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Histoire fictive : une fille très spéciale 28

Episode 28 : nouvelles relations...

Valérie avait passé une superbe journée. Elle était heureuse d'avoir pu connaître un peu mieux ses propres collègues et aussi Luc. Elle avait goûté aussi à ces sensations étranges d'une vraie fessée. Et en ce moment même, elle était invitée chez Franck dont elle avait remarqué son intérêt pour elle. Il était très différent dans le civil. Il devait avoir à peu près quarante cinq ans et était encore bel homme. Et pourtant, il y avait une infinie tristesse en lui, mais elle n'en connaissait pas la raison.

Franck aussi avait passé une très bonne journée. D'abord, ça lui avait fait plaisir de passer du temps avec Luc. Ils se connaissaient depuis longtemps mais c'était une relation quasi professionnelle. Aujourd'hui, il avait découvert un peu plus l'homme qu'il était. Lisa et Nathalie étaient vraiment adorables et ça l'avait touché d'être invité et de pouvoir les découvrir dans un autre contexte. Et puis, il y avait Valérie. Au bureau, elle était discrète, d'autant qu'attachée au service de Lisa, donc il ne l'avait presque pas vue. C'était une vraie découverte, pour lui, cette fille. Elle était drôle, attachante, intelligente au possible, à l'écoute, il ne lui voyait que des qualités. Il avait passé pas mal de temps avec elle, aujourd'hui, et elle lui avait apporté une énorme bouffée d'oxygène, ça l'avait rajeuni de dix ans. Il en avait oublié sa propre tristesse, sa dépression permanente, et le fait qu'il se sentait aigri et blasé. Cette fille pourrait-elle être un espoir, pour lui ? En posant cette question, en homme juste qu'il était, il était obligé aussi de se poser le corollaire : que pourrait-il lui apporter ?

"Qu'attendez-vous de la vie, Valérie ? Lui demanda-a-t-il alors qu'il lui ouvrait la porte de sa maison.

- Je n'en attends rien. Je la vis, c'est tout. Je prends ce qu'elle veut bien m'offrir, son lot de malheur et ses petits moments de bonheur. Je ne fais pas de distinction, je me dis que je n'ai qu'une vie, et que chaque instant est unique, alors je les vis aussi pleinement et de manière aussi ouverte d'esprit que possible.

- Pfiou ! Je ne pourrais pas dire mieux. Et je n'ai, hélas pas cette capacité.

- Pourquoi ? Qu'est-ce qui vous en empêche ?

- Le décès de ma femme a changé beaucoup de choses en moi.

- Écoutez, pardon si je suis brutale, mais vous ne ramènerez pas votre femme en occultant tout ce qui pourrait vous faire du bien. Et si elle vous regarde, vous croyez que c'est comme ça qu'elle aurait voulu que vous viviez ? Je vous ai un peu observé. Vous êtes un homme taciturne et aigri. Je dirais même que cela influe sur les décisions de justice que vous pouvez prendre. Vous vous vengez d'une vie qui n'était pas la vôtre...

- Valérie! S'écria-a-t-il.

- Pardon, Franck. Je n'aurais pas dû vous dire ça. Je suis désolée, j'ai tendance à trop dire ce que je pense. Je vais partir.

- Non, non, restez... S'il vous plaît... C'est juste que vous appuyez là où ça fait mal. Personne ne l'avait fait avant vous...

- Je... Je suis désolée... Dit Valérie. Je n'aurais pas dû.

- Venez vous asseoir près de moi... S'il vous plaît... "

Valérie obéit à l'invitation de Franck. Il vint poser sa tête contre son épaule. Quoiqu'elle fut surprise, elle le laissa faire. 

"Vous me faites du bien. C'est la première fois, depuis qu'elle est partie que je pose ma tête sur l'épaule de quelqu'un, a fortiori, d'une autre femme, vous savez ?

- Je suis désolée de vous avoir fait mal.

- Non, il se redressa, vous m'avez rappelé que j'avais aussi une vie sans elle. Jusque là, je ne l'avais pas envisagé, je ne faisais que vivre dans le souvenir d'elle. Je dois passer à autre chose. Cet après midi, avec vous m'a fait comprendre qu'il fallait que je tourne enfin la page, et vous m'y aidez.

- Moi ? Fit-elle étonnée.

- Oui. Vous êtes très différente d'elle et c'est tant mieux. Mais je ressens quelque chose pour vous, vous m'avez attiré, vous m'avez touché, vous m'avez fait rire. Ça ne m'était pas arrivé depuis son décès.

