Episode 20 : colonie de vacances.
Les deux filles se posèrent sur l'immense canapé installé dans une partie de l'espace de vie. Au milieu de cet espace trônait une cheminée conique suspendue, le foyer circulaire reposait au sol. Il n'y avait aucun montant ou même structure qui reliait les deux parties si bien que lorsque Luc y alluma le feu, la flamme était visible de n'importe où dans la pièce et le cône métallique récupérait la chaleur avant de la diffuser dans toute la pièce.
"Je vous ai pris vos affaires pour la nuit, sous vêtements et pyjama, il peut faire frais, ici, le soir. Voilà pourquoi j'ai allumé un feu de cheminée, dit Luc.
- C'est cool, ce feu, ça fait cocon même dans cette grande pièce. Quel est le nombre le plus grand de personnes qu'il y a eu ici ? Demanda Nathalie.
- Une fois, j'ai emmené cinq de mes élèves. Mais il nous est arrivé de louer à quatre couples. Et ils avaient encore de la place.
- Oui, ça ne m'étonne pas. C'est tout simplement immense."
Les deux filles prirent leurs affaires et les montèrent dans leur chambre. Quelle ne furent pas leur surprise lorsque elles la découvrirent. Elle aussi était immense, disposant de sa propre salle de bain et de toilettes séparées. Il y avait un grand bureau et un lit démesuré qui devait faire trois mètres de larges sur deux de long. Lisa ne put s'empêcher de le tester.
"Whoua, fit-elle admirative, c'est super confortable ! Je veux bien vivre ici, moi.
- Hum! Un peu trop isolée pour moi, déjà qu'au village, c'est limite... Répondit Nathalie.
- Viens tester le lit, il est trop bien !"
Nathalie se jeta à son tour sur le lit. Lisa qui n'y tenait plus sauta sur sa jeune amie et l'embrassa fougueusement. Nathalie lui rendit bien en la serrant tendrement dans ses bras.
"Qu'est-ce qu'on va faire après ce week-end qu'on aura passé ensemble ? Demanda Lisa.
- On retourne au boulot, tiens, répondit Nathalie en éludant la vraie question.
- Te fous pas de moi, tu as très bien compris.
- Je ne me moque, mais j'ai aussi la trouille que toi ! En plus, je suis en train de m'attacher à toi, et ça me fait peur. Je ne me suis attaché à personne depuis cet espèce de dealer à la con !
- Même pas à Luc ?
- Luc était mon tuteur, un ami aussi, mais pas un amant, et pas mon amant. C'était différent. Ça l'est toujours d'ailleurs, même si j'ai énormément d'affection pour lui. Je n'aurai jamais la même relation que tu as avec lui. Mais toi... Je ne sais pas... Je suis bien avec toi, je ne saurais pas dire pourquoi mais je sens que tu es un tournant dans ma vie, même si je ne sais pas où cela va me mener. J'ai...confiance...
- Ça me touche beaucoup. Écoute, vivons ce week-end ensemble et on verra après, d'accord ?
- Ouiiiiiii !
- Bon, quand Luc dormira, j'ai bien envie de visiter un peu plus le chalet, tu me suis ?
- J'ai compris : la porte fermée à clef ? Celle que Luc nous as interdite d'entrer ?
- Je savais que je pouvais compter sur toi !
- Eh ! Minute, ma grande ! Tu sais ce qui va se passer si on se fait prendre ?
- Boh, une fessée de plus ou de moins...
- Parle pour toi ! Luc peut se montrer sévère et je n'ai pas trop envie de tester, tu vois ? J'ai donné suffisamment ! Pas toi apparemment.
- Pffff ! Bon, je ne t'oblige pas. J'irai toute seule.
- Et tu crois que je vais rester là toute seule ? Ne rêve pas quand même ! Je viens avec toi ce soir. Mais si on se fait prendre, on n'aura pas assez de toute l'eau de notre corps pour nos pleurs ! T'es prévenue !
- On ne se fera pas prendre ! Je te le jure !
- Tu ne devrais pas jurer ou promettre quelque chose que tu n'es pas sûre de tenir. Mais bon, je suis aussi curieuse que toi ! "
Les filles se mirent à rire d'excitation en pensant à la nuit à venir et à ce qu'elles allaient découvrir derrière cette fameuse porte.
