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Histoire fictive : une fille très spéciale 5

Episode 5. Le quotidien de Lisa.


Lisa pleurait de douleur autant que de vexation et de honte. Punie comme une gamine et envoyée dans sa chambre. Elle se sentait vraiment comme une petite fille, mais elle était surtout en colère contre elle même. Elle avait beau eut essayer d'être obéissante, son naturel désordonnée avait pris le dessus sans même s'en rendre compte. Elle avait juste fait comme elle faisait chez elle. Mauvaise idée. Elle se frottait les fesses. En plus, Luc lui avait dit qu'elle allait en reprendre une avant de dormir. Elle allait souffrir le martyr vu celle qu'elle avait prise dans l'après midi et celle qu'elle venait de prendre. La salle de bain serait nickel à l'avenir. Une envie pressante se fit de plus en plus pressante. Elle courut aux toilettes, mais le mal était fait, elle n'eut pas le temps de baisser sa culotte, elle sentit la chaleur du liquide se rependre dans son entrejambe, heureusement qu'elle avait réussi à se mettre au dessus de la cuvette. Mais ça faisait encore une culotte de consommée. Pourvu que Luc ne s'en aperçoive pas... Elle mit sa culotte dans la panière avec les autres. Il ne lui restait que quatre culottes en stock. Trois culottes salies en une seule journée, c'était un record !

Une fois qu'elle se fut un peu nettoyée, elle retourna dans sa chambre cu nul, s'empressa de prendre une autre culotte et s'allongea sur son lit. Cinq minutes plus tard, elle dormait. Luc entra doucement dans la chambre et vit Lisa endormie profondément. Il décida de ne pas la réveiller, la journée avait été intense... 

Chapitre 3 : le quotidien... Et le reste...

Lisa avait l'habitude de se lever tôt, vers huit heures du matin. Elle pensait qu'elle serait la première debout. Elle fut surprise de sentir une bonne odeur en ouvrant la porte de sa chambre. Alors qu'elle s'apprêtait à sortir de celle-ci, elle se rappela la consigne de Luc. Elle se dépêcha de faire son lit et de ranger parfaitement sa chambre. Elle n'avait pas envie de prendre une fessée de bon matin. Elle alla aux toilettes avant que sa culotte n'en fasse encore les frais. Elle avait eu un peu de marge cette fois. Elle avait l'habitude de dormir en culotte même si le gynécologue le lui avait fortement déconseillé. Elle vérifia, avant de la remettre, qu'elle n'était pas tâchée. Elle savait qu'elle pouvait subir une inspection à tout moment, c'est ce qu'elle avait demandé à Luc. Elle se rhabilla, se lava les mains et rejoignit la salle à manger.

"Bonjour, Lisa. Bien dormi ?

- Bonjour, monsieur, comme une souche mais j'ai toujours mal aux fesses, répondit-elle un peu boudeuse.

- Bien, viens déjeuner, cela va te redonner le moral."

Ce petit déjeuner était délicieux. Elle adorait ce que Luc lui avait préparé mais que c'était compliqué de rester assise. Il fallait ne pas prendre une seule fessée aujourd'hui. Et elle était bien décidée à réussir.

Une fois terminé, Luc s'approcha d'elle. 

"Enlève ta culotte.

- Mais...

- Ne me fais pas répéter."

Elle l'enlèva et lui tendit. Il vérifia qu'il n'y avait pas de tâche suspecte et lui rendit, satisfait. 

"Très bien, Lisa. Je vais contrôler ta chambre maintenant."

Elle eut à peine le temps de remettre sa culotte que Luc était déjà dans sa chambre. Ce fut rapide et Luc sourit :

"Je vois que tu commences à comprendre ce que j'attends de toi.

- Oui, monsieur."

Pour le plus grand bonheur de Lisa, Luc ne contrôla pas le nombre de culottes qu'il restait à la jeune femme. Elle soupira de soulagement. 

