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Histoire fictive : une fille très spéciale 4

Episode 4 : l'action se précise...

Lisa avait rejoint Luc dans le salon après avoir pris sa douche. Elle portait très bien la tenue que lui avait imposé l'homme de vingt ans son aîné. 

"Bon, ça te va très bien. Écoute moi attentivement. Nous allons faire quelques courses au village. Je veux que tu sois sage comme une image, je connais tout le monde ici, et je n'hésiterai pas à te donner une fessée déculottée en public si nécessaire. C'est bien compris ?

- Oui."

Luc se leva d'un bond, attrapa la jeune femme par le bras et lui colla quatre bonnes claques sur le short. 

"Oui, qui ? Demanda-t-il.

- Aaaïeuh! Oui, monsieur.

- Chaque fois que tu oublieras, ce sera comme ça. Ou peut-être pire.

- Pardon, monsieur.

- Allez, on y va..."

Cela faisait déjà deux fessée qu'elle prenait dans la journée et même si ce n'était que quelques claques, cela faisait trop rapproché, il fallait qu'elle se calme, se disait-elle. Mais qu'est-ce que ça allait être dur !

Ils prirent la voiture, le village était à un peu plus de deux kilomètres. Luc gara la voiture devant une épicerie et avertit Lisa :

"Tous les gens du village sont des amis. C'est un tout petit village, tout le monde se connaît. C'est une communauté où il existe des règles et ceux qui ne les respectent pas sont punis. Pour les demoiselles et dames, la punition est une bonne fessée plus ou moins sévère suivant la faute commise. Pour les hommes, c'est un peu plus dur, puisque c'est un cachot peu confortable où le puni peut rester de quelques heures à plusieurs jours. Donc je te conseille de ne pas faire quelque chose que tu pourrais regretter, on est bien d'accord ?

- Oui, monsieur, je serai sage.

- Heureux de te l'entendre dire. "

Luc et Lisa sortirent de la voiture et entrèrent dans l'épicerie très bien achalandée pour un magasin de petit village. Lisa traînait dans les rayons de fruits et légumes. Elle adorait les fraises et il y en avait juste devant elle. Elle fut tentée d'en prendre une mais se souvint de l'avertissement de Luc. L'épicier, très gentiment s'approcha d'elle :

"Allez-y, vous en mourez d'envie, lui dit-il avec un grand sourire. Lisa ? C'est bien cela ?

- Oh, merci, monsieur. Et oui, c'est bien ça. Comment connaissez-vous mon prénom ?

- Ah, ah! C'est simple, Luc, pardon, monsieur Renan nous avait averti de ta probable venue. Tout le monde est au courant ici, y compris pourquoi tu es ici.

- Oh mais...

- Ne t'inquiète pas, tout le monde est ravi de pouvoir t'aider et tu es la bienvenue.

- Merci, mais m'aider ? comment ça ?

- Tu demanderas à monsieur Renan, il t'expliquera. " L'épicier donna une barquette de fraises à la jeune femme.

" Considère ceci comme un petit encouragement pour les épreuves qui t'attendent... "

Lisa qui adorait les fraises le remercia. Et rejoignit Luc. 

" Aaah ! Je vois que tu a fait connaissance avec Pierre, lui dit Luc. Il est toujours aussi papa gâteau avec mes élèves... Mais ne t'y trompes pas, il saura aussi te corriger si tu fais une bêtise. Il a toujours eu beaucoup de tendresse pour mes élèves, c'est un peu comme si c'était ses propres filles qu'il n'a jamais pu avoir.

- Oh, c'est triste. C'est comme moi, je ne pourrai jamais avoir d'enfant. C'est comme ça. "

Luc ne posa pas de questions sur le sujet, ce n'était ni le lieu, ni le moment. Ils sortirent de l'épicerie et mirent leurs emplettes dans la voiture avant de continuer. Mais en vrai, ils avaient déjà tout ce qu'il fallait pour tenir quelques jours. Luc invita Lisa au bar pour lui offrir un verre. En fait, c'était surtout pour la présenter au tenancier de l'établissement. Ils commandèrent leur boisson. Lisa fit donc la connaissance avec Jean, un type assez jeune pour un patron de café, peut être une trentaine d'année, très séduisant, mais trop gentil lui semblait-il. Luc, voyant bien son expression chuchota à Lisa :

"Je vois bien qu'il te plaît bien, Jeannot, mais ne t'y fies pas. Il est marié et sous son air gentil, c'est quelqu'un dont il faut éviter de se retrouver sur les genoux.

