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Histoire fictive : une fille très spéciale 29

Episode 29 : et maintenant...

Cela faisait plusieurs jours que Franck et Valérie se voyaient de manière régulière. Ils ne vivaient pas encore ensemble mais c'était tout comme car hormis le temps passé au bureau, ils étaient tout le temps fourrés l'un chez l'autre. Ils se sentaient revivre, l'un et l'autre. Ils vivaient leur amour comme n'importe quel couplé, de manière assez classique. Mais l'un et l'autre sentaient bien qu'il manquait un ingrédient essentiel dans leur relation. Quelque chose dont les deux amoureux avaient besoin. Ce soir là, ils décidèrent d'en parler et c'est Valérie, avec son franc parler habituel, qui entama la discussion :

"Tu me combles, Franck, pour la première fois de ma vie, je me sens heureuse. Pourtant, il me manque quelque chose.

- Que te manque-t-il ? Demanda Franck.

- Il y a longtemps que tu ne m'as pas donné de fessée...

- C'est vrai, tu le mérites pas. Tu me combles aussi et je suis heureux avec toi. Je suis sûr un petit nuage.

- Oui, malgré tout, je ne suis pas parfaite. Je fais des bêtises.

- Ce ne sont pas vraiment des bêtises, ce sont plus des maladresses, rien d'anormal ou de vraiment répréhensible.

- Oui, c'est vrai... " Et cette discussion s'arrêta là pour le moment. Cela ne satisfaisait pas Valérie. Le lendemain, elle décida d'en parler avec Lisa.

"Tu reçois la fessée régulièrement, avec Luc ? Demanda-a-t-elle.

- Oui, j'en ai besoin pour éviter de faire des bêtises ou pour évacuer mes émotions, ou simplement par plaisir car j'aime ça.

- Comment vous fonctionnez ?

- Tu sais ce que c'est, la discipline domestique ?

- Juste entendu parler, mais aucune idée de comment ça fonctionne.

- En fait, c'est assez simple, je t'explique : tu établis des règles avec ton conjoint et si tu enfreins une règle, tu es punie. La punition est à décider ensemble lors de l'établissement des règles.

- Oui mais quoi comme règles ?

- Ben ça, ça dépend de vous. Y-a-t-il des choses qu'il te reproche ou des choses que toi tu aimerais corriger chez toi ?

- Je ne sais pas, je n'y ai jamais réfléchi, en fait...

- Commence par ça."

Valérie réfléchit à ce que venait de dire Lisa. Il y avait une question préalable : pourquoi cherchait-elle à être fessée? Dire que c'est parce qu'elle aime ça serait faux et réducteur. Elle craignait la fessée punitive. D'un autre côté, c'est précisément cette crainte, cette appréhension qui l'excitait. La fessée elle-même l'excitait aussi malgré la douleur, et cette brûlure après, ce sentiment d'avoir été punie comme une gamine provoquaient en elle un bien-être qu'elle ne comprenait pas. Entre deux affaires, Lisa lui dit :

"Il faut que tu cherches un point sensible, chez toi. Je suis sûre que tu as un fantasme ou un truc dont tu aurais envie mais tu as trop honte de le réaliser. Chez certaines personnes, cela peut-être de se déshabiller en public, chez d'autres ça peut-être de faire l'amour dans un ascenseur, enfin bref, il y en a autant que de personnes... Tu as le ou les tiens. Appuies-toi sur ça."

Valérie était perturbée par ce que lui avait dit Lisa. Oui, elle avait un fantasme, mais elle avait trop honte pour le réaliser. C'était un fantasme qu'elle avait depuis toute jeune, ses douze ans, dans ces eaux là. Elle n'osait même pas y penser, et pourtant cela revenait malgré elle par moment, surtout au moment d'aller aux toilettes. Même quand elle était célibataire, elle n'avait jamais osé le réaliser. C'était honteux et sale, mais cela lui était arrivé une fois par accident et cela lui avait procuré une forme de plaisir inattendu et très particulier.

