Episode 9.
"Le désir naît de la découverte, le plaisir naît d'un désir réalisé. Mais hélas, ce plaisir est éphémère, il faut donc le renouveler et le renouveler encore." (c'est de moi, oups !)
Julie dévorait littéralement Lisa et Luc des yeux. C'est presque comme si elle en était tombée amoureuse. Guillaume était fier d'accueillir le couple. Il ne connaissait Luc que par messages interposés, et pourtant, c'est comme si il le connaissait depuis des années. Il le considérait comme un mentor. Après tout, c'est lui qui avait eu la merveilleuse idée de ce village. Julie et Guillaume n'y étaient que depuis un an, mais s'étaient parfaitement intégrés à la communauté et étaient très appréciés. Julie était tellement absorbée par le corps merveilleux de Lisa qu'elle versa sa boisson sans regarder et évidemment le verre déborda. Guillaume jeta un regard courroucé à Julie qui s'empressa de nettoyer ses bêtises.
"Voilà ce que c'est quand on ne regarde pas ce qu'on fait car on a les yeux et l'esprit ailleurs ! Lança Guillaume à Julie.
- Mais... Se défendit cette dernière.
- Tu crois que je ne t'ai pas vue reluquer Lisa ? Tu la mangeais littéralement des yeux !"
Lisa rougit car pour elle, c'était le plus beau compliment qu'on puisse lui faire. Julie, quant à elle, sentait la fessée arriver à grand pas. Or, elle en avait déjà pris une un peu avant l'arrivée du couple, elle en sentait encore la brûlure. Elle n'avait vraiment pas envie d'en reprendre une tout de suite.
Julie était une femme, ou plutôt une fille très jolie. Elle avait le corps encore juvénile d'une adolescente. Dans sa tête, elle appartenait à Guillaume. Il pouvait faire d'elle ce qu'il voulait car elle savait que c'était pour son propre bonheur. Elle lui avait remis son corps et son âme le jour où ils s'étaient rencontrés. C'est Julie qui avait proposé à Guillaume la discipline domestique. Elle n'avait jamais été aussi heureuse depuis qu'ils en usaient et même abusaient, Julie faisait parfois des bêtises volontairement pour recevoir une punition.
"Viens ici, Julie ! Appela Guillaume. Tu ne crois pas que tu vas t'en tirer comme ça ?
- Euh si, dit-elle avec un petit sourire provocateur. Je crois bien ça. Tu ne me puniras pas devant nos invités, je suis sûre.
- Tu es sûre ?!? On va voir ça."
Alors qu'il attrapa Julie pour la pencher sur ses genoux, Luc intervint.
"Une minute, Guillaume. Certes, Julie a fait une bêtise mais je pense qu'elle n'est pas la seule fautive, dans l'histoire.
- Comment ça ? Répondit Guillaume. Elle reluque Lisa comme si elle voulait la dévorer en se servant un verre, en met partout et elle ne serait pas fautive ?
- Je dis seulement qu'elle a peut-être des circonstances atténuantes...
- Ah bon ? Expliquez-moi... "
Luc releva juste un peu le bas de la robe de Lisa, révélant son pubis imberbe. Guillaume ne put s'empêcher d'apprécier cette vue.
"Je suppose que vous lui avez interdit la culotte, demanda Guillaume à Luc.
- Oui, je la lui autorise parfois mais pas aujourd'hui, je veux garder ses fesses à disposition.
- Je vois... Je ne sais pas s'il ne faudrait pas que je fasse la même chose avec Julie..."
La jeune épouse ne se fit pas prier et enleva sa culotte avant de la tendre à son mari.
"Je vois que tu devines mes pensées et ton obéissance t'évite la fessée que je m'apprêtais à te donner. Ceci étant dit tu vas quand même te mettre au coin la robe relevée au dessus des fesses.
- Mais... Chéri...."
Deux claques résonnèrent dans la pièce suivies presqu'immediatement par les gémissement de Julie qui s'en alla au coin sans plus de tergiversations. Elle releva sa robe laissant apparaître ses fesses encore rosées.
"Et en ce qui concerne votre élève ? Demanda Guillaume.
- C'est de la provocation passive, elle n'a rien fait. Mais c'était juste une circonstance atténuante pour Julie.
- D'accord... Bon.
- Qu'est ce qui vous a emmené à la discipline domestique ? Demanda Lisa, histoire d'oublier cette histoire de verre.