La soirée approchait et les filles aidèrent Luc à préparer le repas puis ils passèrent tous à table qui elle aussi était démesurée et pourtant, elle paraissait tellement petite dans l'immense pièce. La soirée continua dans la bonne humeur, chacun racontant ses petites anecdotes croustillantes ou non. Tout le monde riait de bon cœur mais l'heure avançait et il était temps de rejoindre les chambres, une promenade en montagne étant prévue le lendemain après midi, il fallait reprendre des forces.
Les filles montèrent dans leur chambre tandis que Luc rejoignit la sienne. C'est à ce moment là que le plan de cette nuit s'élabora. Elles attendirent un long moment avant de passer à l'action. Il était pas loin d'une heure du matin avant d'ouvrir leur porte avec la plus grande discrétion. Elles descendirent le grand escalier en pin à pas de loup. Par chance cet escalier ne craquait pas comme tant d'escaliers en bois. Elles atteignirent le rez-de-chaussée en toute furtivité. Elles arrivèrent devant la fameuse porte fermée à clef.
"Merde, dit Lisa. Où est-ce qu'il a pu planquer cette putain de clef ?"
Nathalie regarda autour d'elle et aperçut un buffet entièrement en pin massif verni se mariant parfaitement avec l'atmosphère du chalet. Elle s'approcha et ouvrit un premier tiroir mais fit chou blanc ne trouvant que des papiers. Le feu qui brûlait dans la cheminée les dispensait de toute source lumineuse additionnelle. C'est Lisa qui eut plus de chance en ouvrant le deuxième tiroir. Elle y trouva le sésame de la porte secrète. Elle se dirigèrent toujours en silence vers la fameuse entrée interdite. Lisa inséra la clef dans le trou de la serrure et s'arrêta un instant.
"Prête ? Demanda-t-elle à Nathalie.
- Oui, vas-y!
- Et s'il y avait une alarme ?
- Non, je n'y crois pas. Luc n'est pas aussi vicieux.
- Bon, au pire, on prendra une bonne fessée... Ça ne va pas nous tuer...
- Nous tuer, non, mais on risque de ne pas pouvoir s'asseoir un long moment. Mais bon, je suis trop curieuse.
- Alors allons-y !" Décréta Lisa.
La clef tourna dans la serrure...et la porte s'ouvrit.
Là haut, dans sa chambre, Luc dormait à poings fermés lorsque sa montre connectée émit une série de petit bip discrets caractéristiques. Il se réveilla instantanément et prit son téléphone. Il mit en route son application domestique qui lui permettait de voir toutes les caméras de vidéosurveillance du chalet, et il y en avait un certain nombre. Il choisit celle qui donnait une vue assez rapprochée de la porte interdite car l'alarme avait été déclenchée ce qui signifiait que quelqu'un avait trouvé la clef et avait ouvert la porte. En effet, il vit les deux filles en train d'entrer dans la pièce normalement condamnée. Il changea de caméra pour celle qui était à l'intérieur de la pièce et commença un enregistrement. On y voyait clairement les deux filles pénétrer à l'intérieur. Leur visage était reconnaissable malgré la vision infrarouge.
Les filles fermèrent la porte derrière elles et allumèrent la lumière. Une ambiance feutrée aux couleurs ambrées inondait la pièce, comme si elle était éclairée par un soleil couchant. C'était très agréable. Mais ce qui surprit le plus les filles fut le mobilier. D'abord, un lit surplombé d'un cadre, comme si on voulait accrocher des choses au dessus. Le tout en pin massif de bonne taille. Cela semblait pouvoir supporter des charges lourdes. Mais pourquoi faire ? Elles tournèrent le regard et virent une armoire vitrée, comme un vaisselier, sauf qu'au lieu des assiettes et verres, elles y virent des instruments qu'elles ne mirent pas longtemps à reconnaître, martinets, paddles, canes de toutes sortes. Elles s'approchèrent et Lisa ouvrit un tiroir de la commode qui se trouvait à côté du vaisselier. Elle y trouva des objets dignes du film cinquante nuances de Grey. Elles refermèrent le tiroir.
"Il a dit que c'était sa salle de jeu... Dit Lisa en chuchotant.
- Tu crois qu'il fait du BDSM ? demanda Nathalie.
- Ce fut le cas pendant ma jeunesse, intervint Luc qui était entré dans la pièce avec une furtivité de commando.