Le quadragénaire sortit quelques affaires de l'armoire de Lisa dans ce qu'elle avait emmené. Une robe d'été courte et des tennis pour la marche. Il alla chercher également un pantalon de travail et une veste solide. Il expliqua :

"Ce matin, tu vas commencer à travailler sur ta nouvelle chambre. Tu vas trier les affaires qui te semblent en bon état ou que tu veux garder pour ta future chambre à coucher. Tu sortiras le reste dehors par la porte fenêtre. Quand tu auras fini, j'appellerai un copain qui viendra avec un camion plateau pour évacuer tout ce que tu ne souhaites pas garder ou en trop mauvais état. Je ne te demande pas de terminer ce matin, mais je veux que tu avances. Tu as compris ?

- Oui, monsieur, répondit Lisa, sachant très bien que ça allait être compliqué pour elle, car elle avait tendance à trop garder de choses. C'était bien son problème.

- Bien. Cet après midi, tu te changes et on va se balader au village, j'ai des personnes à te présenter. Par précaution, tu ne porteras pas de culotte. Juste au cas où... C'est compris ?

- Oui, monsieur. " Elle savait très bien à quoi il faisait allusion. La robe était suffisamment opaque pour que personne ne sache qu'elle était nue en dessous. Ça ne lui déplaisait pas, elle se sentait à l'aise en robe sans culotte et elle gérait ça très bien.

Une fois la tenue appropriée enfilée, elle rejoignit la pièce en question. C'était un vrai dépotoir. Une fois qu'elle put accéder à la porte fenêtre (en parfait état, en double vitrage et tout et tout) elle l'ouvrit en grand. L'air frais commençait à chasser l'odeur de renfermé typique des vieilles maisons. C'est donc au plus près de l'ouverture qu'elle commença son tri. De vieilles chaises empaillées, un table dont il manque un pied, un guéridon vieillot furent les premiers à évacuer la pièce. Suivirent d'autres objets et bibelots inutiles et vilains.

Elle passa quasiment toute la matinée ainsi et elle avait déjà bien éclairci la pièce. Luc vint voir où elle en était. Il siffla d'admiration :

"Alors là, Lisa, félicitations ! Tu as super bien avancé. Je suis fier de toi. Tu peux te reposer avant le repas de midi. Un bon steack frites t'attend, grillé comme il se doit. Tu peux aller te changer. 

- Ooooh merciiii, monsieur !"

Elle ferma la porte fenêtre et sorti de la pièce par où elle était rentrée. Elle se déshabilla et enfila la petite robe d'été. Elle ne portait pas de soutien gorge, elle n'en avait jamais eu besoin. Son corps fonctionnait peut-être bizarrement mais la nature l'avait dotée d'une esthétique parfaite. Elle en jouait parfois, mais ne voulait pas d'une relation sérieuse avec un garçon. Elle aimait trop son indépendance et puis les garçons de son âge l'ennuyaient à mourir. Elle avait bien essayé une fois, elle s'était enfui au bout de quinze jours. Elle s'assit sur le lit et réfléchit à ce qu'elle était en train de vivre. Pour la première fois de sa vie, elle se sentait vraiment bien, rassurée, en sécurité. Il ne pouvait rien lui arriver ici, Luc était là et sa présence, le fait qu'il la cadre lui procurait une sérénité qu'elle n'avait jamais éprouvé. Elle savait qu'elle en avait besoin depuis longtemps mais maintenant, c'était devenu une évidence et personne d'autre que Luc ne pouvait lui apporter cela... Puis d'un seul coup, elle s'effondra en larmes. 

Luc l'entendit pleurer. Il entra dans sa chambre et il la prit doucement dans ses bras :

" Qu'y a-t-il, Lisa ? 

- C'est rien, snif, juste une mauvaise pensée. 

- Quelle mauvaise pensée ? 

- Qu'est-ce qu'il va se passer à la fin du mois si vous êtes satisfaite de moi ? 

- Eh bien, tu auras rempli ton contrat et moi le mien,  tu seras libérée de tes obligations et tu verras que tu feras de belles choses. 

- Ooooh... Vous allez m'abandonner, alors ?  Lisa se remit à pleurer de plus belle.

