Histoire fictive : une fille très spéciale 27

Episode 27 : une petite fête entre amis.

Franck Latour et Luc Renan se connaissaient depuis des années mais pas de façon intime. Étant donné que Lisa et Nathalie travaillaient pour le tribunal, Luc eut la bonne idée de proposer un repas chez lui en invitant Franck et Valérie, la petite nouvelle, Lisa et Nathalie seraient là aussi bien sûr. Il proposa un dimanche midi. On était encore dans les beaux jours dans la région même si théoriquement on était en automne. Les couleurs pastel de la végétation donnait une atmosphère féerique au paysage qui entouraient la maison du trio. Un barbecue serait tout à fait approprié.

Toutes les courses avaient été faites pour ce moment de convivialité. Luc avait pris soin de faire les choses soigneusement et les deux filles l'avaient aidé avec enthousiasme. Ils ne manqueraient pas de victuailles et le repas pourrait se révéler gargantuesque.

Le dimanche arriva avec un soleil radieux projetant des rayons déjà chauds alors qu'il n'était que onze heures du matin. Luc s'habilla très décontracté en tee-shirt et un pantalon léger. Lisa et Nathalie choisirent une petite robe d'été dans les tons qui correspondaient à la saison. Dessous cette robe, Lisa avait choisi de ne pas porter de culotte, craignant d'avoir trop chaud. Nathalie, quant à elle portait une petite culotte couleur chair discrète.

Valérie fut la première à arriver ce matin là. Elle fut accueilli avec joie par Lisa et Nathalie. Luc fut enchanté de la connaître car il ne l'avait encore jamais rencontrée. C'était un joli brin de fille, bien proportionnée, à peine plus grande que Lisa. Avec ses vingt quatre ans, elle faisait pourtant plus mâture que Lisa qui était une éternelle adolescente. Valérie avait, elle aussi choisi une tenue légère avec une robe d'été particulièrement courte du plus bel effet. Il n'y avait pas besoin qu'elle se penche beaucoup pour découvrir le galbe de ses fesses recouvert d'une culotte blanche.

Enfin Franck arriva avec des bouteilles et les gâteaux d'apero. Même si Luc lui avait dit de ne rien emmener, il avait horreur d'arriver les mains vides. Nathalie, en employée modèle le débarassa de ses présents et les posa sur une table non loin de là. Luc avait déjà commencé à allumer le barbecue pour qu'il soit prêt à temps. Après avoir salué chaleureusement les filles, Franck vint prêter main forte à Luc. Les filles commencèrent à discuter ensemble tout en préparant les apéritifs. Chacun semblait à l'aise et l'ambiance était détendue. Lisa et Nathalie souhaitaient en apprendre plus sur Valérie. En dehors des relations de travail, elles n'avaient pas eu l'occasion d'approfondir la connaissance de cette dernière. Valérie était une employée consciencieuse et une étudiante appliquée. Du coup, Lisa n'avait pas eu l'occasion de voir ses fesses rougir, du moins, jusqu'à présent. Elle ne savait même pas si Valérie avait déjà reçu une fessée. Si elle habitait au village, c'est que forcément, elle avait un rapport avec la fessée, le tout était de savoir lequel. Au bout d'un moment de discussion, c'est Nathalie qui lui posa la question subtilement :

"Comment tu es arrivée dans le village, finalement ?

- J'étais avec un homme qui pratiquait la fessée disciplinaire avec d'autres filles, mais il ne l'a jamais fait avec moi, car il ne voulait pas tout mélanger. Les seules fessées que j'ai pu recevoir étaient plus des caresses que de vraies fessées. Au bout d'un certain temps, nous nous sommes séparés. Il est parti, mais j'ai pu conserver le droit de rester à condition de servir la communauté. Le travail au tribunal est une véritable aubaine pour moi. J'adore cet endroit et je ferai tout pour y rester.

- Et cela fait longtemps que vous êtes séparés ? demanda Lisa.

- Ça fait quelques mois. Il est parti du village, il est remonté sur Paris. Je ne regrette pas ce que j'ai vécu avec lui mais je suis passée à autre chose...

- Ah? Tu as un amoureux ?

- Noooon ! Pas encore !" Elle se mit à rire. 

" Ooops ! Désolée, dit Nathalie confuse.

