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Un drôle de destin 2

  ... (NDLA : je pense que ça va être aussi long à démarrer qu'une série Netflix !)... 

Et voilà ! Elle se retrouvait sans culotte et sans soutif avec une jupe qui lui descendait à moins d'une main sous les fesses et un chemisier blanc. Mais il ne faisait pas froid dans le bâtiment. Il y faisait même assez chaud. Mélanie éprouvait quand même un certain malaise. Le soutif, bon, elle avait une poitrine qui pouvait s'en passer allègrement. Elle en mettait plus par habitude que par nécessité. Par contre, se retrouver sans culotte, c'était quoi le but ?
"Allez suis-nous sans faire d'histoire" lui ordonna le plus âgé des agents. Elle les suivit jusqu'à une autre pièce bien plus petite. Il l'invita à y entrer. Les trois hommes restèrent à l'extérieur. Dans la pièce, il y avait une chaise de type gynécologique et un bureau.
Une femme entra, la quarantaine passée, blouse blanche. Toutefois un détail frappa Mélanie, la femme était nue sous sa blouse, elle en était sûre. Il y a des choses qu'une femme voit tout de suite.
"Bonjour, Mélanie, je m'appelle Laetitia. Je suis gynécologue, et accessoirement esthéticienne. Je dois t'examiner, c'est la règle ici. Installe-toi sur le fauteuil là et pose tes chevilles sur les support.
- Mais... Je n'ai pas de problème !
- Ça, c'est à moi d'en juger. Et tu n'as pas ton mot à dire. Ce ne sera pas douloureux je te rassure.
- Pffff !
- Je te conseille vivement de changer d'attitude ou tu vas t'attirer des ennuis très rapidement."
Les ennuis, elle était en plein dedans. Ce n'était pas la première fois qu'elle faisait un examen gynécologique donc elle savait à quoi s'attendre, même si dans ce contexte, c'était un peu humiliant. Elle obéit toutefois, prenant son mal en patience. De fait, Laetitia fit son examen avec beaucoup de douceur et de précautions.
"Bon, dit cette dernière, rien à signaler, mais ici les filles ont les parties intimes rasées. Ce n'est pas pour faire joli, mais certaines y cachent des substances ou objets interdits. Cette disposition facilite les fouilles. Je te conseille d'y remédier au plus vite. À partir de demain, tu pourras être inspectée et si ce n'est pas conforme aux règles, tu seras punie, ce que je ne te souhaite pas. Tu peux te relever et attends que quelqu'un vienne te chercher."
Mélanie se releva sans inconfort, ce qui la surprit car normalement, il y avait toujours une petite gêne quand elle sortait d'un examen gynécologique. Cette femme connaissait son travail, c'était certain. Elle se retrouvait à nouveau seule dans cette pièce. Au bout d'une dizaine de minutes, une autre fille qui pouvait avoir l'âge de Mélanie entra. 
"Salut, je m'appelle Sophie, et je suis une pensionnaire, tout comme toi. J'ai été désignée pour te prendre en charge au sein de cette unité et t'y apprendre les règles. 
- Salut, moi, c'est Mélanie. C'est quoi, ces règles ? 
- Ne t' inquiètes pas, tu vas avoir le temps d'en prendre connaissance. Pour le moment, je te conduis à ta chambre, qui est aussi la mienne. Il faudra me supporter. Je ne suis pas chiante mais j'ai des exigences minimum. Allez, suis-moi. 
- Euuh, je peux te poser une question ? 
- Je t'écoute... 
- Toi aussi, tu es sans sous-vêtements ? 
- Comme toutes les pensionnaires dans cette aile du bâtiment, oui. C'est le règlement. L'exception sera quand tu auras tes règles. Tu auras alors le droit de porter une culotte de règle. Rien d'autre. Assez discuté, viens avec moi. On n'a pas trop de temps avant l'inspection. J'espère que tu es rasée ou épilée. 
- Euh, non... 
- OK, on va aller faire ça, alors, je vais t'aider, ça urge. 
- A ce point là ?!? 
- Si tu veux être punie dès le premier jour, tu peux toujours attendre. 
- C'est quoi les punitions ? 
- Tu tiens vraiment à le savoir ? 
- En tout cas tu as l'air de les redouter. 
- Pour y avoir goûté un certain nombre de fois, franchement ? Oui, je les redoute et je les évite autant que possible. Et ne t'inquiète pas trop, tu sauras bien assez vite de quoi il s'agit, alors ne demande plus. 
- D'accord, d'accord. Je te suis."