- En fait je ne connaissais pas du tout. Un jour, Julie, alors qu'on se connaissait depuis peu, à laissé les phares de la voiture allumés. Résultat : le lendemain, plus de batterie et une journée de boulot perdue. Évidemment j'ai commencé à gronder Julie très fort. Elle m'a dit que plutôt que de crier, je n'avais qu'à la punir. Je lui ai dit qu'elle mériterait une bonne fessée, mais pas sérieusement. Elle a baissé son jean et sa culotte. Il ne m'en a pas fallu plus pour la fesser. Ce fut comme ça que tout à commencé. Ça a fortement consolidé notre couple. Au début, on pensait que personne d'autre ne faisait ça, on se cachait un peu, on se posait toujours la question se savoir si les voisins nous entendaient mais on s'est aperçu qu'il y avait une véritable communauté. Un jour, on a vu l'annonce pour cette maison. Quand on a rencontré l'agent immobilier, il nous a dit qu'il y avait certaines conditions. On a été surpris au début mais cela nous correspondait bien.
- Je vois, c'est une histoire touchante. Cela fait combien de temps que vous êtes ensemble, Julie et vous ?
- Tu es bien curieuse, Lisa, intervint Luc.
- Tu m'as emmené ici, autant que j'apprenne à apprécier les gens que tu me fais rencontrer.
- Il n'y a pas de mal, Lisa, répondit à son tour Guillaume. Cela fait six ans, maintenant. Et nous sommes heureux, en partie grâce à cette vie que nous menons ici.
- Pardon, mais comment gagnez-vous votre vie, ici.
- Je suis concepteur de site Web. Je travaille en freelance et parfois pour des grosses boîtes. C'est essentiellement du télétravail, donc c'est assez facile.
- Vous ne sortez jamais du village ?
- Cela m'arrive de m'absenter pour quelques jours, je laisse Julie gérer la maison en mon absence. Tu peux sortir du coin, Julie."
Cette dernière ne demandait pas mieux. Elle rejoignit Guillaume sur le fauteuil et se blottit contre lui. Ainsi, c'était ça, l'amour, se disait Lisa. L'envie d'être blottie contre son homme, d'être câlinée, de sentir toute l'affection de celui-ci, même quand il la punissait. Elle avait envie de vivre ça. Elle se rapprocha de Luc et se blottit à son tour contre lui. Et le miracle se produisait. Luc la serra tendrement, elle ressentait son affection, son...amour ? Elle ne savait pas encore mais elle, elle ressentait un profond bien être, comme si le ciel pouvait s'effondrer et que ça n'aurait aucune importance. Elle oubliait sa vie d'avant. Julie ne quittait pas Lisa des yeux. Quelque chose se passait au sein de Julie, une tendresse infinie pour cette fille qui lui faisait face. Elle aurait voulu la tenir dans ses bras, la rassurer, la câliner. Pourtant, Julie était strictement hétéro, enfin, jusqu'à présent, en tout cas. En fait, elle n'en savait rien, en vrai. Elle n'avait jamais eu d'attirance pour une fille. Sauf une fois, avec sa meilleure amie. Mais celle-ci n'avait pas montré de signes de réciprocité et Julie avait gardé ça pour elle. Elles étaient resté meilleures amies. Et elles le sont toujours. Du coup, elle n'eut jamais l'occasion d'explorer cette improbable possibilité d'être attirée pour une autre femme. Sans doute, Lisa n'était pas attirée par Julie qui se trouvait physiquement quelconque, ce qui était faux. Mais Julie a donné sa vie à Guillaume, elle lui appartenait. Lisa posa une question surprenante mais qui tombait à pic pour Julie.
"Pardon si je suis indiscrète mais j'ai connu quelques couples et certains d'entre eux sont assez libre pour accepter le polyamour, le fait de pouvoir n'aimer pas qu'une seule personne, qu'en pensez-vous ?
- Pour ma part, répondit Guillaume, je peux comprendre et accepter le fait qu'on puisse aimer plusieurs personnes. Et sous réserves que les choses soient clairement dites, pourquoi pas.
- Comme dit mon chéri, si personne n'est lésé dans l'histoire, je ne suis pas contre non plus, ajouta Julie. Il faut juste que personne ne se sente délaissé. Et vous Luc ?