- Mais non, il n'y a pas de mal, ne t'inquiète pas."

Les filles continuèrent à discuter quand Franck suggéra de passer à l'apéritif. Les filles se chargèrent du service. Lisa apporta un verre à Luc tandis que Valérie s'empressa de porter le sien à son patron.

"Monsieur le juge, lui dit-elle en lui tendant son verre.

- Valérie, nous ne sommes pas au tribunal, appelez-moi Franck. J'ai beau être jugé, je n'en reste pas moins un homme, un être humain avec ses qualités et ses faiblesses...

- Oui, monsieur le juge, pardon, Franck.

- C'est mieux, rit-il. A votre santé et bravo pour votre travail. Lisa ne tarit pas d'éloges sur vous.

- Ah bon ? Elle ne me l'a jamais dit, sourit-elle.

- Elle vous apprécie beaucoup et Nathalie aussi. Elle dit que vous l'aidez énormément.

- J'essaie juste de faire mon travail, mon... Franck.

- Ça va venir, ne vous en faites pas. Et votre travail, vous le faites bien. Vous rendez service à tout le tribunal. Continuez comme ça et vous allez évoluer très vite. Comment se passent vos études ?

- C'est dur, mais je m'accroche.

- Lisa est votre mentor, n'est ce pas ?

- Oui, et elle est exigeante ! J'ai parfois du mal à la suivre.

- Je la reconnais bien là. Bon, si vous avez des difficultés, n'hésitez pas à venir m'en parler. Vous avez choisi une option déjà ?

- Ben j'opterais bien pour être procureur. Notre tribunal en aurait bien besoin.

- Pensez à ce que vous souhaitez vous. Si vous répondez à un besoin, tant mieux mais pensez à vous d'abord. Faites ce que vous aimez.

- Alors oui, ce sera procureur car je veux venir en aide à la communauté, me rendre utile pour une justice plus équitable.

- Vous me plaisez beaucoup, vous avez des valeurs, et c'est important.

- Je suis touchée. Valérie rougissait.

- On dirait que vous avez honte.

- Je crois en des choses qui ne correspondent pas à la plupart des gens de mon âge, j'ai dû composer une grande partie de ma vie avec ça. J'ai dû faire semblant. Aujourd'hui je peux les exprimer sans me faire moquer ou même juger. Je peux être moi-même.

- Mais malgré ces moqueries, vous avez quand même continué à y croire.

- Oui, car je voyais le mal que ça pouvait faire de ne pas les respecter chez les autres.

- Décidément, vous me plaisez, Valérie."

La jeune femme ne savait pas trop où se mettre tellement la chaleur envahissait son corps. De son côté, Valérie ne laissait pas Franck indifférent. Il continuait à discuter avec elle et il la trouvait drôle, cultivée et attachante, sensible. Ils riaient tous les deux de bon cœur. Ça faisait longtemps qu'il n'avait pas ri comme ça, et cela lui faisait un bien fou.

Tout ce petit monde commencèrent à manger de bon cœur et dans une ambiance joyeuse. Luc avait vu les choses en grand et il y avait de quoi manger pour un régiment d'opérations spéciales ! Ils se régalaient entre les entrecôtes, les merguez et la ventrèche. Lisa posa une question à Valérie :

"Alors, c'est vrai, tu n'as jamais pris de vraies fessées ?"

Valérie baissa la tête, faussement honteuse, et fit non de la tête. 

"C'est que tu es super sage, alors ?" continua Lisa.

Valérie, toujours la tête baissée, cachant un grand sourire, fit encore non. 

"Comment ça ? Tu ne m'as pas l'air chipie, pourtant..."

Et là, Valérie fit un grand oui de la tête, elle était hilare. 

"Vous ne me connaissez pas encore en privé, madame le juge.

- Ici et entre nous, c'est Lisa. Et je ne te pensais pas comme ça, tu es tellement parfaite au boulot et même dans tes études...

- C'est que...quand vous m'avez embauchée, vous m'avez menacé de passer sur vos genoux si je n'obéissais pas, alors... Je fais attention. Et je fais de mon mieux.

- Tu en as si peur que ça ?

- Oh oui, j'en ai une trouille monstre, une peur panique...

- Alors il ne faut pas, dit Nathalie. Bon, c'est vrai, ça fait mal, enfin, ça brûle, quoi. Mais il n'y a pas que la douleur...