- Eh bien... Luc réfléchit un moment. Ma mission sera terminée et... Si tu as besoin de moi, même après, tu pourras toujours m'appeler mais je ne pourrai pas être aussi présent. Mais je ne comprends pas bien, normalement, si cela fonctionne comme je veux et pour le moment c'est le cas, tu n'auras plus tes problèmes.

- Vous croyez ? dit-elle en se calmant un peu.

- Oui, je le crois. "

Il la serra un peu plus fort dans ses bras. Elle s'y blottit, elle s'y sentait bien, elle sentait sa force, son assurance. Elle aimerait bien un homme comme ça dans sa vie.

Le repas attendait. Ils se mirent à table. Le repas était encore une fois délicieux et cela remonta le moral de Lisa. 

"Qui ché que vou jallez me préjenter? demanda la jeune femme la bouche pleine.

- Ne parle pas la bouche pleine. La prochaine fois que tu fais ça, tu auras une fessée.

- Pardon, monsieur, je vous demandais à qui vous alliez me présenter.

- A ceux qui ont accepté les premiers de vivre dans ce village avec les particularités que tu connais. Ils vivent la discipline domestique au quotidien. Tu pourras discuter avec eux et observer comment ils vivent.

- En quoi cela peut m'aider ?

- Juste à te faire découvrir un certain mode de vie.

- Oh, d'accord. "

Ils finirent leur repas. Lisa se refit une beauté sans oublier d'aller aux toilettes. Cul nu sous la robe, elle ne pouvait s'autoriser de fuite impromptue. Elle était prête, curieuse de voir ces gens mais aussi intimidée. Et puis la fessée l'excitait en tant que receveuse, certes, mais elle n'avait jamais vu quelqu'un d'autre se faire fesser devant elle. Comment allait-elle réagir ? Elle n'en savait rien. Et puis elle y allait pour discuter, par pour voir une fessée, enfin, normalement.

Luc et Lisa descendirent au village et se rendirent dans une maison assez grande juste à une des extrémités de celui-ci.

"C'est la première maison du village qui a été acheté ? Demanda Lisa.

- Oui, Michel et Isa sont arrivés il y a une quinzaine d'années. Cette maison était en ruine. Je leur ai dit qu'elle serait à eux s'ils la restauraient. C'est ce qu'ils ont fait. Un an après leur installation, elle était habitable. Ils s'y sont installés et ils ont continué à l'améliorer.

- Ooooh, c'est génial, ça.

- Euuuh, par contre, ils sont assez strict. Et si tu ne veux pas te retrouver sur les genoux de l'un ou de l'autre, tu as intérêt à faire gaffe. Reste près de moi, je te pincerai si tu poses une question trop délicate ou gênante.

- Oh euh, d'accord, je suis maladroite, parfois."

C'est Isabelle qui accueillit Luc et Lisa. Elle les fit entrer et les invita à s'asseoir dans leur salon. 

"Ooh ! C'est magnifique, chez vous, s'exclama Lisa pour lancer la conversation. 

- Cela a été un long travail, mais nous sommes content du résultat et c'est notre chez nous, répondit Michel. 

- Pardon de cette question candide, mais vous vivez ici à l'année ? 

- Oui, nous avons aussi un petit appartement à Lyon où vivent nos enfants, mais nous n'y allons que rarement. 

- Et je suppose que vous recherchiez le calme ? 

- Oui, mais ce n'est pas ce qui nous a décidé. Le concept de monsieur Renan nous a séduit. 

- Quel concept ? Demanda Lisa. 

- Celui qui met en avant certaines valeurs, comme la discipline domestique, par exemple. Savez-vous ce que c'est ? 

- J'en ai entendu parler, mais je n'en ai qu'une notion très vague... 

- Eh bien, lorsqu'on vit en couple, il arrive qu'un des deux se comporte mal vis à vis de l'autre. Plutôt que d'accumuler de la rancœur, celui qui est en faute est puni. Une fois la punition terminée, tout est oublié et on repart du bon pied, vous comprenez ? 

