Hannah (3)

Dimanche après midi. 

Nous sommes seuls Hannah et moi, dans la chambre de notre appart-hôtel. Je m'assois sur le bord du lit et regarde la jeune fille devant moi qui fait tout pour fuir mon regard. Je n'ai pas encore prononcé un seul mot. Mais je la sens nerveuse. Elle s'imagine ce qui l'attend, mais c'est bien en dessous de la réalité, sauf qu'elle ne le sait pas encore.

"Regarde moi, Hannah, et dis-moi pourquoi tu te retrouves dans cette situation.

-.........

- Hannah ?

- Parce que j'ai fumé des joints, dit-elle toujours en fuyant mon regard. 

- Rappelle moi combien et regarde moi en face quand tu me réponds.

- J'en ai fumé quatre, me dit elle en essayant de soutenir mon regard mais la tête basse.

- Tu m'avais dit un seul que j'ai déjà puni, il me semble, et maintenant tu me dis quatre ? Tu vas donc prendre trois fessées pour commencer la journée. Approche ! "

Elle n'ose résister à mon injonction et s'approche sans trop de crainte pour le moment. Dans son regard, alors que je suis en train de lui enlever son short et sa culotte, je vois bien qu'elle se croit très résistante et elle pense que ça va être une promenade de santé, au moins pour le moment, sachant qu'il y a une très grosse punition à venir pour plus tard dans la journée. 

Je lui fais comprendre de s'allonger sur mes genoux. 

"Tu es consciente que tu vas recevoir une fessée par joint consommé en plus du premier ?

- Oui, me répond-elle.

- Tu acceptes ta punition ?

- Oui." me dit-elle en hochant la tête.

Cela paraît anodin, dit ainsi, mais ces deux questions et leur réponse formalise son consentement éclairé à recevoir cette punition. 

Les premières claques tombent sur ses fesses. Elles sont fortes et puissantes, avec un rythme relativement lent. Elle m'avait assuré qu'elle ne marquait pas beaucoup, au grand désespoir de ses précédents fesseurs. Bon, ben, après une vingtaine de claques que je qualifierais de modérées en ce qui me concerne, la peau de son postérieur commençait à prendre une teinte franchement rosée.

Je sentais à ses réactions, même si elle ne disait mot, qu'Hannah était un peu surprise par l'intensité de cette première fessée. Ça n'augurait rien de bon pour la suite. Elle s'efforçait de faire profil bas, alors qu'elle était plutôt d'un naturel provocateur. 

Pour moi, la première fessée est toujours la plus importante car elle permet à la partenaire de savoir à qui elle a affaire. C'est aussi à ce moment là, pour le fesseur, qu'on évalue la résistance de sa partenaire afin de ne pas la pousser au-delà de ses limites. Enfin, c'est le moment où s'installe la confiance en l'autre. Les loupés, ça arrive, ça m'est déjà arrivé. Donc malgré tout, je reste prudent.

Mais la fessée que je lui administre porte ses fruits car lorsque je l'arrête et que j'envoie Hannah au coin à genoux, elle ne discute même pas et s'exécute sans rechigner ouvertement, tout au moins. J'imagine que dans sa tête, elle doit se dire qu'il ne vaut mieux pas faire de vagues pour le moment. Je constate qu'elle a les fesses bien rosées. 

Cinq minutes plus tard, je la rappelle pour le deuxième round. Même si elle ne dis rien, je sens que c'est plus compliqué car je tape un peu plus fort. Ses réactions sont un peu plus vives mais ne se plaint pas. Je la renvoie au coin pour cinq minutes. 

Troisième et dernière fessée de cette série. Cette fois, je l'installe à genoux penchée sur le lit. La fessée est plus douloureuse et Hannah commence à la sentir passer. C'est surtout dû à la position où la peau est nettement plus tendue. Je dois reconnaître que la jeune fille est résistante physiquement. Moralement, je la sens toutefois moins sûre au fil des fessées que je lui administré. Je la renvoie au coin, fin de la première partie, il est tout de même treize heures. Il en reste une importante à lui donner mais je lui accorde une pause avec le reste de la famille présente à savoir Hermione et ma compagne Sarah toujours dans un état d'agonie suite à sa gastro.

Il se passe environ une heure ainsi, pendant laquelle Hannah a quand même réussi à mettre Hermione en colère pour lui avoir coupé la parole. Ma fille tente de lui en coller une, mais son état de fatigue ne lui permet pas d'être efficace, je prends rapidement le relais. Ça la calme d'un coup. 

La discussion continue un moment mais seulement voilà, l'heure tourne et je décide de passer aux choses très très sérieuses. 

A suivre...