- Mais... Tout le monde est adepte de la fessée, ici ?

- Je te l'ai dit. Ce village est une communauté. A l'origine, un héritage m'avait permis de racheter ce village qui était complètement abandonné. J'ai décidé de le faire revivre avec des gens dont le mode de vie me correspondait. Au début, je me disais que ce serait très difficile. En fin de compte beaucoup de candidats à l'achat se sont retrouvés dans cette façon de vivre. Le village n'a pas besoin de maire. Administrativement, il dépend de la ville la plus proche mais nous avons une très grande autonomie et nous disposons d'un arrêté qui nous permet de filtrer les visiteurs. En fait, ce village est une propriété privée en soi, toujours à mon nom. Mais les gens qui y habitent y logent gratuitement à condition de faire les dépenses pour les éventuels travaux de chaque habitation. Dès lors que cette condition est respectée, ils peuvent y habiter le temps qu'ils souhaitent.

- Ohhh ! Donc c'est vous qui sélectionnez les gens qui habitent dans ce village.

- Au début oui, mais j'ai délégué ça à un comité composés de résidents permanents, je trouvais que c'était plus démocratique. La décision ne doit pas revenir à une seule personne. Il faut intégrer les nouveaux donc il y a un certain nombre d'étapes à franchir avant d'être choisi.

- Ça ressemble à une secte.

- Non, il n'y a pas de gourou. Si je suis propriétaire du village, c'est surtout pour garantir que l'état ne mettra pas la main dessus. Et en fait, cela l'arrange bien puisque il n'a pas à intervenir. Nous sommes autonome en énergie avec les éoliennes et les panneaux solaires, mais nous cultivons aussi et certains ont commencé à élever du bétail. Nous n'avons rien imposé, certains se sont proposés et ont choisi cette vie bien moins stressante que la vie en ville. Le village n'est pas fermé aux touristes qui viennent souvent le visiter. Mais il n'y a pas d'hôtel. Si certains touristes nous plaisent, alors nous leur proposons le gîte chez l'habitant, gratuitement. Ils n'ont que la participation aux frais de bouche à payer. Le plus souvent, plutôt que de l'argent, nous leur proposons de participer à la vie de la communauté. Ils en repartent enchantés pour la plupart.

- L'endroit idéal pour se ressourcer...

- C'est pour ça que je t'ai amené ici. "

Lisa était subjuguée par cette façon de vivre. Ça n'avait rien à voir avec la vie qu'elle avait menée jusqu'ici. Et si elle découvrait tout juste, ce qu'elle en voyait lui plaisait bien. Ils n'eurent pas à payer leur consommations, Jean le leur avait offert. Cela gênait un peu Lisa.

"Ne te sens pas gênée. Ici nous fonctionnons différemment. Il faut que tu saches que le seul argent qui circule ici est celui des impôts. C'est notre tranquillité vis à vis de l'Etat. Tant qu'il perçoit ses deniers, il nous fout une paix royale. Les gendarmes font leur ronde, mais pour eux, c'est plus une détente qu'autre chose. D'ailleurs, leur visite est assez rare, et quand ils viennent, c'est en civil pour profiter de la tranquillité du lieu. Cela fait une quinzaine d'années que le village revit et il n'y a aucun incident à déplorer depuis. Nous avons notre propre service d'ordre et il s'avère dissuasif pour les indélicats !

- Fessée ou cachot ? Mais c'est illégal.

- C'est ça ou la gendarmerie et les suites judiciaires. La plupart des gens préfèrent la discrétion et nous la leur garantissons sous réserve qu'ils ne reviennent jamais. Cela a pas mal fonctionné jusqu'ici en tout cas.

- Je veux bien le croire.

- Viens, je vais t'emmener sur une hauteur, tu verras le village dans son ensemble."

Lisa le suivit sur un petit chemin escarpé avec une pente prononcée. Ils arrivèrent sur une partie plus plane et dégagée de toute végétation. La vue sur la montagne était magnifique. Et de l'autre côté, en contrebas, on voyait tout le village et un peu plus à l'ouest la ferme de Luc. Elle regardait tout ça émerveillée quand elle commença à ressentir une sensation qu'elle connaissait bien. "Pas maintenant, se dit-elle, nooon !" mais malgré ses efforts, elle n'y put rien, l'orgasme spontané mobilisa tout ses sens et l'emporta comme une déferlante emporte tout sur son passage. Elle se mit à genoux et inonda sa culotte et son short. Luc la vit et s'approcha d'elle. Lisa était au bord des larmes tellement elle avait honte.

