Accéder au contenu principal

Histoire fictive : une fille très spéciale 25

Episode 25 : les nouvelles règles (Le désir de Nathalie)

  Après s'être bien calmée dans les bras de Luc, Lisa vint se blottir dans les bras de Nathalie. Le bien être de la jeune femme après cette fessée de libération attendrissait le quadragénaire. Lisa était une fille formidable avec une très grande lucidité et une générosité infinie malgré son comportement d'adolescente. 

"Je peux te demander ce que tu as ressenti, demanda Nathalie à Lisa.

- Au début, tu résistes, c'est un réflexe. Ton corps, ton âme ne veut rien lâcher. Si tu fais ça avec une personne pour laquelle tu ne ressens rien, c'est voué à l'échec. Il faut qu'il y ait une connexion très forte, un attachement émotionnel, la confiance ne suffit pas. Et puis, au fur et à mesure que la douleur augmente, tu essaies de compenser. Moi, c'est l'excitation sexuelle mais ça peut être mille autres choses. Chacun fait à sa manière. Et puis tu finis par t'abandonner car il n'y a plus que ça à faire. Au début, tu pleures de rage et de douleur, mais au final, tu pleures par évacuation de tes émotions. La douleur ne compte plus, ce n'est qu'un média pour tes émotions, un véhicule qui va les faire sortir. Mes fesses me brûlent, tu vois ? Et pourtant, je ne veux pas ressentir autre chose car c'est le symbole de ma libération. Et si tu veux tout savoir, j'aurais envie d'une autre fessée mais mon postérieur ne le supporterait pas pour le moment.

- Whouaou ! C'est du masochisme !

- Absolument pas. Je n'aime pas la douleur pour la douleur, j'ai même horreur de ça et je crains les fessées punitives même si elles me sont absolument nécessaires pour vivre. J'en ai besoin, ça ne veut pas dire que je les apprécie ! (rires). Mais j'aime être fessée pour tout ce que ça signifie pour moi, et par une personne avec qui j'ai une forte relation uniquement. C'est Luc qui m'a fait comprendre ça, sans le dire explicitement, d'ailleurs. Il ne me donne pas une fessée par colère ou par volonté de me faire du mal, mais par bienveillance et amour et cet amour, je le ressens à chaque fois.

- Ah oui. Donc tu penses que ça ne pourrait pas être la même chose si il le faisait avec moi, car il n'y a pas cet amour...

- Tu te trompes, Nathalie. J'ai compris une chose, cet après midi : Luc t'aime profondément. Différemment, sans doute, mais cet amour n'en demeure pas moins sincère et intense. Mais il doit arrêter de regretter et il n'y a qu'un moyen pour que ça se produise.

- Lequel ?

- Tu dois lui redonner ta confiance, et tu dois croire en ses propres sentiments pour toi et aux tiens pour lui. Et lui doit faire de même. Pour arriver à ça, l'un de vous deux doit faire un pas vers l'autre."

Ce discours perturbait tout autant Nathalie que Luc. Mais c'était à Nathalie de faire ce premier pas. Elle le savait au fond d'elle même et elle le désirait. Seul la peur la retenait. Il n'y avait qu'un moyen de savoir... 

"Luc, commença Nathalie, ce que je voudrais te demander me fait très très peur, mais je sens en moi que j'en ai besoin et envie.

- Que veux tu dire, Nathalie ? Répondit-il.

- Je voudrais la même chose que Lisa. Une fessée qui me permettrait de m'abandonner complètement. Je garde tout depuis tellement longtemps... Mais j'ai peur... C'est presque une peur panique.

- J'ai peut-être une solution pour toi, si tu veux, bien sûr...

- Je t'écoute...

- Je vais te donner la fessée que tu demandes mais je vais m'attacher aussi, par des caresses, à t'exciter, à te faire jouir, ça t'aidera à te relâcher. Et surtout, il ne faut pas que tu aies honte de ce qu'il peut se passer. Tu peux te libérer sans crainte d'être jugée ou réprimandée. Le relâchement émotionnel dont tu as besoin passe aussi par un relâchement physique. Et je serai toujours à l'écoute de tes réactions. Et si c'est trop, tu as ton mot de sauvegarde, d'accord ?

- Oui. Je voudrais te demander aussi quelque chose, tu vas me trouver bizarre, continua Nathalie.

- Dis-moi...

- Je voudrais régresser. Je voudrais être fessée comme une gamine, avec ma culotte, puis la culotte baissée et enfin enlevée.

- Je crois comprendre ce que tu recherches, Nathalie. Va t'habiller comme tu le souhaites. Fais en sortes de combler tes propres désirs et envies.

