Épisode 12 : le rêve de Lisa
Lisa aimait Luc, elle en était bien consciente, maintenant. Cela la bouleversait et ça lui procurait des émotions nouvelles. Mais plus que tout, elle aimait les fessées de Luc. Cela faisait un mal de chien sur le moment et cela la faisait systématiquement pleurer, cependant, elle adorait avoir les fesses rouges et brûlantes. Elle le suppliait à chaque fois pour que ça s'arrête mais quand cela s'arrêtait effectivement cela la frustrait. Elle ne comprenait pas cette logique. Elle décida d'en parler avec Luc.
"C'est intéressant, en effet, lui répondit-il. Que se passe-t-il dans ton esprit avant une fessée ? Tu l'appréhendes, tu la crains ?
- Je ne sais pas trop. Je crois que je crains la douleur mais d'un autre coté, j'en ai envie, comme si elle allait me soulager, comme un mal nécessaire pour me soigner.
- Qu'est-ce qui te trouble le plus ?
- Tout dépend ce que tu entends par troubler... Sexuellement, la fessée elle-même m'excite terriblement. Cela peut même me conduire à un orgasme, voire à plusieurs. Moralement, c'est le fait de complètement lâcher prise, ne plus rien contrôler, ni mes émotions, ni la douleur, ni mon plaisir... Ne plus avoir à réfléchir, juste me sentir guidée et tenue, sentir que tu me corriges pour mon bien et je ne suis satisfaite que si je me sens vraiment punie pour les bêtises que je fais.
- Je vois. Quel serait ton rêve de punition le plus fou ? Celui que tu aurais envie de vivre, mais pour lequel tu n'oses pas en parler car tu penses que ce serait délirant et irréalisable ?
- Ça, c'est effectivement un peu compliqué et tu vas vraiment me prendre pour une dingue qu'il faut envoyer en hôpital psychiatrique !
- Dis toujours, on verra bien... Lui répondit-il en riant.
- Euuuh... Tu vas vraiment me prendre pour une folle mais bon, je me lance. Imaginons que je sois insupportable, mais genre vraiment intenable, que je fasse un caprice pour un rien, qu'en plus je te parle mal, que je te manque de respect... Enfin la totale. Tu es d'accord qu'il faudrait me punir longtemps... Très longtemps, genre pendant au moins une journée entière voire plus.
- Imaginons... Et tu verrais quoi comme punition ?
- Déjà, des fessées rapprochées toute la journée. À peine le temps que la douleur d'une fessée passe que tu m'en remets une. Mais aussi des humiliations comme m'obliger à me faire jouir devant toi ou le fait d'aller aux toilettes en ta présence, ou même l'obligation de me retenir jusqu'à ce que je fasse pipi dans ma culotte, rester cul nu plusieurs heures... Me faire jouir et me fesser durant l'orgasme... Évidemment me prendre quand tu en as envie, si possible après une bonne fessée... Enfin, tu peux imaginer plein de choses, la liste n' est pas exhaustive. Et il ne faudrait que des fessées à la main car c'est beaucoup plus infantilisant pour moi. Et bien sûr que si je fais la moindre bêtises en plus, celle ci devra être punie toute de suite...une fessée ne peut pas durer des heures, ce serait insupportable mais il peut y avoir plusieurs fessées espacées de quelques minutes mais moins d'une heure, la brûlure ne doit pas avoir le temps de refroidir. Peu importe que je pleure toutes les larmes de mon corps, que j'ai plusieurs orgasmes, ou que je me relâche entièrement. Pas de limite, c'est toi qui décides quand où et comment tu me punis. Moi, je ne suis qu'une sale gamine très mal élevée qui a besoin d'être fessée en permanence.
- Tu aimes vraiment être fessée !
- Fessée, humiliée, punie et baisée, mais par toi uniquement ou en tout cas sur ton ordre. Je ne déteste pas être fessée par quelqu'un d'autre mais seulement si tu l'approuves pleinement. Je n'ai confiance qu'en toi.
- Je comprends. Eh bien... Sacré programme. Mais cela reste un fantasme ou tu souhaiterais vraiment le vivre ?
