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Histoire fictive : une fille très spéciale 16

 Episode 16 : nouvelles options, nouvelles règles...

Lisa rentra à la maison vers vingt heures, Luc en était averti donc il avait préparé le repas en fonction. 

"Coucou ma chérie, comment s'est passée ta journée ?

- Bonjour mon amour. Ma foi, c'était...intéressant.

- Tu veux m'en parler ?

- Ben tu sais l'essentiel. Le juge m'a proposé de me préparer à l'examen de magistrat et j'ai accepté. Il m'a fait commencer aujourd'hui par un devoir, une décision de justice à rédiger à titre d'exercice.

- Tu t'en es sortie, je suis sûr !

- Oui et non. J'ai eu douze sur vingt, mais il veut des notes de quatorze sur vingt régulièrement.

- Il va te falloir travailler dur. L'examen est quand ?

- Dans quinze jours. C'est trop court, je vais le rater.

- Je connais le juge. S'il te prépare, c'est qu'il est sûr que tu l'auras. Je ne l'ai jamais vu s'engager pour rien. La dernière personne avec qui il l'a fait, c'est pour sa greffière.

- Nathalie ? Tu la connais ?

- Oui, même assez bien, c'était une de mes "élève". Il l'a pris sous son aile, elle n'avait aucun diplôme. Aujourd'hui, elle est la collaboratrice principale et très proche du juge. Étonnant qu'il ne lui ait pas proposé de la former à être magistrat.

- Elle ne le souhaite pas, d'après ce que j'ai compris.

- Je sais qu'elle a pris de sévères fessées pour arriver au niveau de ce boulot. Mais elle y est arrivée. Un peu grâce à moi, beaucoup grâce au juge qui l'a poussée dans ses retranchements avec une grande bienveillance. Je me demande même si il n'en était pas tombé amoureux à une époque... Mais je n'ai jamais vu quoique ce soit qui pourrait le confirmer.

- Ouais, ben en tout cas, il a la main ferme.

- Comment ça ? Demanda Luc, soudain intrigué. Ooooh, je viens de comprendre ! Tu as pris une fessée, toi !

- Euuuuh.... Oui, il m'a dit que j'avais bien travaillé mais que j'avais besoin d'être plus rigoureuse et encouragée. C'était pas très sévère mais je l'ai quand même sentie passer.

- Je vois. Bon... Tu connais la règle ! Tu auras donc aussi une fessée de ma part... Après le repas.

- Oui, je sais, fit Lisa la tête basse.

- Bien ! En attendant, le repas est prêt. Passons à table !"

Lisa avait faim et elle mangea de bon appétit. Elle appréhendait la fessée qu'elle allait recevoir. Les fessées de Luc étaient particulièrement douloureuses et elle avait encore les fesses qui lui piquaient un peu. Elle ne savait pas si elle pourrait supporter une nouvelle fessée. Elle allait sans doute beaucoup pleurer et avoir mal toute la nuit. Mais c'était sans compter avec l'intelligence de son homme.

Luc se leva de table et commença à débarrasser. Il fit une pile ordonnée de la vaisselle pour pouvoir la laver facilement. Il était temps de donner sa fessée à Lisa, comme promis. Après s'être lavé les mains, il attrapa Lisa par le bras, la fit se lever, souleva sa jupe, lui baissa promptement la culotte et la pencha légèrement sous son bras. Une première salve de claques tombèrent alors sur ses fesses.

"Tu éviteras ainsi les fessées au bureau !" Clac ! Clac ! Clac ! Clac !

"Aïe ! Aïe! Aïe ! Ça fait mal !

- C'est fait pour ! -Clac !- Ça va te motiver pour réussir, tu n'as que quinze jours ! -Clac ! Clac ! Clac ! Clac ! Tu me remercieras plus tard !

- Aiiiiille, bouuuh, je vais mieux travailleeeeer, promiiiiiiis !

- Et tu vas me changer ta culotte et vite ! Clac, clac, clac, clac ! Allez ouste !