Elle arrivèrent dans la chambre, et c'était une grande chambre. Mélanie était encore étonnée d'avoir une telle chambre, même pour deux. Il y avait tout ce dont elle aurait besoin, y compris une salle de bain attenante. 
"Enlève ta jupe et allonge-toi sur le lit, je vais te raser. Dépêche-toi, on n'a qu'une petite heure."
Mélanie obéit sans protester. Elle n'avait pas envie de faire de vague dès son premier jour et surtout sans savoir ce qui l'attendait. Sophie avait des mains d'experte et les parties intimes de Mélanie furent bientôt aussi douces qu'une peau de bébé. Pas un poil ne restait. Étonnamment, elle avait plutôt trouvé ça agréable. Sophie s'en aperçut au sourire de la nouvelle arrivante.
"Hé ! Fit Sophie. Ne rêve pas, ma grande. C'est la seule fois où je te le fais. À partir de maintenant, tu te démerdes !
- Dommage, répondit Mélanie, car tu fais ça super bien ! 
- Ouais ben je ne suis pas ton esthéticienne, d'accord ? 
- Oui, d'accord. Bon, c'est quoi, ces règles ? 
- En deux mots ? Obéissance absolue. Tu fais ce qu'on te dit sans protester, sans râler. Au moindre écart, tu seras sévèrement punie et crois moi, tu le regretteras très très vite. D'ailleurs cela ne m'étonnerait pas que tu y goûte à titre préventif, histoire de te dissuader de faire des bêtises. Habille-toi, c'est l'heure, il faut qu'on y aille."
Mélanie remit sa jupe, ses chaussettes et les souliers vernis qu'on lui avait fourni. Sophie la réajusta un peu, histoire d'être impeccable. Elles sortirent de la chambre mais restèrent devant la porte fermée et attendaient. 
Ce ne fut pas long. Une sonnerie retentit suivi d'un message diffusé par haut parleur. 
"Votre attention, à tous les élèves, tenez-vous devant la porte de votre chambre, debout les mains sur la tête pour inspection. Tout manquement sera puni."
Au moins, c'était clair. Sophie obéit immédiatement, Mélanie la copia presque aussi vite. De mémoire, Mélanie n'avait jamais été aussi obéissante. Elle ne se reconnaissait pas, elle, la rebelle, la "je m'en foutiste". Pour la première fois de sa vie, elle arrivait à faire ce qu'on lui disait. 
Une femme arriva, son uniforme ne faisait pas de doute sur sa fonction de surveillante. 
"Sophie, tu sais comment ça se passe. Tourne toi et écartes les jambes."
Cette dernière obéit docilement. La surveillante releva la jupe de Sophie et contrôla qu'elle ne portait pas de culotte et qu'elle était parfaitement lisse. Elle passa sa main sur son sexe sans le pénétrer juste pour vérifier l'hygiène et qu'elle n'y cachait rien de suspect. Elle fit la même chose avec son anus. Tout était en ordre. 
"Parfait, dit la surveillante. Tiens ? Une nouvelle. Comment tu t'appelles ? 
- Mélanie, madame. 
- Tu semble polie, c'est bien. Comme tu es nouvelle, je vais t'expliquer. Tu vas te tourner et écarter tes jambes. Je vais juste vérifier que tu es bien lisse et que tu ne caches rien. Ne serres pas les fesses. On est d'accord ? 
- Oui, madame."
Mélanie s'exécuta. Elle s'attendait à quelque chose d'un peu brutal. Il n'en était rien. Et même si c'était un peu humiliant, ça aurait pu être pire. 
"C'est parfait, Mélanie. Si tu continues à obéir ainsi, ton séjour ici pourrait ne pas être trop désagréable. Tu peux te retourner. Reste les mains sur la tête jusqu'à la fin des inspections. 
- Oui, madame."
La surveillante passa à la chambre suivante et ainsi de suite. Au bout d'un long moment, le haut parleur retentit :
"Fin de l'inspection, nous vous félicitons, rien à signaler. Merci de votre coopération." Fin du message. Les deux filles rentrèrent dans leur chambre. 