- Qu'est ce que vous voulez dire ?

- Tu sais, répondit Lisa, c'est comme faire l'amour, tu comprendras quand tu auras essayé !

- Ah non, vous n'êtes pas mes parents, s'insurgea Valérie, ou vous en avez trop dit ou pas assez !

- D'accord, viens un peu par ici !"

Lisa prit la main de Valérie et la tira un peu à l'écart dans un coin plus discret, suivie de Nathalie. Elle souleva la robe très courte de la jeune femme et lui colla deux fortes claques sur sa culotte.

"Aaaïeuuh ! Fit Valérie.

- Alors, ça fait quoi ? Demanda Nathalie.

- Ben ça fait mal, tiens !

- D'accord et quoi d'autre ?"

Valérie, à cette question, essaya de ressentir tout son corps pour voir ce que ça lui faisait. C'était étrange. Certes, elle avait les fesses qui picotaient un peu, ce n'était que deux claques, et ça lui chauffait les fesses, mais pas que. Cette chaleur se répandait aussi dans son bas ventre et cela lui créait un tout début d'excitation.

"Et ça fait toujours ça ? Demanda-t-elle aux deux autres filles.

- Pas chez tout le monde, répondit Nathalie, mais oui, pour la majorité des gens. Et hormis pour les fessées très sévères, oui, cela crée une véritable excitation sexuelle. La honte, qui fait partie de la punition, est précisément le fait que tu ressens cela. Et que celui qui te fesse peut s'en apercevoir.

- Chez moi, dit Lisa, c'est pire, la fessée me fait systématiquement jouir malgré moi.

- Oh mon Dieu, dit Valérie. Quelle horreur !

- Ah ben non, moi, j'aime ça.

- Tu aimes être fessée ?

- Tu n'imagines même pas à quel point, répondit Nathalie.

- Il va me falloir un peu de temps pour assimiler ça !

- On est tous passé par ce que tu ressens... Prends le temps d'y réfléchir."

Les filles rejoignirent les deux hommes. À la vue de Valérie, Franck afficha un grand sourire. Il faut dire que depuis l'accident terrible qui avait enlevé sa femme à la vie, Franck ne se sentait plus d'avoir une nouvelle relation. C'était la première fois qu'il se sentait vraiment à l'aise près d'une femme. Valérie, après ces deux claques sur ses fesses était troublée. C'est vrai que ça faisait un peu mal sur le coup mais après cela lui avait engendré une sorte de frustration, et même une envie. Elle passa machinalement une main sur ses fesses. La sensation n'était pas désagréable. Un mélange de douleur, de chaleur et de plaisir. C'était pas normal. Ça bousculait ses certitudes. Elle courra vers les filles, elle attrapa Lisa par le bras :

"Venez par là !" et elle tira Lisa à l'écart. Elle lui mit deux claques aussi fortes qu'elle put sur les fesses de sa patronne. 

"Vous ressentez quoi, là ? Demanda Valérie.

- Deux bonnes claques sur mes fesses, et une excitation, comme d'habitude. 

- Et ? 

- Tu peux m'en mettre d'autres, si tu veux, dit Lisa en riant. 

- Voilà ! C'est ça, mon problème, maintenant ! J'en veux plus ! C'est pas normal ! Je me sens frustrée et je suis comme un lion en cage ! C'est de votre faute ! 

- Eh ! Eh! Eh! C'est toi qui voulais savoir, hein ? Maintenant, tu sais ! 

- Pardon, dit Valérie sur la défensive, c'est vrai. J'ai joué avec le feu et je me suis brûlée. Mais je fais quoi, maintenant ? 

- Si je te le dis, tu vas hurler ! 

- Au point où j'en suis... J'ai déjà envie de hurler ! 

- D'accord, tu as besoin de découvrir tes envies avec la bonne personne. Tu as besoin d'une bonne fessée et je ne suis pas qualifiée pour te la donner. Mais je connais quelqu'un qui te permettra de réaliser tes envies en sécurité. 

- Nathalie ? 

- Non, pas...exactement... Il te faut quelqu'un de confiance... Je pensais à quelqu'un qui n'a des yeux que pour toi aujourd'hui. J'ai vu comment ils brillaient quand tu discutais avec lui.

- Le juge ? Franck ? Oh mon Dieu, j'aurais trop honte ! 