"Qu'est ce qu'il s'est passé ? demanda-t-il d'une voix rassurante.

- J'ai.... Il m'arrive d'avoir des orgasmes sans que je ne contrôle quoique ce soit. Ce n'est pas volontaire. La plupart du temps, j'arrive à contrôler mais là, je n'y suis pas arrivé.

- Orgasmes spontanés. J'en avais entendu parler mais je n'ai jamais connu personne qui en était atteinte.

- Je suis désolée. Il n'y a pas de remède contre ça, il faut juste apprendre à le contrôler, mais c'est super compliqué. Et je n'y arrive pas toujours.

- Comment tu fais pour le contrôler ?

- La plupart du temps, je pense à une chose très désagréable et cela coupe la dynamique. Sauf que si la montée d'excitation est trop rapide, je n'ai pas le temps de faire quoique ce soit. C'est ce qu'il s'est produit. Pffff ! J'ai mouillé ma culotte et mon short. C'est malin, on va croire que je me suis fait pipi dessus !

- Enlève les, on va les faire sécher au soleil un peu. Personne ne te verra à part moi. Il n'y a jamais personne qui passe par ici. "

Lisa, quoiqu'un peu gênée, s'exécuta. Elle se retrouva nue pour la partie inférieure de son anatomie. Luc lui proposa de s'asseoir sur l'herbe qui offrait un coussin confortable à ses fesses. 

" Tu disais que tu pensais à quelque chose de désagréable pour arrêter le phénomène. Tu peux me donner un exemple ?

- J'hésite car cela pourrait vous donner des idées.

- A quoi tu penses ?

- J'avais discuté avec un gynécologue un peu atypique de ce problème là, il m'avait suggéré de me faire mal, en me pinçant très fort à un endroit sensible, par exemple. Dans certains cas, ça s'est avéré efficace. Mais très vite, c'est devenu insuffisant. Il y a un de mes tuteurs qui m'avait donné une fessée carabinée après l'un de ces événements. En y repensant, cela me freine un peu. Mais ça a ses limites. La preuve...

- Et si c'est moi qui te donne une fessée chaque fois que ça t'arrive ? Penses-tu que cela puisse t'aider ?

- Je savais que vous alliez me le proposer. En vrai je ne sais pas, mais la seule chose que je sais, c'est que si vous le faites, cela doit être un moment très désagréable pour moi.

- Tu veux tenter ? "

Lisa réfléchit un moment. Luc était assis sur un tronc d'arbre. Lisa se leva, et vint doucement s'allonger d'elle même sur les genoux de Luc. Elle savait que ça allait être douloureux. Mais ce souvenir désagréable, plus récent que l'autre et sans doute plus désagréable encore devrait l'aider.

"Ne tenez pas compte de mes supplications ou de mes pleurs, lui dit-elle. Il faut que ce soit très désagréable pour créer une vraie crainte d'en reprendre une pour ce motif et je vous dirai si ça fonctionne. Si c'est le cas et que vous me surprenez à avoir un orgasme spontané, il faudra recommencer.

- Tu es sûre que c'est ce que tu veux ?

- Imaginez que cela m'arrive en pleine audience du tribunal.... C'est juste impossible. Je vais souffrir, c'est sûr, mais je n'ai pas d'autre solution.

- Et un médicament ? Je veux dire, ce n'est pas une bêtise, ni une faute. Tu te punis de quelque chose dont tu n'es pas responsable.

- Oui, il y en a un que j'ai testé. Il m'a inhibé toute ma libido. J'étais devenue complètement frigide, je m'y refuse. Considérez ce type de fessée comme un médicament que je dois prendre. Et ça va me forcer à me contrôler plus efficacement. Ça va donc m'aider. Et surtout, il faut que ça me fasse vraiment mal. Il faut vraiment que je craigne d'en reprendre une comme ça. Comme si je m'étais mise en danger."