- Il est difficile parfois de satisfaire tout le monde, donc il faut faire attention à ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre, mais l'idée en elle-même ne me choque pas, si il n'y a pas de non-dits. Lisa ?
- Pour répondre, il faudrait que je sois confrontée à la situation. J'avoue découvrir ce qu'est d'être amoureuse. Ça me fait peur, mais ça me fait aussi me sentir bien. Alors je ne sais pas. J'ai une question candide, du coup : est-ce qu'avoir du désir pour quelqu'un, c'est forcément de l'amour ?
- Cinq mille ans de littérature ne suffirait pas à répondre à ta question, répondit Guillaume. Parfois, il s'agit d'une pulsion purement physique, parfois, c'est plus profond. Tu n'as jamais été amoureuse, Lisa ?
- Je ne crois pas. Je ne sais pas. Je suis très confuse en ce moment."
Un ange passa... Lisa était toujours blottie contre son mentor qui lui rendait bien l'affection que la jeune femme lui portait. Et lui ? Était-il amoureux de Lisa ? En tout cas, ça y ressemblait bien. C'était une gentille fille qui avait juste besoin d'un cadre, de se sentir rassurée et aimée. Mais elle avait tout à apprendre de l'amour, les sentiments et le sexe aussi. Il ne voulait surtout pas la brusquer, il voulait que sa première expérience soit agréable, pas juste le fait de faire l'amour pour la première fois, non, il voulait quelque chose dont elle garderait un excellent souvenir. Il devait apprendre à mieux la connaître pour ça.
Lisa rongeait un peu son frein. Il lui manquait quelque chose, mais elle n'aurait pas su dire quoi. Elle voulu quitter les bras de son homme pour se resservir un verre d'eau, mais un mouvement de son bras fit choir le verre au sol et se brisa en une multitude de bout de verre.
"Lisa ! Tu ne peux pas faire un peu attention ? Reprimanda Luc.
- Je suis désolée, je ne l'ai vraiment pas fait exprès...
- Encore heureux ! Si tu avais ça à la maison, tu serais déjà en travers de mes genoux !
- Mais non... C'est pas juste, j'ai fait un faux mouvement...
- Demande immédiatement pardon à Guillaume et Julie !
- Pardonnez moi d'avoir été maladroite, dit-elle en s'adressant à Guillaume.
- Est-il vrai que tu aurais été punie si tu avais été chez toi ?" Demanda Guillaume. Lisa rougit et acquiesça de la tête, toute penaude. Elle sentit venir la suite avec appréhension. Si Guillaume était aussi strict et sévère que Luc, elle n'allait pas tarder à avoir très mal aux fesses.
"Vous voulez vraiment me punir ? Demada-t-elle peu rassurée.
- Cela dépend de toi et de monsieur Luc, répondit Guillaume.
- De moi ? Je peux choisir ?
- Si tu n'es pas d'accord pour recevoir ta punition, je ne te la donnerai pas. Mais si tu estimes que tu la mérites... " Lisa regarda Luc, implorant.
"Tu es dans la maison de Guillaume. Ce sont ses règles qui s'appliquent chez lui. Débrouilles-toi avec lui." Lisa réfléchit. Elle avait été maladroite, c'était vrai. Il fallait qu'elle apprenne à mieux contrôler ses gestes, qu'elle domine la petite boule de nerfs qu'elle était. Et Luc avait raison, elle était invitée et devait suivre les règles de ses hôtes. Elle accepterait sa punition, quelle qu'elle soit. Elle regarda Guillaume, un peu inquiète.
"C'est vrai que cela mérite une punition, dit Guillaume , mais la responsable de la cuisine et de tout ce qui va avec, c'est Julie. Donc c'est à elle de décider."
Julie fut surprise de la réflexion de son homme. C'était une occasion en or de voir les petites fesses nues de Lisa et même de les fesser. Elle n'en demandait pas tant ! C'était trop beau pour passer à côté. Elle prit une chaise qu'elle posa au milieu du salon et s'assit dessus. Ce serait la première fois qu'elle donnait la fessée. Elle ne savait pas encore quelle sensation cela lui procurerait, mais elle avait bien l'intention de donner une petite leçon à Lisa.