- Veux tu que je vous laisse seuls, Luc et toi ? Demanda Lisa. 

- Non ! Surtout pas ! J'ai besoin de ta présence. D'un côté, elle va me rassurer, et d'un autre, le fait que tu me regardes va m'aider à me relâcher. Je crois que j'ai besoin d'avoir honte pour arriver à lâcher prise. J'ai besoin de ressentir cette fessée comme une punition. 

- D'accord. Comme tu veux."

Nathalie s'éclipsa pour aller se changer. Luc commençait à comprendre ce que souhaitait Nathalie. La culotte, c'était le symbole physique de ses émotions négatives. 

Nathalie revint habillée d'un tee-shirt, d'un short en coton court et moulant sous lequel elle portait une culotte de petite fille. Elle s'assit en face de Luc. 

"Je crois que je peux préciser ce que je souhaite vraiment, dit-elle. 

- Dis-moi ? 

- Je veux être corrigée pour tout ce que j'ai pu rater, mes erreurs du passé qui finalement, n'ont jamais été corrigées. Je pense m'être mise en danger bien des fois, parfois inconsciemment, parfois de manière délibérée, par provocation ou ras-le-bol de la vie. J'ai du mal à répartir dans une nouvelle vie avec vous deux sans avoir évacué cela, sans avoir été sévèrement punie pour ça. Je crois que c'est la seule manière pour moi d'évacuer mes émotions liées à cette période et de pouvoir appréhender mon avenir avec vous. Et enfin, Luc, je vais te dire quelque chose : tu m'as sauvée, tu le sais, et je suis convaincue que tu m'aimes, même si tu n'oses le dire. C'est pour ça que je veux que tu disposes dorénavant de moi comme tu l'entends sans plus aucune restriction et bien entendu, à condition que Lisa l'accepte... 

- Nathalie, dit Lisa, non seulement je l'accepte, mais je le désire car je veux aussi ton bonheur. 

- Tu te sens prête, Nathalie ? Demanda Luc. 

- Autant que je peux l'être à ce stade de mes ressentis."

Luc s'approcha de Nathalie, lui prit doucement la main et la fit se lever. Il la serra dans ses bras le plus tendrement qu'il put et l'embrassa. 

"Ça te va comme réponse ? Lui demanda-t-il. 

- Oui, je crois. Libère-moi de tout ce qui me pèse."