Luc comprit très bien ce que Lisa souhaitait. Il vit très bien ce dont elle avait besoin. Ça n'avait rien à voir avec une simple punition. Il fallait que ce soit dissuasif. Il caressa les fesses de Lisa quelques secondes avant de commencer. La première claque tomba. Elle arracha un cri à Lisa et les larmes lui monta tout de suite aux yeux. La deuxième tomba toute aussi forte et lui arracha le même cri de douleur. Elle avait l'impression qu'on lui brûlait les fesses au fer rouge. Une troisième, puis une quatrième, la jeune femme était en pleurs. Le rythme s'accélérait, c'était insupportable, Lisa pleurait toutes les larmes de son corps. Comment cela pouvait-il faire si mal, rien qu'à la main. Luc n'arrêtait pas, les claques tombaient les unes après les autres sur ses fesses déjà en feu. La douleur irradiait non seulement ses fesses, mais aussi ses cuisses, alors que Luc ne les avaient pas touchées et aussi au niveau de son entrejambe. La sensation n'était vraiment pas agréable. C'était même insupportable. Pour la seconde fois, la fessée ne l'excitait pas, ça n'était juste que de la douleur. Luc s'arrêta quelques secondes pour que la jeune femme puisse reprendre son souffle. Lisa l'en remercia intérieurement mais elle savait que ce n'était pas terminé. Luc reprit la fessée sans prévenir, à un  rythme très rapide et surtout avec des claques extrêmement fortes. Lisa hurlait sa douleur tellement les fesses lui brûlaient, elle pleurait tout ce qu'elle pouvait et tout son corps s'était relâché tout comme sa vessie, mais dans la douleur qu'elle ressentait, elle n'avait même pas sentie qu'elle s'inondait. Luc n'en tint pas compte et continuait encore alors même qu'elle le suppliait d'arrêter. Et puis, soudainement, ce fut le calme. Plus de claques. Ses fesses devaient être en sang vu la brûlure que la jeune femme ressentait. Luc, qui avait compris ce que Lisa attendait de lui, l'avertit :

"Si je te surprends encore en train de jouir de cette façon, tu auras la même chose, et ce, à chaque fois que cela se produira."

Il prit la jeune femme dans ses bras et la câlina pour la consoler et la calmer. Lisa pleurait dans son cou à chaudes larmes. Elle réussit quand même à le remercier et lui dire que c'était exactement ce dont elle avait besoin, mais qu'elle avait aussi très très mal aux fesses. De fait, si elles ne saignaient pas, elles étaient rouges cramoisi et la couleur descendait jusqu'en haut des cuisses, partie que le short ne cacherait pas. D'ailleurs, sa culotte et son short avaient séché. Luc lui conseilla de ne pas le remettre tout de suite et d'attendre d'être descendue un peu pour laisser le temps à ses fesses de s'apaiser. C'est donc cul nu que Lisa commença sa descente accompagnée de Luc qui l'aida pour les passage un peu difficiles. Arrivé à mi chemin, elle essaya de se rhabiller. Ça brûlait mais c'était devenu supportable. Elle repensait à cette fessée. Elle avait vraiment été très très désagréable et elle n'avait pas envie d'en prendre une autre comme celle-ci.

Ils arrivèrent dans le village. Personne ne fit cas des fesses rouges de la jeune femme alors que ça se voyait clairement en dessous du short, juste au dessus des cuisses. Elle s'assit tant bien que mal dans la voiture. Luc démarra et repris le chemin de la ferme. Une fois arrivés, Luc sortit les courses aidé de Lisa. Comme la jeune femme ne connaissait pas encore l'emplacement des choses, Luc se chargea du rangement. Puis, il alla à la salle de bain et revint avec une pommade en main. Il attrapa Lisa par le bras, lui enleva short et culotte et la pencha sur ses genoux. Elle s'attendait à prendre une autre fessée mais Luc lui passa de la pommade à l'arnica sur ses fesses meurtries. Ensuite il la releva.

"Reste debout un moment cul nu pour que la pommade fasse effet. Ensuite, tu iras te laver comme il faut et je vais te surveiller. Je ne veux pas que tu fasses de bêtises sous la douche.

- Mais quelles bêtises ? Se défendait-elle, alors qu'elle savait très bien de quoi il s'agissait et elle y avait pensé. Elle en avait envie, en fait.

- Prends moi encore une fois pour un idiot et tu prendras une fessée dont tu te souviendras !

- Euuh non, c'est bon, j'ai mon compte, là !

- Alors fais ce que je te dis et rien d'autre ! C'est bien compris ?

- Oui, monsieur."

Luc commença à préparer le repas. Lisa était impressionnée, ce type savait tout faire ! Elle se caressa les fesses, c'était encore douloureux, la douche allait être compliquée.

" Je peux prendre un bain à la place d'une douche, monsieur ?

- Moui, bon, d'accord. Mais vas-y tout de suite, alors.

- Oh, merci, monsieur." Lisa courut dans la salle de bain sans demander son reste et entreprit de se faire couler son bain pendant que Luc continuait de préparer le repas.