- D'accord et je suppose que vous avez établi des règles ? 

- Tout à fait, répondit Isa. Et aussi une hiérarchie qui nous est propre. Dans notre cas, je m'en remets à sa décision, c'est un choix de ma part car... J'ai besoin de me sentir... 

- Cadrée, continua Michel. Elle fait des... Appelons ça des bêtises, parfois. 

- Et je crois deviner ce qu'il se passe alors... Répondit Lisa. 

- Monsieur Renan m'a dit que vous étiez son élève durant un mois. Vous n'êtes donc pas étrangère à notre manière de procéder en cas de faute. 

- Oui, mais si c'est vous qui faites une bêtise ? 

- Eh bien je suis aussi puni, d'une certaine manière. Je dois m'acquitter des tâches qui lui incombe normalement. Pour quelqu'un qui a horreur de ça, c'est une vraie punition. 

- Oui mais ça fait moins mal qu'une fessée !

- Je vous l'accorde, encore que je ne sois pas très sévère, répondit Michel. 

- Dis ça à mes fesses ! Rétorqua Isabelle.

- Peut être ne te souviens-tu pas d'une certaine fessée que tu as reçue pour conduite imprudente, peut-être ? Lui demanda-t-il. 

- Ah si, si, je m'en souviens très bien !

- Eh bien, il ne semble pas vu le courrier que j'ai reçu ce matin, Mademoiselle ! Tu sais ce que c'est ?

- Euuuh.... "

Lisa et Luc comprirent assez vite comment cela allait tourner. Cela gênait Lisa mais en même temps elle était curieuse de voir comment cela fonctionnait réellement. Luc était un poil amusé par la situation et n'osait espérer mieux pour éduquer Lisa.

" Viens donc un peu par ici, Isabelle ! Ordonna Michel.

- Tu ne vas tout de même pas me corriger devant nos invités, quand même ?"

Elle protestait pour la forme car c'était un de ses fantasmes d'être punie devant des presque inconnus. Isa était habillée léger, juste une petite robe d'été qui descendait à mi cuisse tout comme Lisa.

"Allez, tu connais la position." Lui dit Michel qui s'était assis sur une solide chaise.

Isabelle se pencha sur ses genoux, son postérieur bien en vue de Luc et Lisa. Le mari releva la robe et Lisa fut surprise que tout comme elle, Isa ne portait pas de culotte. Le mari ne fit pas attendre sa femme et les claques commencèrent à tomber à un rythme lent et régulier. Il ne semblait pas taper très fort et pourtant les fesses de la femme d'une quarantaine d'années, bien proportionnée au demeurant, commençaient à rougir. On n'entendait pas Isa. Pas un gémissement ni de pleurs. Pourtant, les claques avaient gagné en intensité et en rapidité. Au bout d'un moment, Isa commença à supplier son mari, car ça faisait mal. Mais Michel était déterminé et ne s'arrêta pas pour autant. Isa finit par craquer et se mit à pleurer. Son mari continua un petit peu et s'arrêta, estimant que la punition avait porté. Il l'envoyais au coin, la jupe relevée. Lisa put apercevoir aussi que la fessée avait aussi excitée Isabelle.

"Voici comment cela fonctionne chez nous, dit Michel en s'adressant à Lisa.

- Je comprends, répondit cette dernière.

- Ne vous y trompez  pas : Isa adore être fessée pour ses bêtises et votre présence était un de ses fantasmes.

- J'avoue que je serais très gênée d'être fessée devant d'autres personnes, donc, même si je sais que c'est une possibilité, je fais tout pour l'éviter.

- C'est une sage précaution. Malgré tout, je suis certain que vous en retireriez un certain plaisir."

Une fois Isa sortie du coin, ils parlèrent de choses et d'autres comme si rien ne s'était passé. Puis Luc et Lisa rentrèrent à la ferme. 


Suite au prochain épisode. 

Commentaires

  1. Marion fesses rouges22 août 2024 à 15:40

    Très belle suite , c'est bien d'évoquer la discipline domestique

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