurer. Le moment du câlin, c'était maintenant, sa punition était terminée, c'était le moment de lui dire que tout était pardonné, que j'étais son père et que l'intransigeance avait fait son retour.
Plus tard, elle me remercia en m'avouant que cette sévérité lui avait manqué. Elle se sentait à nouveau tenue. Et c'est ce dont elle avait besoin.
Aujourd'hui, nos projets avancent, même si ce n'est pas aussi rapidement que l'on voudrait. Des petits soucis viennent toujours retarder telle ou telle chose, mais c'est le quotidien de chacun. On fait avec.
Ce texte est donc court, mais je voudrais rajouter quelque chose. On ne choisit pas ses parents, on ne choisit pas sa famille, certes. Nous avons choisi, Sarah, Hermione, Léa et moi de nous créer notre famille, la construire au travers des valeurs auxquelles nous croyons, dans l'amour, la sincérité et l'authenticité, sans nous juger les uns les autres. J'en suis heureux, nous en sommes heureux.
A Suivre....
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