Lorsque Lisa sortit du bain, une demi heure plus tard, le repas était prêt. Ce bain lui avait fait du bien mais ses fesses étaient toujours très chaudes. Elle allait s'arranger pour ne pas prendre une autre fessée tout de suite, même si elle adorait se retrouver sur les genoux de Luc. C'était quelqu'un d'extrêmement rassurant dans ces moments là. Il savait exactement ce dont elle avait besoin.

"Viens manger, l'invita Luc.

- Oui, j'ai faim."

Ils dînerent tôt mais c'était bienvenu. La route avait été longue et l'après midi chargée. Le repas était délicieux, Luc était vraiment un bon cuisinier. Une fois le repas fini, Lisa entreprit de faire la vaisselle pour se familiariser avec les rangements. Luc apprécia le geste. En remerciement, Luc dévoila une télévision cachée dans un meuble. Lisa était trop contente. Elle pensait qu'elle allait s'ennuyer.

"Je peux regarder ma série Lucifer ?

- D'accord, j'aime bien aussi.

- Oh ? C'est vrai ? Trop bien !

- Juste deux épisodes, après tu vas au dodo, une journée chargée nous attend demain.

- Oui, d'accord, promis."

Tandis que Lisa regardait sa série, Luc en profita pour aller prendre une douche. Mais ce qu'il découvrit en entrant dans la salle de bain ne lui plut guerre. C'était vraiment n'importe quoi. La serviette traînait en boule parterre, il y avait de l'eau partout. La baignoire n'était pas nettoyée, son short et sa culotte était laissés là, à même le sol alors que la panière à linge était juste là, à portée de main. Il alla chercher Lisa, l'attrapa sous son bras, la déculotta sans ménagement et commença une fessée sévère. Lisa surprise, pleurait déjà après une dizaine de claques seulement. Il l'emmena dans la salle de bain.

"C'est quoi, ça? Hein ?" Il ponctua sa question de bonne claques sur les fesses de la jeune fille.

"Tu vas ranger et nettoyer ton foutoir et ça a intérêt à être nickel ! Tu as un quart d'heure. Je vais te faire passer l'envie de mettre du désordre partout où tu passes !" Il continuait tout en parlant de la fesser sévèrement. Lisa pleurait à chaudes larmes.

"Aiiie, ouiiii, je vais rangeeer.... Pardon... Aiiie... Whaaaa! Booouuhouaaaiiie"

Luc arrêta de la fesser. Lisa était prise de hocquettements tant elle pleurait. 

"Ouste ! Lui dit Luc. Au travail, et tu as intérêt à ce que ce soit nickel. Et tu es privée de télé jusqu'à nouvel ordre ! Et une autre fessée t'attend avant d'aller au lit !

- Oh nooooon! Pardoooon!

- Dépêche toi avant que je ne me fâche vraiment !"

Lisa n'insista et ramassa sa culotte et son short pour les mettre dans la panière. Puis elle ramassa la serviette, s'en servit pour éponger l'eau au sol, l'essora dans la baignoire avant de la mettre dans la panière, elle aussi. Puis, elle nettoya soigneusement la baignoire, toujours sous l'œil attentif de Luc et toujours en pleurs. Une fois que la salle de bain ait retrouvé son allure normale, Luc reprit Lisa sur ses genoux pour une bonne fessée. Lisa hurlait de douleurs le suppliant d'arrêter. Luc avait été efficace. Il s'arrêta et envoya Lisa dans sa chambre. En pleurs et prise de spasmes, elle ne se le fit pas dire deux fois. 

Pour la première fois de sa vie, Lisa commençait vraiment à craindre la fessée. Elle n'aurait jamais pensé trouver quelqu'un qui puisse arriver à ça. Cela faisait trois vraies fessées qu'elle prenait, et cela faisait trois fois que ces fessées ne lui procurait qu'un sentiment de punition. Luc était très fort. Il avait très bien compris comment elle fonctionnait. Et ce n'était pas bon signe pour elle. Elle ne pourrait plus faire n'importe quoi. Les deux journées qui venaient de s'écouler avaient poser clairement les bases d'un tutorat qui allait enfin pouvoir la faire avancer dans sa vie. Mais qu'est ce que ça allait être dur. Elle savait qu'elle n'avait pas fini d'avoir mal aux fesses et d'être punie comme une sale gamine. Mais elle dut admettre que, pour le moment, c'était exactement ce qu'elle était.


Suite au prochain épisode... 

Commentaires

  1. Marion fesses rouges22 août 2024 à 15:20

    Quelle magnifique suite , intéressant la découverte du village avec les adeptes de la fessée

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