Luc se mit un peu à côté de Nathalie pour être libre de ses mouvements. Il lui mit une main sur son ventre, juste au dessus du pubis pour la maintenir et lui mit une dizaine de claques assez fortes sur ses fesses à travers son short. Il marqua une pause de quelques secondes pour permettre à la jeune femme d'intégrer la douleur très modérée. Nathalie n'avait pas bien mal, mais c'était une sensation nouvelle. Une douce chaleur se répandait dans son postérieur mais irradiait dans des parties voisines plus intimes et c'était agréable. Luc caressa les fesses de la jeune femme puis reprit une fessée plus sévère et plus longue. Nathalie commençait à ressentir la piqûre des claques plus intensément. Et elle comprit ce que pouvait ressentir Lisa. Elle commençait à être excitée par cette fessée. Luc s'arrêta un moment et lui massa les fesses. Puis il se mit face à elle, attrapa l'élastique de son short et le baissa jusqu'aux chevilles. Il lui fit quitter totalement. Elle restait en culotte. Ce déculottage progressif ne fit qu'augmenter l'excitation de Nathalie qui sentit sa culotte s'humidifier. Jamais elle n'avait ressenti cela durant une fessée. Elle pensait que Luc allait lui baisser la culotte, mais il n'en fit rien. Il s'assit en tenant la jeune femme par le bras, puis il l'obligea, doucement mais fermement à venir s'allonger sur ses genoux. L'homme reprit alors une fessée de force modérée mais suffisamment intense pour que Nathalie puisse commencer à se relâcher. Cela ne fit qu'accentuer l'excitation de celle-ci, qui gémissait autant de douleur que du plaisir qui se faisait lui aussi de plus en plus présent, elle écarta instinctivement les jambes, montrant ainsi son entrejambe recouvert du tissu de la culotte qui ne laissait aucun doute quand à l'excitation de la jeune femme. Alors que Luc continuait de la fesser fermement et que la couleur de ses fesses virait au rouge, Nathalie fut submergée d'un orgasme fulgurant et violent. Elle en fut tellement surprise que cela déclencha le début de ses larmes. Elle commençait vraiment à se relâcher. Luc qui avait compris ce qu'il s'était passé, s'arrêta quelques secondes. Puis, aussi surprenant que cela puisse paraître, il envoya Nathalie au coin, à genoux les jambes écartées. Celle-ci obéit, surprise, mais sans poser de question. Elle sentait sa culotte tout mouillée au contact de son sexe et c'était un sensation nouvelle mais pas désagréable. Elle sentait également la brûlure sur ses fesses, et elle se surprit à trouver cela pas désagréable non plus. Elle comprenait Lisa de plus en plus. Ses réflexions s'arrêterent là car Luc vint la chercher au coin. Il s'assit et replaça la jeune femme sur un de ses genoux recouvert d'une serviette. Elle se retrouvait donc à califourchon, le buste appuyé sur le canapé et les jambes de chaque côté de la cuisse gauche de Luc. Elle était ainsi totalement exposée au regard de Lisa et Luc. L'homme recommença à fesser Nathalie, mais bien plus sévèrement. Celle-ci se mit à gémir et à pleurer aussitôt. Mais c'était encore des larmes de douleur, non d'abandon. Luc continua donc. Nathalie commençait à avoir vraiment mal. Mais son corps ne voulait plus réagir. Enfin presque. La jeune femme ne pouvait plus se battre contre les émotions qui l'envahissait à ce moment précis. Elle se sentait enfin punie pour ses actes passés, ses mauvais choix, ses mauvaises décisions. Elle pouvait enfin se libérer. La position de son corps était telle que la cuisse de Luc appuyait sur sa vessie, et elle n'était pas vide... Ce fut le premier signe du relâchement. Elle se laissa aller à faire pipi dans sa culotte sur la cuisse de Luc. Heureusement que la serviette était là pour absorber le liquide. Luc s'en étant aperçu fit relever la jeune femme, lui enleva la culotte totalement, la repencha dans la même position et reprit la fessée de plus belle. Nathalie n'en pouvait plus, c'était le point de rupture, elle s'abandonna enfin aux larmes émotionnelles et son corps se fit tout mou, pantelant. L'homme, s'il continuait de la fesser, allégea la force des claques, ne cherchant qu'à entretenir la libération de la jeune femme qui pleurait toutes les larmes de son corps. Il arrêta lorsque Nathalie commença à être prise de spasmes incontrôlables. Il lui caressa alors les fesses douloureuses et son dos pour l'aider à gérer ses pleurs. Ceci aida effectivement Nathalie à se calmer suffisamment pour se laisser aller à des larmes moins violentes mais qui permettait tout de même d'évacuer. Entre deux sanglots, Nathalie parvint à dire :

"J'en ai besoin d'une encore, pour finir d'évacuer..." 

Luc ne put qu'accéder à sa demande et reprit la fessée là où elle en était. Nathalie pleura de plus belle, mais c'était la soupape de sécurité qui s'exprimait. Luc le comprit et il fessa plus fort, faisant crier la jeune femme. En soi, c'était une fessée horrible, mais pour Nathalie, c'était celle qui était en train de la libérer de son passé et c'était vital pour elle. Il ne fallait pas que Luc arrête maintenant. Il ne le fit pas. Lisa avait l'impression que cette fessée infligée à son amante durait une éternité. Mais elle n'aura duré que trois petites minutes au bout desquelles Luc arrêta. Il laissa Nathalie s'épancher de ses larmes autant de temps qu'elle le souhaitait. Après un long moment, Nathalie se releva un peu étourdie et se lova dans les bras de Luc. "Merci..." lui souffla-t-elle. Luc ne répondit pas et se contenta de la serrer dans ses bras. Lisa s'approcha de son homme et lui murmura :

"Je m'éclipse dans la chambre, mon chéri. Fais lui l'amour, elle en a besoin... Et toi aussi..." 

Lisa avait accepté cela depuis le début où elle s'était éprise de Nathalie et envisagé un ménage à trois. Elle était prête à partager par amour pour Luc et par amour pour Nathalie. Et en fait, ça la comblait. 

Luc regarda Lisa. Celle-ci embrassa son homme amoureusement, puis fila toute guillerette dans la chambre et en ferma la porte. Alors Luc s'occupa tendrement de Nathalie et ils firent l'amour. La page du passé de Nathalie était tournée, elle pouvait enfin se réjouir de l'avenir qui s'offrait à elle. Et l'avenir c'était Luc... Et Lisa. Elle sortit des bras de Luc et courut dans la chambre, toute nue, telle qu'elle était. Elle referma la porte derrière elle, et s'approcha de Lisa. Elle la prit dans ses bras et la serra très fort. 

"Je t'aime Lisa ! Je ne veux plus jamais que tu sois loin de moi. 

- Tout pareil pour moi !" 