"Viens ici, Lisa !" dit-elle d'une voix pas encore très assurée. Lisa obéit sans discuter et vint s'allonger en travers des genoux de Julie comme si c'était tout à fait naturel. La jeune femme était légère et très douce, cela troublait Julie. Elle releva la petite robe de sa victime, découvrant ses fesses parfaites. Julie commença par les caresser, c'était un peu perturbant. Puis, sa main se leva pour une première claque, et une deuxième et cela devint une vraie fessée. Lisa fut surprise dès les premières claques qui tombaient sur ses fesses. Elle ne s'attendait pas à une telle force de la part de Julie. Elle frappait fort la bougresse. Suffisamment pour que Lisa en ait assez vite les larmes aux yeux. Tout ça pour un geste maladroit. Cela restait malgré tout supportable, rien à voir avec une fessée, même gentille, de Luc. Julie fit une pause pendant laquelle elle caressa à nouveau les fesses de Lisa. Cette dernière, qui ne demandait pas mieux, écarta un peu ses jambes, comme une invitation à être plus entreprenante. Julie hésita un moment et descendit sa main entre les cuisses de la jeune femme. Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre l'état d'excitation de sa victime. "En fait, tu aimes ça, hein ?" souffla-t-elle à Lisa. Celle-ci hocha la tête approbative. Julie reprit immédiatement la fessée avec plus de force encore. Cette fois, ça faisait vraiment mal et les fesses de Lisa prenaient une couleur de plus en plus rouge foncé. La jeune femme ne pouvait plus résister et éclata en sanglots. Elle promit de faire attention à l'avenir. Julie, estimant que c'était suffisant arrêta la fessée et envoya Lisa au coin, la robe relevée. Cette dernière ne se fit pas prier. Julie n'était pas quelqu'un à prendre à la légère. Elle savait ce que c'était que de prendre une fessée et savait la donner aussi. Au bout de cinq minutes, Julie alla chercher Lisa au coin et lui fit un énorme câlin. La jeune victime apprécia ce geste et rendit volontiers son câlin à Julie.
Luc qui avait observé toute la scène vit que Lisa était finalement heureuse d'avoir reçu cette fessée de Julie. Ce serait sans doute le début d'une grande amitié entre les deux jeunes femmes. Guillaume tendit un verre aux deux filles qui rejoignirent les garçons.
"Pour Julie, c'est une première, commença Guillaume. Elle n'avait jamais donné la fessée à qui que ce soit.
- Eh ben, c'est réussi, comfirma Lisa, encore un penaude. Je ferai attention, à l'avenir !"
Changeant de sujet, les uns et les autres passèrent un bon moment à discuter. Les deux filles s'entendaient bien et Julie proposa à Lisa de visiter le reste de la maison. Elle commença par la chambre conjugale et puis par la chambre d'ami.
"C'est vrai, demanda Lisa, c'était la première fois que tu donnais une fessée ?
- Oui. J'avoue que c'était très troublant. Tu es...si charmante... Je ne savais pas trop quoi faire. Et puis, je me suis rappelé des fessées que me donnent Guillaume, la douleur, mais aussi le plaisir que je ressens quand il me corrige. J'avais envie de partager ça avec toi.
- Je reconnais que tu tapes fort, dit Lisa en souriant, mais c'est bien moins pénible que lorsque Luc me corrige.
- Tu en veux peut-être une autre ? Joignant le geste à la parole, Julie donna deux bonnes claques sur les fesses de Lisa.
- Aaaïe ! Non ! Ça va aller, merci, répondit cette dernière en souriant tout en se massant les fesses. J'ai eu ma dose aujourd'hui ! Et en plus, Luc risque de m'en remettre une selon le principe : fessée à l'école, fessée à la maison.
- Tu aimes être fessée ?
- Disons que c'est un besoin, mais j'y prends goût et aujourd'hui, je ne pourrais plus m'en passer.
- Tout comme moi. Tu as déjà donné, toi?
- Non, et je ne sais pas si ça me correspondrait.
- Il n'y a qu'un moyen de le savoir ! Assieds toi sur le lit. "
Lisa fit ce que Julie lui demandait et celle-ci vint s'allonger sur les genoux de Lisa, après avoir relevé sa petite robe, laissant découvrir sa petite culotte blanche dont le fond était déjà taché de désir. Lisa fut un peu décontenancée par la situation...
"Julie, tu es sûre ?
- Venge toi de la fessée que je t'ai donnée et ne te retiens pas !"
Fin de l'épisode...
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