- Ouiiiiiii ! Bouuuh ! "

Luc la libéra et elle courut dans sa chambre pour attraper une autre culotte. La fessée n'avait pas été longue, mais les fesses lui faisaient quand même très mal. Elle les regarda dans un miroir et elle vit qu'elles étaient sacrément rouges. Même si ça la brûlait terriblement, la couleur lui plaisait bien ! Bon, Luc s'était retenu, sinon, elle n'aurait pas pu s'asseoir pendant un très long moment. Comme elle devait prendre sa douche, elle décida de ne pas porter de culotte jusque là. Elle en mettrait une propre après...enfin, si Luc l'y autorisait...

Lisa revint dans le salon, calmée et cul nu. 

"Je mettrai une culotte après la douche, dit-elle.

- Comme tu veux. " lui répondit-il en la serrant dans ses bras. Ils s'installèrent devant la télé pour regarder un film. Celui-ci terminé, Lisa se leva en direction de la salle de bain.

"Hep, mademoiselle ! Où tu vas, comme ça ?

- Ben prendre ma douche !

- Non, non, non, c'est moi qui te fais prendre ta douche !

- Ah oui ! Flûte, j'avais oublié."

Luc se leva, s'approcha de Lisa et lui mit quatre claques sur les fesses. 

"Comme ça, tu n'oublieras pas, la prochaine fois !

- Aaaïeuh ! Maiiis !"

Il l'attrapa par le bras et l'emmena sous la douche. Il se déshabilla lui-même avant de dévêtir Lisa. Puis il fit couler l'eau de la douche et lava la jeune fille tendrement et délicatement. Lisa éprouvait un étrange bien-être. C'était agréable d'être totalement prise en charge ainsi. Les fesses lui brûlait assez fort lorsque l'eau chaude coulait dessus. Luc appliquait le gant avec beaucoup de douceur. Il prit aussi grand soin de l'intimité de la jeune femme. Il passa le gant sur le sexe de Lisa avec d'infinies précautions, celle-ci appréciait, elle même n'était pas aussi douce avec son entrejambe.

Une fois lavée et rincée, Luc entoura Lisa avec une serviette et il la sécha soigneusement. Enfin, il prit du talc pour bébé et lui en passa sur tout le corps et en particulier sur son entrejambe. Cela évitait les irritations par frottement des vêtements. Il l'envoya ensuite dans sa chambre. Elle mit un tee-shirt, une culotte et revint dans le salon.

"Viens, assieds toi près de moi, invita Luc. J'ai des questions à te poser...

- Ah bon? Fit-elle en se blottissant dans ses bras.

- Je voulais savoir, même si je t'ai déjà posé la question, pourquoi tu aimes la fessée ?

- Il y a plusieurs choses... D'abord, tu le sais, la fessée m'excite terriblement. Elle me fait jouir très intensément, plus qu'un rapport sexuel "classique". Et puis, j'en ai besoin, sinon, je fais des grosses bêtises. Et j'aime ce qu'il y a avant la fessée, le fait de me sentir punie. Et puis j'aime cette brûlure sur mes fesses ou mes cuisses, et que cela dure longtemps. Mais surtout, j'aime être prise en charge, ne plus avoir à décider, et quand tu me donnes une fessée, je sais que c'est par amour, parce que tu veux ce qu'il y a de mieux pour moi. Et ça me rend infiniment heureuse. Bien sûr, la fessée fait mal, mais j'ai besoin de sentir une main ferme et solide qui me tient. Et puis, il y a toutes ces sensations physiques, depuis le moment où je sais que je vais recevoir une fessée jusqu'à très longtemps après...

- Comment ça ? Demanda Luc, curieux.