- Luc !!! Fit Lisa surprise.
- Je vous avais pourtant interdit de rentrer dans cette pièce, non ?
- On est désolée ! S'empressa de dire Nathalie qui voyait arriver la fessée à grands pas.
- Pourquoi cette pièce aujourd'hui ? Demanda Lisa avec tout son courage.
- Il y a plusieurs raisons. D'abord parce que certains de nos locataires recherchent ce type d'endroit. Ensuite parce que certaines gamines comme vous souhaitent aller plus loin que la simple fessée, et enfin parce que j'aime jouer aussi, parfois, même si c'est de plus en plus rare, je n'ai plus la même passion pour cette activité.
- Je... Je suppose que tu vas nous punir ? Demanda Lisa toute penaude.
- Je savais que la tentation serait grande et j'avoue que sans l'alarme, je n'aurais rien su de votre désobéissance et je serais dans mon lit. Mais... Vous m'avez désobéi. Et oui, cela doit être puni. Et comme vous êtes dans ma salle de jeu, cela pourrait être instructif pour vous de goûter à certains de mes jeux."
Les filles blêmirent. Elle ne s'attendaient pas à être prise au piège de la sorte. Mais elles avaient elles-mêmes commencé le jeu, il fallait assumer.
" Je vous rassure, rien de bien hard, juste du soft. Vous n'aurez pas plus mal qu'avec une bonne fessée que, de toute façon, vous méritez. Enlevez vos pyjamas, je vous veux nues toutes les deux."
Les deux filles s'exécutèrent sans discuter. Elles appréhendaient la suite, mais elles étaient aussi curieuses. Une fois déshabillées, Luc leur posa à toutes les deux un bandeaux de soie sur les yeux. Il s'approcha ensuite de Lisa.
"Mets des mains devant toi." Il lui attrapa les poignets et les para de menottes recouvertes d'un tissu doux pour ne pas risquer de blesser. Il attacha ensuite les deux menottes ensemble devant la jeune femme à l'aide d'un mousqueton. Il fit la même chose avec Nathalie. Il accrocha ensuite les deux menottes à deux crochets au mur. Elles étaient donc côte à côte, face au mur les bras levés attachées au mur. Dernière étape, il fit reculer un peu les jambes des filles et les écarta. Au sol, deux anneaux étaient dissimulés. Il les fit sortir de leur cache, passa des menottes aux chevilles des filles et les attacha à leur tour aux anneaux au sol. Les deux filles ne pouvaient plus bouger leur membres offrant leur fesses à ce qui allait suivre.
"Comment vous vous sentez, demanda-t-il.
- Attachée, répondit Lisa, et prisonnière.
- Tu aimes ?
- Je ne sais pas encore mais j'avoue être curieuse de la suite...
- Et toi, Nathalie ?
- J'avoue avoir peur de la suite...
- N'aie crainte, la punition, ce n'est pas pour tout de suite. On va juste jouer un peu. Je vais vous faire découvrir des sensations nouvelles.
- Oooh. "
Luc attrapa un martinet à longue lanières souple et légères. Il caressa le dos de Lisa en faisant glisser les lanières et il frappa les fesses une fois, assez doucement mais avec suffisamment de fermeté pour que Lisa pousse un petit cri de surprise.
"Encore ? demanda Luc.
- Oui, s'il vous plaît, Monsieur."
Un claquement de lanières puis un deuxième et un troisième. Cela cinglait bien, mais la sensation n'était pas désagréable. Cela excitait même Lisa. Luc prit soin de vérifier l'humidité du sexe de la jeune femme et lui donna quatre coups de plus, un peu plus fort. Les fesses de Lisa commençaient à se colorer gentiment. Lisa gémissait un peu, mais difficile de dire si c'était de douleur ou de plaisir.
"Bien. À ton tour Nathalie..."
La jeune femme se raidit un peu, appréhendant la suite. Elle sentit à son tour les lanières du martinet caresser son dos puis ses fesses. C'était la première fois qu'elle éprouvait cette sensation de peur et de désir à la fois. Le premier coup tomba sur ses fesses. Pas vraiment douloureux, mais cela laissait des picotements sur sa peau, et des papillons dans son ventre. Un deuxième coup de la même force cingla son postérieur. Les picotements se transformèrent en une douce chaleur qui se propageait jusque dans son intimité, cela l'excitait.