- C'est possible, mais cela fait partie de ce que tu recherches, n'est ce pas ? 

- Je...je...peut-être, oh bordel ! J'en sais rien ! C'est trop bizarre ce que je ressens... 

- As-tu envie de recevoir une vraie fessée ? 

- Pffff ! Oui! 

- Mais tu veux pouvoir le faire progressivement... 

- Oui, si possible... 

- Pas comme une punition, comme une libération. 

- Que voulez-vous dire ? 

- Arrête de me vouvoyer, déjà, pour commencer. Sinon je vais aussi te donner une fessée et elle sera punitive celle-là ! 

- Oooooh mais....! 

- Je vois ! Donc c'est bien ça que tu cherches en fait ! Une punition ! Oooh mais je commence à comprendre ! Tu n'as jamais été punie de ta vie car tu as vraiment tout fait pour l'éviter et les deux claques que je t'ai mise tout à l'heure t'ont fait découvrir ce que c'est que d'être punie... 

- Oooh mon Dieu ! Mais qu'est-ce qui m'arrive ? "

La réponse fut rapide et inattendue, Lisa s'assit sur une chaise de jardin qui traînait par là, tira Valérie par le bras et la pencha sur ses genoux. Elle la déculotta en moins de temps qu'il faut pour le dire et commença à la fesser fermement mais pas trop fort non plus. Valérie fut surprise par les premières claques mais la douleur était supportable. La chaleur commençait à brûler ses fesses et les larmes commençaient à envahir ses yeux. D'un autre côté elle sentait aussi l'excitation monter entre ses jambes, la dualité de ses sensations la perturbait. Lisa comprit ce qu'il se passait et arrêta la fessée assez vite, elle remonta la culotte de Valérie dont les fesses avait bien rougi. Puis elle la fit se relever et la prit dans ses bras. Valérie se laissa aller à pleurer. Au bout de quelques minutes, elle s'était calmée et étrangement elle se sentait apaisée. 

"Comment te sens-tu ? Lui demanda Lisa. 

- Étrange...je ne saurais décrire, c'est comme si on avait appuyé sur un bouton off puis on. Ça fait mal mais ça fait du bien aussi. C'est bizarre... Mais je dois dire que ça m'a plu. Merci... 

- Bienvenue dans notre petit monde, Valérie. 

- Merci de me l'avoir fait découvrir, et tu es tout à fait qualifiée pour donner une bonne fessée ! 

- Tu n'as pas encore goûté à celles de Luc ou de Franck."

Elles rirent de bon cœur. 

"Ça va ? On peut rejoindre les autres ? 

- Oui, dit Valérie en se frottant les fesses. Tu m'as pas raté, quand même ! 

- Tu en garderas un bon souvenir et très bientôt, tu en redemanderas... 

- Tu crois vraiment ? 

- Fais-moi confiance. Je te donne quarante huit heures avant que tu trouves le moyen de reprendre une fessée ! 

- Maiiiis! "

Elle rirent de plus belle en rejoignant les autres. Valérie s'approcha de Franck avec un verre. Celui-ci remarqua un léger changement chez la jeune femme mais n'aurait pas su dire quoi. 

La journée touchait à sa fin et ce fut un merveilleux moment pour chacun. Ils avaient appris à mieux se connaître les uns les autres. Avant de partir, Franck osa quelque chose qu'il n'aurait jamais fait avant, il demanda à Valérie si elle voulait passer une partie de la soirée chez lui, juste entre amis. Elle rougit comme une tomate avant d'accepter. C'est ainsi qu'ils partirent ensemble après avoir salué leurs hôtes. 

"Pfioou ! Ce fut une bonne journée, dit Nathalie. 

- Oui, plus que ce que à quoi je m'attendais ! Dit Lisa. 

- J'ai apprécié de mieux connaître Franck. C'est un type bien. 

- Je suis d'accord, répondit Lisa. 

- Vous avez vu le kiff qu'il a pour Valérie ? Demanda Nathalie. 

- Oh ben on voyait que ça, s'exclama Lisa. 

- Vous ne pensez quand même pas..." Dit Luc. 

Les deux filles se regardèrent et pouffèrent de rire avant de s'éclipser toutes les deux dans la maison, laissant Luc avec ses interrogations. 

A suivre...