- Déjà, quand je sais que je vais être punie, que je vais recevoir une bonne fessée, je deviens toute rouge, la chaleur se propage dans tout mon corps, mes jambes tremblent et je mouille instantanément ma culotte, lorsque j'en ai une ! C'est absolument incontrôlable. Je n'ai qu'une envie, à ce moment là, c'est de me caresser violemment ! En fait, dès que je le sais, j'attends cette fessée impatiemment. C'est plus fort que moi. Je deviens nerveuse et insupportable jusqu'à ce que je la reçoive effectivement. Je sais que je vais avoir mal, que je vais pleurer, mais ce n'est que du lâcher prise dont j'ai un besoin viscéral. Quand la fessée s'arrête, je suis à la fois soulagée et frustrée. Une partie de moi veut que ça s'arrête car c'est douloureux mais une autre partie de moi en réclame encore car c'est tellement bon de pouvoir se relâcher complètement. Et puis, il y a les endorphines et tous ces trucs qui font qu'après, tu te sens infiniment mieux. Je ne suis pas maso, en général, sauf pour la fessée. La pire punition pour moi, ce serait de ne plus en recevoir. C'est comme une drogue. Je serais dans un état de manque digne d'un heroïnomane. D'ailleurs, je suis restée un long moment sans être punie et j'étais très mal, je déprimais au point d'avoir des idées noires, de penser à l'irréparable. Quand ma copine m'a donné ton numéro, j'ai retrouvé enfin un espoir. Elle ne s'était pas trompée. En plus, tu as quelque chose que les autres fesseurs que j'ai eu n'avaient pas. Tu sais aussi bien être très sévère, au point de me faire regretter mes bêtises, que d'une extrême douceur et d'une tendresse infinie. Je t'aime pour ça. Tu sais ce dont j'ai besoin et quand j'en ai besoin. C'est comme si tu me connaissais depuis ma naissance. En vrai, je suis heureuse pour la première fois de ma vie, avec toi.

- Whoua! Merci pour ta franchise et ta sincérité.

- Je vais t'avouer un truc. Ce qui me fait le plus de plaisir, finalement, et ce qui me marque le plus, aussi, c'est quand une fessée tombe sans que je ne m'y attende. Pour faire simple, quelques claques sur mes fesses m'excitent, mais une bonne fessée me fera toujours jouir intensément et plus c'est inattendu pour moi, et plus c'est intense en terme de sensations, aussi bien la douleur que le plaisir qui en résulte. Mais aussi, plus grande est la frustration si la fessée n'est pas assez longue ou assez sévère. Pour moi, une fessée doit faire mal, doit être dissuasive, sinon, ce sont des caresses. Lorsque tu me punis, tu dois dépasser mes limites, pas forcément de beaucoup mais juste assez pour que je regrette mes bêtises !

- Je comprends. Donc si je te donnais la fessée toute une journée (avec des pauses bien sûr), c'est quelque chose que tu voudrais ?

- Si je le mérite, oui, sans aucun problème. Et pour le moment, je mérite ce genre de punition car je suis, pardon de l'expression, une sale gamine mal élevée, et ce n'est pas à cause de mes parents, mais parce que je suis devenue comme ça par ma propre négligence. Et je traîne encore aujourd'hui cette négligence, même si je ressens des améliorations, grâce à toi. Mais j'ai vraiment besoin que tu sois derrière mes fesses tout le temps, alors, ne me passe rien, même si je râle, même si j'hurle de douleur, ne lâche rien !

- Merci, mon bébé, pour tes réponses, cela répond à certaines de mes interrogations. Et maintenant, je t'emmène aux toilettes et au lit. "

Une fois de plus, Luc accompagna Lisa aux toilettes et la mit au lit. Il lui fit un câlin et la borda avant d'éteindre la lumière et de fermer la porte.

Le lendemain matin, Lisa prit son petit-déjeuner avec Luc, qui s'était lui aussi réveillé tôt. 

"Mon chéri ? J'aimerai inviter Nathalie à dîner ce soir, si tu veux bien et si elle accepte, bien sûr...

- C'est une bonne idée. Cela permettra de mieux la connaître."