La journée de travail se terminait pour Valérie. Ce soir là, Franck était pris par ses obligations de magistrat à Paris où il était parti pour la journée et il ne rentrerait que le lendemain. Valérie rentra donc chez elle, seule. Elle ouvrit la porte d'entrée de son domicile, posa ses affaires, comme d'habitude et alla au petit coin, tel un rituel bien rôdé. Elle repensa, à cet instant à son fantasme. Elle allait baisser sa culotte, comme d'habitude, puis d'un coup, elle la remit et elle s'assit sur la cuvette des toilettes. Après un moment d'hésitation, elle se lâcha et fit pipi dans sa culotte. Elle sentit la chaleur du liquide inonder sa culotte et ses cuisses. Elle retrouva cette sensation si particulière et agréable qu'elle avait ressenti lors de son "accident". C'était la première fois qu'elle le faisait volontairement. Elle aimait ce qu'elle ressentait, cette façon de régresser. Toutefois, il lui manquait encore quelque chose. Elle mit sa culotte au sale, se nettoya avec des linguettes douces (elle les préférait au papier toilette) et sortit des toilettes perdues dans ses réflexions. Elle n'avait pas remis de culotte. Elle se toucha machinalement les fesses. En faisant cela, elle eut un déclic. Elle savait exactement ce qui lui manquait ! Les conséquences de sa "bêtise" volontaire : une bonne fessée bien cuisante, comme la petite fille qu'elle était à cet instant. Cette pensée l'excitait au plus haut point. Elle s'allongea sur le canapé et commença à se caresser. Il ne lui fallut pas plus de cinq minutes pour arriver à un orgasme intense.

L'heure du repas approchait, elle se prépara à manger comme à son habitude. Elle n'avait toujours pas remis de culotte et ça ne la gênait pas. Cela aussi était étonnant pour elle, comme si la réalisation, même partielle, de son fantasme avait libéré quelque chose en elle. Une fois le repas terminé, elle essaya de faire le point dans toutes ses pensées. Qu'est-ce qui la faisait tant vibrer ? Salir sa culotte n'était qu'un  indice, et la fessée aussi. C'était quoi, le point commun ? Le seul moyen de le savoir, c'était de remonter dans son histoire, dans son enfance.

Que n'avait-elle pas pu vivre ? Elle avait eu une enfance heureuse, choyée et aimée. Elle faisait ce qu'elle voulait tout en respectant les règles et les valeurs que ses parents, qu'elle adorait, lui avait apprise. Elle avait une sœur, de deux sa cadette, avec un caractère très différent, très rebelle. Pourtant ses parents avaient réussi à la canaliser sans avoir eu besoin de quelconques châtiments corporels alors qu'elle aurait bien mérité quelques fessées. Ils s'y étaient toujours opposés, pour l'une comme pour l'autre. Malgré ce caractère impétueux, sa sœur avait réussi sa vie, mariée à un homme admirable et très gentil, attentionné. Elle avait un travail valorisant au sein d'une entreprise qui la payait bien. Sa mère s'occupait merveilleusement bien des deux filles alors que son père s'assurait de gagner l'argent de la famille. Et pourtant, c'était un père présent qui savait imposer les règles intelligemment avec autorité et bienveillance. C'était aussi un père très affectueux qui passait énormément de temps à câliner ses filles et Valérie se souvenait de ces moments avec infiniment de tendresse et de nostalgie. Et pourtant, tout autant que sa sœur, elle en avait fait des bêtises. Et pas seulement des petites ! Elle se souvenait de cette fois où elles étaient montées à deux sur un vélo qui n'avait pas de porte bagage. Sa sœur, Agnès, était monté sur la selle tandis que Valérie était assise sur le guidon. Leur père les avait surpris et s'était mis très en colère. C'est une des seules fois où elle avait craint de prendre une fessée monumentale ! Mais il s'était contenté de les sermonner vertement et de les priver de sortie pendant quinze jours. Les deux filles pleuraient toutes les larmes de leurs corps, mais il ne céda pas et elles furent surveillées de très près. En y repensant, Valérie regretta de ne pas avoir eu une très bonne fessée pour ça, elle l'aurait largement méritée et elle n'en aurait pas voulu à son père s'il l'avait fait.