Elle s'embrassèrent longuement. La main de Nathalie chercha tout de suite l'entrejambe de sa partenaire. Elle sentit cette humidité caractéristique de l'excitation. Elle n'y alla pas par quatre chemin et la pénétra avec deux doigts fermement mais avec douceur. Lisa failli sauter en l'air tant la sensation était subite. Mais que c'était bon ! Nathalie commença des va et vient mais pas trop profond, juste assez pour stimuler cette zone si sensible qui rendait folle Lisa. Cette dernière coulait littéralement. Nathalie commença à descendre sa tête pour venir la mettre entre les jambes de sa compagne mais cette dernière l'arrêta. 

"Non ! Dit-elle. Pas comme ça !" 

Elle força Nathalie à se mettre sur le dos, puis elle vint se mettre à cheval au dessus de sa tête. 

"Comme ça !" ordonna Lisa. 

Tout en caressant son amante de sa main gauche et de sa langue, Nathalie se caressait elle-même de sa main droite. Évidemment, sur le dos, Nathalie sentait la brûlure de ses fesses, mais non seulement c'était supportable, mais cela participait à sa propre excitation. Forcément, à force de jouer ainsi, il ne fallut pas très longtemps pour que les protagonistes atteignent un orgasme intense. Une fois les sensations apaisées, les deux filles s'endormirent dans les bras l'une de l'autre, épuisées par cette journée. Luc avait l'habitude de dormir seul dans son lit et il s'y effondra tout aussi vite que les filles. Demain serait une autre journée...

A suivre.... 



Commentaires

Les plus consultés

Histoire fictive : une fille très spéciale 1

  Préambule  : Ce récit est une pure fiction. Il ne saurait représenter ni mon vécu, ni mes fantasmes. C'est plutôt un exercice, un délire, parfois mené par mes côtés les plus sombres et les idées les plus noires. Il y aura de la fessée, bien sûr mais aussi du sexe et des pratiques plus déviantes et perverses. Toutefois mes personnages seront toujours majeurs et consentants dans leurs pratiques, c'est une ligne de conduite que j'ai adoptée depuis le début et je m'y tiens car c'est aussi ma ligne de conduite dans la vie réelle. Ce récit pourra choquer ou donner envie, je m'en moque, mais si vous le lisez, ne venez pas vous plaindre car vous êtes averti. Vos commentaires seront toutefois la bienvenue.  Évidemment, toute ressemblance avec des personnes ou des événements réels ne seraient que pure et triste coïncidence... Quoique triste... Ça reste à voir...  Ces précautions oratoires étant prises, me voilà donc parti à vous raconter l'histoire d'un jeune fi...

Hannah (4)

Dimanche après midi... Après avoir passé du temps à discuter avec les autres filles, je récupère Hannah pour régler un problème épineux, une très grosse bêtise. Cette bêtise est assez intime et je n'en donnerai donc pas le détail ici, hormis le fait que cela touche à sa santé. Sa bêtise est suffisamment grave pour que je décide de la punir très sérieusement.  Je l'attrape donc et l'emmène dans la chambre, ferme la porte derrière moi.  "Bien, lui dis-je, tu sais pourquoi tu es dans cette situation. Raconte-moi.  - J'ai fait une très grosse bêtise.  - Et ? Regarde moi quand je te cause !  - Et c'est dangereux, ce que j'ai fait.  - Regarde-moi, Hannah. Continue.  - Je vais être punie pour ça.  - Approche ! " Là, je sentis de l'hésitation chez elle. A la suite de la quatrième fessée, je lui avais confisqué son short et sa culotte, elle se retrouvait donc à moitié nue devant moi. Et si jusqu'ici, je n'avais pas senti de gêne particulière chez el...

Un coaching tant désiré... (2)

  L'attente L'attente. Ouais, ce chapitre porte bien son nom. Je crois que c'est le pire moment. On ne devrait pas avoir à attendre lorsqu'une décision est prise. Le processus, ça devrait être : constat -> analyse -> réflexion -> décision -> action. Mais il y  a les impondérables, les contraintes temps, les emmerdes...etc... bref, tout ce qu'on n'aime pas !  Je profite de ce temps incompressible pour mieux connaitre Lucie. Je discute beaucoup avec elle, non plus par mail, mais par messagerie instantanée, plus efficace pour ce type d'échange. Ces discussions que nous avons me confirment que Lucie est une très belle personne, mais avec pleins de petits défauts qu'il faut gérer au quotidien.  Depuis que Thomas ne la suit plus, c'est du grand n'importe quoi. Elle se couche à pas d'heure, alors qu'elle a un couvre feu strict pour raisons médicales, elle prend ses médicaments en retard...ou pas du tout, elle se fait exclure d'un...