"Ça va ? Demanda Luc.
- Oui, souffla-a-t-elle.
- Alors je continue. Si c'est trop, du dit rouge trois fois."
Deux coups plus appuyés vinrent rougir les fesses de Nathalie. Cela commençait à faire juste assez mal pour en vouloir plus. Ce qui arriva avec trois coups supplémentaires. Nathalie commençait à comprendre le plaisir qu'on pouvait ressentir à être fessée de la sorte. Luc savait doser ses coups juste ce qu'il fallait. Elle était toute mouillée et Luc qui avait une totale sur ses fesses et son intimité ne pouvait l'ignorer. Quatre coups de plus et Nathalie se laissa aller à gémir.
"Bien, fit Luc. Vous avez goûté à mes jeux."
Il décrocha les chevilles des deux filles et leurs poignets. Il les retourna, enleva leur bandeau et les libéra de leurs menottes.
"Alors ? Demanda-a-t-il.
- C'est très excitant, admit Lisa. Tu aurais pu continuer, je crois.
- Oui, dit Nathalie, c'est très intéressant comme expérience.
- Avant de courir, il faut apprendre à marcher. Maintenant on va passer à autre chose. Vous m'avez désobéi et ça mérite punition."
Sans plus attendre il attrapa Lisa, la pencha sur ses genoux et commença une sévère fessée. Celle-là faisait mal dès les premières claques.
"Quand je vous dis que c'est interdit, vous n'avez pas à réfléchir, c'est interdit, point !" gronda-t-il.
Lisa était déjà en larmes, le suppliant d'arrêter en lui demandant pardon. Mais Luc avait la ferme intention que Lisa se souvienne longtemps de la leçon. Au bout de trois minutes d'une fessée très appuyée, il envoya Lisa au coin, en larmes, les mains sur la tête et les fesses très rouges.
"À ton tour, Nathalie...
- Non, s'teu plaît, j'ai compris...
- Ne commence pas à discuter !"
Il empoigna la jeune femme et la pencha, elle aussi sur ses genoux. Il la fessa de la même façon que Lisa avec le même résultat. Nathalie pleurait tout ce qu'elle pouvait. Ça faisait trop longtemps qu'elle n'avait pas reçu de fessée de Luc et elle avait oublié à quel point ça faisait mal. Pourtant, il y avait quelque chose en elle qui avait désiré cette fessée. Quand Luc l'envoya au coin à son tour, elle s'aperçut qu'elle avait l'entrejambe complètement inondé et que ça coulait le long de ses cuisses. C'était la première fois que ça lui arrivait et malgré la douleur, son excitation ne faisait aucun doute. Elle se rendit même compte que si pendant la fessée, elle aurait tout fait pour que ça s'arrête, maintenant, elle aurait presque aimé que ça continue. Sentiment étrange et contradictoire.
Au bout d'un certain temps, Luc leur rendit leur pyjama.
"Maintenant, au lit ! Et fissa ! On rediscutera demain de tout ça, je suis loin d'en avoir terminé avec vous ! Vous allez avoir la punition que vous méritez toutes les deux ! Montez vous mettre au lit et que je ne vous entende plus !"
Les filles ne se firent pas prier. Une fois dans la chambre, Lisa et Nathalie observèrent leur fesses.
"Eh ben, toi qui étais sûre de ton coup... Dit Nathalie.
- Oh t'inquiète pas, ça, c'est rien. Par contre, demain, je pense qu'on va déguster, prépare tes fesses ! Je suis désolée de t'avoir mise dans cette situation.
- Il n'y a pas de mal. À vrai dire, ça valait le coup, vu ce qu'on a découvert. Alors quoiqu'il arrive, j'assumerai.
- Pas sûre que tu me dises la même chose demain... En attendant, j'ai très envie de m'occuper de toi...
- Oooh, je ne demande pas mieux."
Les deux filles s'allongèrent sur le lit, et se caressèrent mutuellement jusqu'au plaisir total, entier et libérateur. Elles s'endormirent dans les bras l'une de l'autre...
Le lendemain matin, Luc était déjà levé alors que les filles se réveillaient à peine...
A suivre....
Luc a été bien gentil mais je crois que cette journée qui arrive soit aussi douce pour Lisa et Nathalie, je connais deux personnes qui vont dormir sur le ventre ce soir
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