Lisa partit pour le bureau un poil en retard. Elle espérait que son patron ne s'en apercevrait pas. 

"Lisa ! Venez dans mon bureau ! Tout de suite !"

Bon, ben c'était raté. Elle n'avait que trois minutes de retard, mais elle sentait bien qu'elle allait le regretter. Elle toqua à la porte du bureau du juge. Elle fut surprise de trouver Nathalie déculottée au coin, les fesses rougies et avec le visage sur lequel coulaient encore des larmes.

"Vous vous êtes données le mot, ce matin ? Ce n'est pas possible ! En retard toutes les deux, alors que vous savez que je ne supporte pas ça ! Enlevez votre jupe, dépêchez-vous !"

Lisa s'exécuta, elle n'avait même pas prononcé un mot. Latour la saisit par le bras, la pencha sous son bras et lui baissa fermement la culotte. S'ensuit trois minutes d'une fessée particulièrement intense. Lisa pleurait à chaudes larmes dès les premières claques. Même si ce n'était pas aussi intense que celle de Luc, cette fessée lui fit promettre de ne plus jamais arriver en retard. Une fois la fessée terminée, elle alla rejoindre Nathalie face au mur, les mains sur la tête. Elles y restèrent un bon quart d'heure, bien nécessaires pour qu'elles puissent se calmer. Quand le juge les libéra, Nathalie retourna à son bureau. Le juge donna son devoir à faire à Lisa.

"J'ai horreur des gens qui oublient ce qu'est la ponctualité. J'espère que ça vous servira de leçon et que je n'aurai pas à sortir le martinet. Ceci étant dit, le devoir que je vous donne aujourd'hui est issu des annales d'examen de l'école de la magistrature. Je suis conscient que ce sera difficile pour vous d'atteindre la note de quatorze attendu. Exceptionnellement, je tolérerai une note de treize sur vingt sans conséquences pour vos fesses. Bon travail. À toute à l'heure. "

Lisa quitta le bureau sans un mot et se mit tout de suite au travail. Elle eut quand même quelques difficultés à s'asseoir. Nathalie eut la gentillesse de lui apporter un coussin. 

"Il nous a pas loupé, dit Lisa.

- Oh ça, c'est rien. Vous verrez, s'il sort le martinet ou la tawse. J'y ai goûté. Ça calme !

- Je m'en doute! Et euh... On peut se tutoyer ?

- Oh oui, avec plaisir, dit Nathalie avec un grand sourire. Je n'osais pas te le demander.

- Hem, tu accepterais de venir dîner avec nous ce soir, enfin, si tu n'es pas prise ailleurs, je veux dire...

- Oooh, mais oui, avec plaisir. Ça me changera de passer ma soirée toute seule.

- Tu n'as personne dans ta vie ?

- Non, et je ne suis pas pressée à vrai dire.

- D'accord... A toute à l'heure. "

Chacune retourna à son travail. 

A suivre.... 

Commentaires

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  Préambule  : Ce récit est une pure fiction. Il ne saurait représenter ni mon vécu, ni mes fantasmes. C'est plutôt un exercice, un délire, parfois mené par mes côtés les plus sombres et les idées les plus noires. Il y aura de la fessée, bien sûr mais aussi du sexe et des pratiques plus déviantes et perverses. Toutefois mes personnages seront toujours majeurs et consentants dans leurs pratiques, c'est une ligne de conduite que j'ai adoptée depuis le début et je m'y tiens car c'est aussi ma ligne de conduite dans la vie réelle. Ce récit pourra choquer ou donner envie, je m'en moque, mais si vous le lisez, ne venez pas vous plaindre car vous êtes averti. Vos commentaires seront toutefois la bienvenue.  Évidemment, toute ressemblance avec des personnes ou des événements réels ne seraient que pure et triste coïncidence... Quoique triste... Ça reste à voir...  Ces précautions oratoires étant prises, me voilà donc parti à vous raconter l'histoire d'un jeune fi...

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