- A vrai dire, chaque fois que j'imagine te demander de le vivre, j'ai très peur, tellement peur qu'il m'arrive de commencer à faire pipi dans ma culotte... Mais d'un autre côté, c'est un vrai désir... Et même, je crois que j'en aurais besoin.
- Pourquoi ? Demanda-t-il.
- Car c'est un moyen pour moi d'évacuer toutes mes émotions négatives, et je sais que tu le feras sans me blesser et avec bienveillance. Je pourrais me sentir enfin la sale gamine que je cache au fond de moi, et qui fait ce qu'elle veut car elle n'a aucun cadre. Et des bêtises, elle en a fait, si tu savais...
- Tu parles de ton passé... Tu veux m'en dire plus ?
- Si je te le dis, c'est sûr que tu vas me punir comme je te l'ai décrit. Alors pour le moment j'hésite mais j'ai si honte... Honte de ne pas te le dire car je n'aime pas te cacher des choses.
- Peut-être que ça te libérerait de tout me dire...
- J'ai fait, avant de te connaître, de graves bêtises. Pour commencer, je séchais les cours, je faisais beaucoup la fête et je me mettais minable, au point d'avoir insulté un flic et m'être retrouvée à passer la nuit au poste.
- Oui, bon, la jeunesse quoi...
- Tous les jeunes ne prennent pas du crack et ne volent pas à la tire !
- Hein ? Tu as fait ça ?
- A l'époque, je n'avais pas de limite, personne pour me dire stop, jusqu'à ce qu'un ami me sorte de là et me prenne sous son aile. Je m'en suis sortie grâce à lui. Il était derrière moi vingt quatre heures sur vingt quatre. Ça a duré une année. C'est lui qui m'a donné ma première fessée. Mais au bout d'un moment, il n'était plus assez sévère alors j'ai commencé à chercher quelqu'un d'autre. Mais c'était pire, personne de sérieux ou d'impliqué... Jusqu'à ce que je te trouve...
- D'accord, mais maintenant c'est du passé, tes frasques...
- Sauf que ce passé me hante. En fait, je me sens... Impunie pour ce que j'ai fait et je n'ai trouvé personne pour me punir assez sévèrement pour ça, je n'arrive donc pas à avancer à cause de ça. Alors j'ai imaginé quelle devrait être ma punition. Elle paraît terrible mais elle est très en dessous de ce que je mérite. Je mérite vraiment d'être punie en permanence, durant tout ce qui me reste à vivre car je ne serais jamais heureuse sinon. Je dois impérativement avoir un cadre très strict et très sévère pour ne pas retomber dans mes travers. Je suis impatiente et capricieuse, je considère que tout m'est dû et je suis impossible à vivre. Il n'y a que depuis que je suis avec toi que j'arrive à me contrôler et encore. Et je crois que tant que je n'aurai pas été punie pour ce passé, je ne serai pas pleinement heureuse.
- Hum, je comprends... Mais... Imaginons que j'exauce ton vœu, tu risques de m'en vouloir après... Et ça, je ne le souhaite pas.
- Au contraire, mon chéri, chaque fessée que tu me donneras, chaque humiliation, chaque fois que tu me feras régresser en me traitant comme une sale gamine mal élevée me libérera un peu plus. Mais tu dois être sans pitié, tu dois me pousser bien au delà de mes limites, et trouver des solutions pour m'humilier et me soumettre à toi un peu plus à chaque fois. Tu dois faire en sorte que ce passé ne se reproduise jamais. Et dans mon imaginaire, je pensais à une journée mais si tu estimes que cela doit durer plus longtemps, c'est une chose que j'accepte. Mais surtout, même si tu choisis de mettre en oeuvre cette punition, après, il faudra continuer à être très strict avec moi et punir la moindre bêtise, le moindre écart de conduite, avec la plus grande sévérité.
- Pfiou, c'est à la fois une marque de confiance infinie et une sacrée responsabilité. Je peux y réfléchir ?
- Bien sûr... Ce n'est pas une chose facile que je te demande.
- Merci. "
La journée se passa sans qu'ils n'en reparle et Lisa se gardait bien de mettre la pression sur Luc qui réfléchissait à la meilleure façon de répondre aux attentes de Lisa. Le soir, après le dîner, Luc décida de proposer quelque chose à Lisa.