A ce moment de ses réflexions, elle comprit ce qu'il lui manquait, les raisons de son fantasme et les raisons de ses échecs sentimentaux. Elle voulait être aimée comme la femme qu'elle était, et comme la petite fille qu'elle avait été. Cette petite fille en elle voulait un cadre plus strict que ce qu'elle avait eu. Elle voulait être punie pour toutes les fois où elle aurait mérité une bonne fessée. Si elle ne pouvait pas être punie pour ses bêtises d'enfance, elle pourrait l'être pour ses bêtises de jeune fille actuelle. Il faudrait qu'elle en parle avec Franck et voir si c'était possible car c'était un besoin grandissant chez elle. Elle avait besoin de régresser pour pouvoir avancer.

"Coucou, mon amour, quand tu seras rentré, je voudrais te parler de quelque chose... Je t'aime !" fut le SMS qu'elle lui envoya.

Franck rentra effectivement le lendemain. Le soir, après le travail, il retrouva Valérie chez lui. Après de longs câlins, ils discutèrent :

"Que puis-je faire pour toi, mon amour ? Demanda-t-il.

- Énormément, mais laisse-moi t'expliquer : j'ai vécu une enfance hyper heureuse, vois-tu ? Vraiment, j'ai des parents idéaux, c'est rare que les enfants disent ça de leur parents. Même quand je faisais des grosses bêtises, ils ne s'énervaient pas, ils essayaient de me faire comprendre pourquoi c'était une grosse bêtise et j'avais une punition, genre privations de sortie ou des trucs comme ça, mais rien d'autre. J'étais aimée et choyée.

- Mais ?

- Je crois que j'aurais voulu qu'ils soient plus sévères, et j'adorais être câlinée aussi.

- Je ne te suis pas, là... Où veux tu en venir ?

- A ceci : je voudrais que tu sois mon amant mais pas que. Je voudrais aussi que tu sois comme un père qui me discipline quand je fais des bêtises, j'ai besoin de me sentir, peut-être pas comme une petite fille, mais comme une ado-gamine qui a besoin d'être cadrée. J'ai envie de me laisser aller à cette régression.

- Hmmm d'accord, mais tu verrais ça comment dans les faits ?

- J'aimerais que tu me punisses pour chaque bêtise que je fais.

- Mais, quelles bêtises ? Tu n'en fais jamais !

- Ben euh... Justement ! Ça va changer et je vais faire plein de bêtises ! Affirma-t-elle en riant.

- Ça, je n'y crois pas un instant !

- Tu verras ! Plus sérieusement, j'ai envie de redevenir cette ado pas toujours sage, que j'ai été, dans tes bras. J'ai vraiment envie de me laisser aller, de ne plus avoir à faire attention car je sais que si je dépasse les limites, tu me corrigeras. Et je voudrais que tu me corriges à la manière d'une vraie gamine, pour le coup. Et aussi, je vais faire des choses qui risquent de te choquer mais qui me procurent un certain plaisir. Je vais être insolente et désobéissante car je ne l'ai jamais trop été avec mes parents.

- Ils étaient sévères avec toi ?

- Non, justement. Ils étaient trop adorables et du coup, je n'avais pas envie de les décevoir. Mais ça m'a aussi empêché de me libérer et finalement d'être moi-même.

- Et qui es-tu, alors ?

- Tu vas le découvrir ! Une sale gamine mal élevée qui va faire plein de bêtises juste pour attirer ton attention.

- Tu as vraiment envie de ça ? Répondit-il en riant.

- C'est pire, c'est un besoin. J'espère juste que cela ne va pas te faire peur ou que ça ne va pas te rebuter.

- Je crois que si tu étais parfaite tout le temps, je m'ennuierais au bout d'un moment et j'ai tendance à beaucoup aimer les gamines pas trop sage... Mais attention, jeune fille, tu t'exposes à avoir les fesses très rouges.