"Bon, je t'explique, maintenant. Dans ton armoire, tu as la même tenue que tu portes en trois exemplaires. Fais attention à toujours être impeccable. La moindre tâche et tu seras punie. Si par mégarde tu te tâches, demande à aller te changer, c'est toujours accordé. Le nettoyage de tes tenues se font le mercredi. Quelqu'un passera les prendre et te les ramènera propres. Ensuite, tu vas devoir choisir une discipline d'étude, et oui, c'est obligatoire, ne cherches même pas à te défiler. La liste des possibilités sont là. Choisis-en une. Tu vas avoir un tuteur. Il sera en charge de t'aider dans tes études, mais il sera aussi en charge de la discipline. Ne le provoque pas, ne le chatouille pas, fais ce qu'il te demande, point. Si tu te comportes bien et que tu travailles, ton tuteur te récompensera et tu changeras peut-être même d'aile pour aller dans une aile à la discipline plus souple. Mais ça se mérite. Par contre, si tu déconnes, tu pourrais aller dans une aile où c'est encore plus dur. Vraiment, je ne te le souhaite pas. Concernant la durée de ton séjour, plus tu bosses et tu obtiens des résultats, moins longtemps ton séjour durera. Mais ne te fais pas d'illusions. Tu es ici pour une bonne année au moins. La suite dépendra de toi. Dans l'aile où on se trouve, il y a un couvre feu à vingt deux heures. Si on te trouve en dehors de ton lit après cette heure là, je te plains. Les repas sont entre midi et treize heures. C'est un self et on y mange vraiment bien, il y a du choix. Tu ne mourras pas de faim, crois-moi. L'activité physique est obligatoire mais là aussi tu peux choisir l'activité de ton choix et tu peux changer à tout moment. Tu auras une tenue pour le sport. La jupe, c'est pas pratique pour ça. Par contre, tu n'auras pas le droit de porter ta tenue de sport en dehors du sport. Autre chose : le réveil est à six heures trente, ce qui te laisse le temps de te préparer sans trop te presser. Le petit déjeuner est entre sept heures trente et huit heures. À huit heures trente précises, tu seras devant la porte de ta classe en rang les mains derrière le dos jusqu'à ce que le prof te dise de rentrer. En classe, tiens toi vraiment à carreau. Ça ne plaisante pas, les punitions tombent très vite. Voilà, tu as les grandes lignes. Si tu fais une bêtise, tu seras avertie une et une seule fois. Si tu récidives, ce sera la punition assurée. Tu es avertie. 
- OK, j'ai saisi à peu près tout ce que tu m'as dit, Sophie. Toutefois, tu ne m'as toujours pas dit en quoi consistaient les punitions. 
- D'accord, si tu veux vraiment savoir, je vais te le dire : il s'agit d'une ou plusieurs très bonne fessée sur tes fesses nues. Je te garantis que tu t'en souviens et que tu n'as pas envie de recommencer. 
- Hein ? Une fessée ? Ils n'ont pas le droit ! 
- Je vois que tu n'es pas au courant. Cet établissement bénéficie d'une juridiction d'exception. Ils ont tous les droits, bien au-delà de ce que tu imagines... Tu as déjà reçu la fessée ? 
- Nooon ! Jamais! Mes parents ne me l'ont jamais donnée ! 
- Mais tu sais ce que c'est, quand même ? 
- J'ai vu des photos, bien sûr. 
- Mais tu n'en as jamais vu en vrai... 
- Non, jamais. 
- Ça ne va pas durer. Malheureusement pour toi. Ça ne m'étonnerait pas que tu prennes ta première fessée avant le coucher du soleil. 
- Eh mais pourquoi ? J'ai rien fait de mal ! 
- Tu es ici. Ta seule présence ici mérite déjà une bonne fessée. 
- Mais c'est pas juste ! 
- Il y a plein d'autres choses que tu vas découvrir. Tu n'es pas au bout de tes surprises. Ton tuteur ne vas pas tarder à arriver. Fais profil bas et ne ramène pas ta grande bouche. 
- Ça, ça va être dur !"