- Ooooh ! Je ne sais pas quoi dire... Sauf que j'aime ce que vous êtes et ce que vous faites pour les autres. Vous êtes un homme profondément juste et généreux. Ce que vous avez fait pour Nathalie, pour Lisa... C'est inestimable.

- Ma femme était comme ça, toujours à aider les autres. J'essaie de perpétuer sa volonté.

- Vous ne le feriez pas si vous même n'étiez pas comme ça. Votre femme...c'est juste un prétexte.

- Peut-être... "

A son tour, elle se blottit contre le torse de l'homme. Il ressentit alors quelque chose qu'il n'avait pas ressenti depuis très longtemps. Il l'entoura de ses bras et la serra avec beaucoup de tendresse. Elle relèva la tête et ils se regardèrent un long moment.

"Vous... Vous... Non, oubliez, je ne sais plus ce que je fais, dit Valérie.

- Laissez-vous aller...

- Pfiou, c'est pas si facile... Vous me perturbez... Vous me troublez.

- Comme vous voulez.

- D'accord, mais vous allez dire que je suis folle ! Vous me donneriez une fessée ?

- Pourquoi ? Fit-il surpris.

- Parce que je suis en train de vriller, j'ai besoin de relâcher mes émotions ou je vais péter un câble... J'ai besoin d'y voir clair. "

Franck fit alors une chose qui le surprit lui-même, il embrassa fougueusement la jeune femme. Valérie fut tout autant surprise des sensations qu'elle ressentait. Il lui semblait clair qu'elle désirait Franck et son baiser avait fait naître des papillons dans son bas ventre. Elle se laissa complètement aller à ce baiser. A la fin de ce baiser, Franck la bascula sur ses genoux, lui releva sa robe et lui baissa sa culotte déjà tâchée de son propre désir. Il prit le temps de lui caresser les fesses qu'il trouvait magnifiques. Puis, il commença une fessée lente et modérée en intensité. Valérie sentit le picotement des claques dès les premières. C'était une autre sensation que la fessée de Lisa. C'était plus intense et si ça faisait mal, ça l'excitait aussi. Franck accéléra le rythme et fessait plus fort. La chaleur des fesses de la jeune femme montait en flèche jusqu'à ce que ça commence à brûler. Ça commençait à faire vraiment mal et les larmes montèrent aux yeux de Valérie. Elle mit sa main droite en protection de ses fesses par réflexe mais Franck lui prit avec beaucoup de tendresse pour la ramener dans son dos avant de reprendre la fessée de plus belle. Valérie craqua et éclata en sanglots. Franck continua jusqu'à ce qu'elle pleure à chaudes larmes, vidant ses émotions et son stress. Alors il arrêta tout et caressa les fesses rouges de la jeune femme qui s'était abandonnée totalement sur ses genoux. Une fois un peu calmée, il l'aida à se redresser et il la prit dans ses bras. Valérie se laissa aller à pleurer contre son torse. Cela lui faisait un bien fou. Ses fesses la brûlaient toujours mais cette sensation n'était pas aussi désagréable qu'elle ne l'imaginait. Elle se rendait compte que cette fessée lui avait fait un bien fou. Elle pleurait de plus belle, mais c'était des larmes de libération, de joie. Enfin, elle était vraiment bien dans les bras d'un homme. Franck attendit sagement qu'elle se calme enfin. Il continuait à la serrer dans ses bras. Il l'a cajolait et il aimait ça. 

"C'est très étrange, dit-elle en sanglotant encore un peu, je ne vous imaginais pas une telle douceur... 

- Vous voudriez qu'on se tutoie, demanda-a-t-il. 

- Si vous voulez. Après tout, vous m'avez embrassé et vous avez vu mes fesses, alors... Sourit-elle. 

- D'accord. Je vais t'avouer quelque chose : c'est la première fois que ça m'émeut de fesser une fille. Même avec ma femme avec qui nous pratiquions la discipline domestique, cela ne m'émouvait pas autant. 

- Qu'est-ce que cela t'a fait ? 

- Je ne saurais décrire exactement, c'est un peu confus mais ce n'était pas comme si je t'avais punie, il y avait autre chose, comme si je te libérais de tes chaînes. 

- C'est exactement ce que tu as fait. Je n'ai jamais été fessée aussi fort, tu sais. C'est la première fois. Mais je ne regrette pas de te l'avoir demandé. 

