Dimanche après midi...
Après avoir passé du temps à discuter avec les autres filles, je récupère Hannah pour régler un problème épineux, une très grosse bêtise. Cette bêtise est assez intime et je n'en donnerai donc pas le détail ici, hormis le fait que cela touche à sa santé. Sa bêtise est suffisamment grave pour que je décide de la punir très sérieusement.
Je l'attrape donc et l'emmène dans la chambre, ferme la porte derrière moi.
"Bien, lui dis-je, tu sais pourquoi tu es dans cette situation. Raconte-moi.
- J'ai fait une très grosse bêtise.
- Et ? Regarde moi quand je te cause !
- Et c'est dangereux, ce que j'ai fait.
- Regarde-moi, Hannah. Continue.
- Je vais être punie pour ça.
- Approche ! "
Là, je sentis de l'hésitation chez elle. A la suite de la quatrième fessée, je lui avais confisqué son short et sa culotte, elle se retrouvait donc à moitié nue devant moi. Et si jusqu'ici, je n'avais pas senti de gêne particulière chez elle, à cet instant précis, devant l'imminence de ce qui allait suivre, et au vu des fessées déjà reçues, sa gêne, son appréhension devenaient plus visible.
J'imaginais à peu près ce qu'il se passait dans sa tête. Elle savait que cette punition n'aurait rien à voir avec les précédentes qu'elle avait déjà bien senti passer.
Je la mis en position sur mes genoux pour le premier round. Une fois installée, je commençais une fessée très appuyée. Avec l'accumulation, je sentais sa résistance s'affaiblir. Mais ça ne me suffisait pas, alors je commençais à fesser l'arrière des cuisses. Je compris très vite l'efficacité de ce traitement.
Je fis une première pause, non sans la gronder au passage et la renvoyait au coin, debout cette fois mais jambe écartée pour augmenter sa honte. Elle obéit sans mot dire.
Au bout d'une minute, je la fais se pencher à nouveau sur le lit, là aussi les jambes écartées. A ce moment là, le but n'est d'exposer son intimité dont je me moque totalement mais d'avoir un accès libre à ses cuisses et à l'intérieur de celle-ci. Et je recommence la fessée mais cette fois en m'attardant plus souvent sur les cuisses. Les réactions d'Hannah commencent à être visibles, et audibles sous la forme de plaintes discrètes. Je fais une pause en lui disant de conserver la position jusqu'à ce que je revienne. Je sors de la chambre, vais à la cuisine et y trouve une spatule en bois un peu usagée qui me convient très bien pour ce que je projète de faire. Je retourne dans la chambre avec ledit objet.
Je repositionne Hannah sur me genoux. Celle-ci ne se doute absolument pas de ce qui va lui tomber sur les fesses sous peu. Je recommence à la fesser à la main. Je ne retiens plus ma force. Mon but : la faire craquer, faire en sorte qu'elle pleure et ce, pour deux raisons. La première, évidente, est que je veux que cette punition soit mémorable pour elle, qu'elle se souvienne que si elle recommence, elle se retrouvera dans une situation similaire, voire pire. La deuxième est que je souhaite qu'elle relâche ses émotions qu'elle retient depuis bien trop longtemps.
Ma tentative de la fesser à la main commence à porter ses fruits, surtout quand mes claques atteignent l'intérieur de ses cuisses (seul endroit où je retiens encore ma force, car je sais que c'est très douloureux). Ses gémissements se font plus présents. Je prends alors la spatule et continue la correction avec. Je pense qu'elle me hait à l'intérieur d'elle même. Mais mon but est atteint, je la sens hocqueter, ce qui signifie qu'elle pleure, même si elle prend bien soin de me le cacher. M'arrêter à ce moment là aurait été une erreur que j'ai déjà commise par le passé, il faut pousser un peu plus loin, mais pas trop. C'est pour cela que je repose la spatule et que je continue deux bonnes minutes à la main.
A ses réactions, je comprends que cela suffit pour cette punition et j'arrête donc. Je la libère et je la prends dans mes bras pour la consoler et je lui dis que c'est fini. Mais très vite, elle s'écarte de mes bras car elle ne veut surtout pas que je la voie pleurer. Question d'amour propre. Je comprends. Elle reste quand même près de moi. Je l'aide à s'allonger sur le lit et la rassure.
Je comprends aussi qu'elle a besoin d'être un moment seule. Je me retire donc quelques minutes de la chambre. Cela lui permet de se reconnecter à la réalité. De réordonner ses émotions et de retrouver un peu de contenance.
Avant qu'on ne se rencontre, elle m'avait assurer qu'il y avait peu de chance que j'arrive à la faire pleurer étant donné que ce n'était arrivé que très rarement voire, jamais. Hannah m'avouera, à contre cœur, que j'avais réussi et qu'elle en était la première surprise.
Alors oui, la punition fut sévère mais justifiée au regard de la gravité de la faute commise. Et si c'était à refaire, je le referais, sans hésiter.
Il n'empêche qu'elle en gardera quelques traces pendant quelques jours.
Un quart d'heure plus tard, je la retrouve dans la chambre et cette fois, elle accepte mon câlin. Je lui redonne ses vêtements et elle se rhabille avec difficulté.
Nous retournons au salon avec les autres filles où nous passons du temps à discuter de nos vies respectives et apprenons à mieux nous connaître. Mais l'heure avance et il nous faut penser à rentrer chez nous. Mais il me reste une chose à faire pour clore cette journée avec Hannah. Je veux que cette journée soit ancrée en elle à tout jamais. Je prends Hannah avec moi, incrédule sur le fait qu'il y a de forte chance qu'elle se reprenne une fessée. Elle n'a pas tord.
"Je voudrais ancrer cette rencontre en toi de façon durable, lui dis-je. Je veux que tu te souviennes de moi. Alors oui, je vais te redonner une fessée pour que tu n'oublies pas que je vais être derrière ton cul pendant un moment et que les bêtises, c'est terminé ! "
Je l'attrape, la déculotte et l'installe en travers de mes genoux. S'ensuit ce qu'on pourrait appeler une bonne fessée qui en temps normal n'aurait pas été insupportable. Hélas pour elle, après les multiples fessées qu'elle a déjà prise dans la journée, cette dernière fut extrêmement douloureuse et faillit la faire pleurer à nouveau. Je stoppai juste avant que ce ne soit le cas, j'étais aux limites de ce qu'elle pouvait supporter pour la journée. S'ensuivit un câlin et il était temps que je la ramène chez elle. Au moment de s'asseoir dans la voiture, restée au soleil et dont les sièges étaient encore bien chauds, elle eut beaucoup de mal à s'asseoir.
Nous nous separames avec la promesse de nous revoir, déjà un petit regret que le temps soit passé si vite.
Je rejoignis ma femme et ma fille et nous entreprîmes la route vers notre domicile.
Dans la soirée, je continuais de discuter avec Hannah qui m'avoua qu'elle avait encore très très mal aux fesses mais que c'était mérité. Elle m'avoua aussi qu'elle ne s'attendait pas à ce que je sois aussi... démonstratif malgré les avertissement des uns et des autres qui me connaissent.
Nous décidons d'un commun accord de poursuivre cette relation que nous avons entamé, nous verrons bien comment elle évoluera, mais ceci est une autre histoire...
Fin de ce chapitre.
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