Leur conversation fut coupé par des bruits secs et des pleurs non loin de là. Les filles se précipitèrent à la porte par curiosité. Dans le couloir, il y avait une scène qui paraissait surréaliste à Mélanie. Une fille était tenue sous le bras d'un homme qui l'a fessait sévèrement. La fille pleurait toutes les larmes de son corps suppliant son fesseur d'arrêter tandis que ses fesses arboraient déjà un rouge vif. Mais celui-ci continuait malgré les cris et les demandes de pardon, les promesses d'être sage. Et puis tout s'arrêta d'un seul coup. L'homme reposa la jeune fille parterre et la prit dans ses bras. Celle-ci promis qu'elle ne recommencerait plus. L'homme la serra dans ses bras pour la consoler. La punition était terminée et tout était pardonné.
Mélanie courra jusqu'à son lit, s'y allongea sur le ventre et s'effondra en larmes. Sophie la rejoignit pour la consoler. 
"La punition est là pour nous rappeler qu'il y a des règles à suivre. Si elle a été punie, c'est que c'était justifié. Depuis que je suis ici, je n'ai jamais vu quelqu'un être puni à tort. 
- Ça fait longtemps que tu es là ? Demanda Mélanie entre deux sanglots. 
- Je ne suis pas un ange, alors oui, ça fait un certain temps, je dirais même un temps certain. Mais j'ai réussi à trouver ma place, et depuis quelques mois, ça va beaucoup mieux. Si je ne déconne pas, je devrais passer à l'aile sud dans un mois. C'est le meilleur endroit dans cet établissement. On est beaucoup moins surveillées et plus autonomes. Si tu te conduis bien, tu pourrais y passer rapidement. Comme je t'ai dit, beaucoup de choses dépendent de toi. Le pire, c'est l'aile nord. Les filles sont nues à longueur de journée et sont accompagnées par leur tuteur en permanence. Elles dorment dans la même pièce qu'eux. Elles n'ont plus aucune intimité ni marge de manœuvre. Mais les pensionnaires dans l'aile nord ne sont pas nombreuses. Je crois qu'il n'y en a que six en ce moment. Personne n'a le droit de les approcher. L'aile dispose d'un dispositif de sécurité digne de Guantanamo. Rien ne sort. Personne ne sait ce qu'il s'y passe. Les filles qui passent de l'aile nord à une autre aile n'ont pas le droit d'en parler sous peine d'y retourner. Crois moi, aucune fille n'a envie d'aller à l'aile nord. 
- Ouah ! On les torture ? On les viole ? 
- Non, je ne pense pas. Par contre, elles sont particulièrement tenues. Les règles y sont différentes d'ici, beaucoup plus dure. 
- Je vais éviter d'y aller, hein ? 
- Sage décision. Lève toi et refais toi un brin de toilette, tu es horrible quand tu as pleuré. 
- Désolée... 
- Ce n'est pas grave, c'est ton premier jour. Il va falloir que tu t'adaptes... "
Mélanie suivit le conseil de Sophie et se refit une beauté à la salle de bain. Sophie lui prêta ses affaires pour l'aider. 
Quelqu'un frappa à la porte. Sophie alla ouvrir. 
"Bonjour, je m'appelle David, Mélanie, c'est ça ? 
- Ah non, moi, c'est Sophie. Mélanie est à la salle de bain, je l'appelle. 
- Merci."
Elle alla chercher Mélanie dans la salle de bain. 
"Je crois que c'est ton tuteur, et j'en ferais bien mon quatre heures ! 
- Mais ça va pas, non ? 
- Rhooo, on peut bien rêver, les garçons, ça court pas les rues, ici ! 
- Chhht, tais-toi !" 
Mélanie sortit et vit David. C'est vrai que ce serait sympa de l'avoir dans son lit. 
"Bonjour, je suis Mélanie... 
- Je suis David et ton tuteur à partir de maintenant. Suis-moi."

Suite au prochain épisode... 


Commentaires

  1. Ça ressemble beaucoup à l'internat de mon lycée seulement il n'y avait que des pionnes pour les filles et des pions chez les garçons. On planquait des trucs dans le soutien gorge et les faux plafonds aussi 😉

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