- Ça va ? Tu n'as pas trop mal ? 

- Je vais te surprendre. Si, ça brûle mais j'aime cette sensation. Comme si j'en avais besoin... 

- Moi aussi je vais te dire un truc : je me sens bien près de toi. J'ai envie de te demander si tu ne voudrais pas rester cette nuit. 

- Moi aussi je me sens bien, mais je ne cherche pas une aventure d'un soir... Alors... Si c'est vraiment pour essayer de vivre quelque chose sur un terme long, je suis partante pour au moins essayer. 

- Je ne sais pas ce que deviendra notre relation, je ne peux rien te promettre mais moi non plus, je ne cherche pas l'aventure d'un soir. Je comprendrais si tu ne voulais pas. Je ressens quelque chose que je n'avais jamais ressenti avec quelqu'un...même avec ma femme. Il y a quelque chose de spécial, de puissant en toi. Je n'ai pas envie de passer à côté de ce qui pourrait être une très belle histoire..."

Pour toute réponse, elle l'embrassa. Elle lui prit sa main droite et la posa doucement sur sa poitrine, puis elle commença à enlever sa robe. Elle se retrouvait donc juste avec sa culotte. Elle avait une poitrine moyenne mais ferme et elle refusait de porter le moindre soutien gorge. Franck prit le temps de parcourir les formes de la jeune femme de ses mains avec beaucoup de douceur et de tendresse. Elle s'étendit sur le canapé pour permettre à Franck d'accéder à l'ensemble de son corps. Le mélange des caresses et de la brûlure de ses fesses l'excitait. Elle écarta légèrement ses jambes comme une invitation à aller plus loin. Franck comprit le message lorsque Valérie accompagna la main de l'homme jusqu'à son pubis par dessus sa culotte. Il s'apprêtait a passer sa main dessous quand Valérie lui fit comprendre qu'elle préférait par dessus. Alors il descendit sa main sur le tissu pour arriver sur le sexe de la jeune femme et commença à la caresser à cet endroit. Le corps de la jeune fille se raidit de plaisir et sa culotte devint toute mouillée. Franck continua avec une infinie douceur à masser cette zone si sensible. Valérie sentit arriver cette vague de plaisir si intense et elle jouit intensément, mouillant encore un peu plus sa culotte. Une fois l'orgasme retombé, il continua à caresser le reste de son corps satisfait et apaisé. Elle lui dit, encore un peu ailleurs :

"C'est...c'est la première fois.... 

- C'est la première fois quoi ? 

- C'est la première fois que j'ai un vrai orgasme. J'en n'avais jamais eu avant. Je pouvais en être proche, ce qui n'était pas désagréable mais au final, je n'arrivais jamais à me libérer. Tu es le premier qui me fait jouir ainsi. C'est... Troublant et merveilleux, je me sens tellement apaisée, tellement bien... J'ai envie de faire l'amour avec toi, si tu veux bien... "

Il la prit par la main et l'emmena dans sa chambre et là il firent l'amour. Franck avait l'impression de revivre ses premières fois, lui aussi. Et une fois encore, Valérie atteingnit l'orgasme, un orgasme encore plus intense que le précédent. Elle avait encore envie, Franck aussi, alors ils recommencèrent encore et encore et ainsi toute une partie de la nuit, avant de s'endormir, épuisés. Ils se moquaient des conséquences de leur relation, ils ne vivaient que l'instant présent, et il était magique. 

A suivre... 


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  Préambule  : Ce récit est une pure fiction. Il ne saurait représenter ni mon vécu, ni mes fantasmes. C'est plutôt un exercice, un délire, parfois mené par mes côtés les plus sombres et les idées les plus noires. Il y aura de la fessée, bien sûr mais aussi du sexe et des pratiques plus déviantes et perverses. Toutefois mes personnages seront toujours majeurs et consentants dans leurs pratiques, c'est une ligne de conduite que j'ai adoptée depuis le début et je m'y tiens car c'est aussi ma ligne de conduite dans la vie réelle. Ce récit pourra choquer ou donner envie, je m'en moque, mais si vous le lisez, ne venez pas vous plaindre car vous êtes averti. Vos commentaires seront toutefois la bienvenue.  Évidemment, toute ressemblance avec des personnes ou des événements réels ne seraient que pure et triste coïncidence... Quoique triste... Ça reste à voir...  Ces précautions oratoires étant prises, me voilà donc parti à vous raconter l'histoire d'un jeune fi...

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