- Mais je n'attends que ça. Il va falloir que tu me surveilles, par contre. Et pour tout ! Tu te sens prêt à ça ?

- Ça va être un vrai challenge et un plaisir pour moi. En plus, cela m'apporte quelque chose qui me manquait avec ma défunte femme, ce côté un peu chipie.

- Et euuuh... Il y a autre chose... Osa Valérie.

- Dis-moi...

- J'ai honte de te dire ça. J'ai un fantasme bizarre, tu vois ?

- Lequel? Je ne vais pas te juger, ne t'inquiète pas.

- Bon, tant pis, je me lance. J'adore faire pipi dans ma culotte, ou me laisser aller dans le lit par exemple.

- Bah, du moment que tu nettoies après...

- Non, enfin oui, mais j'ai aussi besoin d'être punie pour ça, sinon il me manque quelque chose.

- Ça voudra dire qu'il faudra que je fasse des...contrôles... Tu vois ce que je veux dire ?

- Oui, tout à fait et fais-les quand tu veux. Et euuuh, il faudra aussi que tu contrôles mes masturbations...

- Tu y as souvent recours ?

- Oui, trop souvent, alors il faudra que tu contrôle, là aussi. Et je voudrais aussi que tu décides de ma façon de m'habiller.

- Je ne vois pas de problème à ta façon de t'habiller jusqu'ici...

- Je voudrais que mes tenues soient celles qui te font plaisir...

- Bon, tu es sûre ?

- Oui, en fait, tout ça, c'est parce que je veux être à toi. Complètement. Entièrement. Sans aucune restriction. Et sans rien te cacher. Tu veux bien ?

- Comment je pourrais refuser un tel cadeau. Et pour ma part, je ferai tout pour prendre soin de toi.

- A propos de ça...je voudrais aussi que ce soit toi qui t'occupes de mon hygiène. Ma douche, ou mon bain enfin...tout, quoi, tu vas avoir du boulot... Et désormais, je dois t'obéir en tout. Je veux pour être vraiment libre être attachée complètement à toi et que tu décides de tout pour moi.

- Whouaou, à ce point là ?

- Oui, j'en ai vraiment besoin. Parce que quand j'aime, ce n'est pas à moitié. Alors si tu souhaites vraiment qu'on vive quelque chose sur le long terme, je veux savoir si tu es prêt à t'engager.

- Hum, je vois. D'accord, mais j'y mets une et une seule condition : tu déménages et tu viens vivre ici.

- Ouiiiiiii !!! Je chercherai mes affaires dès demain ! "

Le pacte était conclu. Et ils tombèrent dans les bras l'un de l'autre pour s'embrasser fougueusement.

"Tu as une drôle de manière de faire les choses, finit-il par dire.

- Et encore, tu n'as rien vu ! Je me suis retenu depuis que je suis petite. J'ai envie de pouvoir me lâcher même si ça doit me coûter de bonnes fessées !

- Je sens que je vais bien m'amuser.

- Oui, et moi aussi, fit-elle avec un sourire plein de malice.

- Je voulais te poser une question : tu es sûre que je suis la bonne personne pour toi ?

- Oui, je ne me suis jamais sentie aussi sûre de ça. Il y a quelque chose en toi qui fait que je ne pourrai jamais envisager autre chose qui me corresponde aussi bien. C'est rare de se sentir comme ça. De pouvoir se dire :"C'est avec cette personne que je veux passer le reste de ma vie." Alors je sais qu'il peut se passer plein de choses plus ou moins agréables au fil de notre vie mais je ne veux pas passer à côté de la chance que tu représentes pour moi. Et si tu ressens, ne serait-ce que le dixième de ce que je ressens pour toi, alors laisse moi entrer dans ta vie, laisse moi être celle qui fera tout pour te rendre heureux. "

Franck avait les larmes aux yeux en attendant cette déclaration d'amour. Il ne sut quoi dire, alors il l'a serra contre lui et la câlina le plus tendrement qu'il put le faire. Et elle était au paradis. 

A suivre.... 

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