"J'ai peut-être une solution pour toi. Mais avant, j'ai quelques questions...
- D'accord, je t'écoute...
- D'après ce que j'ai compris, tu aimes être fessée mais surtout tu aimes être punie, exact ?
- Tu as très bien compris.
- Tu souhaites évacuer ton passé, n'est-ce pas ?
- Au moins, je voudrais pouvoir vivre avec... Même si je ne peux pas revenir dessus.
- D'accord. Te punir pour toutes tes bêtises du passé dans une seule journée n'est pas envisageable, alors je vais te punir sur une plus longue durée. Ta punition sera un certain nombre de règles et d'actions quotidiennes. Mais je ne le ferai pas si tu n'es pas d'accord.
- Je ne veux pas avoir le choix ! Je veux que tu me l'imposes et par la manière forte, répondit Lisa.
- D'accord. Donc premièrement, tu ne porteras plus de culotte, ni de short, ni de pantalon. Le bas, ce sera ou robe, ou jupe. L'une comme l'autre ne devra pas descendre au-dessous de mi-cuisses. Comme je trouve injuste de te punir pour ton passé, je te punirai pour toutes les bêtises actuelles, mais ce seront de très sévères punitions. Tu pourras être sujette à des privations et des infantilisantions de toutes sortes. Tu seras accompagnée aux toilettes et je te ferai prendre ton bain ou ta douche. Concernant ton activité sexuelle, je la contrôlerai désormais. Tu n'auras plus le droit de te masturber sans permission, et je déciderai si tu te masturbes ou si c'est moi qui le fait, selon mon envie du moment. Tu pourras être fessée en tout lieu et à tout moment, selon le besoin ou simplement mon désir. On va tester cela pendant un mois, si tu es d'accord. On verra comment tu te sens à la fin de cette période."
Lisa ne savait plus trop quoi répondre. Elle était prise entre le sentiment de ne plus contrôler sa vie et son besoin d'être punie comme une gamine en permanence. D'un autre côté, ce qu'elle avait toujours désiré se réalisait. Elle allait pouvoir vivre une adolescence qu'elle n'avait jamais eue, avec un cadre strict. Elle allait enfin pouvoir évacuer son passé. Elle ne pouvait rêver mieux que ce soit Luc qui la tienne ainsi. Elle l'aimait et elle allait lui confier sa vie, elle savait qu'il faisait cela par amour.
"D'accord, finit-elle par dire.
- Tu auras tout de même un mot de sauvegarde.
- Non, pas de mot de sauvegarde, c'est trop facile. Une punition doit être dissuasive. Il n'y a de limite que celle que tu jugeras utile. Je te demande juste de ne pas me blesser durablement.
- Cela n'arrivera jamais. Ta sécurité physique et psychologique sera toujours ma priorité. Mais je risque de te pousser loin.
- Fais ce que tu juges bon pour moi.
- Puisque nous sommes d'accord, tu enlèves ton pantalon et ta culotte tout de suite ! Tu n'auras droit à la culotte qu'en certaines occasions.
- et si je travaille au village ? Demanda-t-elle en se déculottant.
- Tu auras les fesses à l'air de façon à ce que tout le monde puisse voir quand tu as été punie. Robe ou jupe, c'est tout. Et c'est la tenue d'une future avocate. Au fait, il y a un tribunal judiciaire au village. Tu vas aller te présenter au juge, car désormais tu vas dépendre de cette juridiction.
- Hein ? Mais je ne suis pas encore avocate !
- Tu auras le diplôme en fin d'année scolaire, c'est à dire dans deux mois. Un mois plus tard, tu seras prête pour le concours du barreau. D'ici là, je vais te faire embaucher en tant que stagiaire dans un cabinet en ville avec détachement ici.
- Tu... Tu peux faire ça ?
- J'ai quelques amis, tu sais, et des gens qui me doivent beaucoup...
- Ooooh!
- Va enfiler une jupe, il y en a dans ton armoire, on va te présenter au juge. "
Elle se dépêcha d'aller dans sa chambre et trouva des jupes plissées mais pas de jupe serrée. Elle n'eut pas le choix et mit une jupe plissée à carreau gris. Elle changea le haut pour une chemise blanche. Merde, elle était la parfaite écolière... Sans culotte...
A suivre....
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