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Histoire fictive : une fille très spéciale 30

Episode 30 : Applications pratiques...

Les règles avaient été établies entre Frank et Valérie. Elles étaient claires, réalisables et mesurables, leurs applications allaient être mises en œuvre dès aujourd'hui, samedi. En plus des règles évidentes de respect mutuel, Valérie avait souhaité que des règles plus spécifiques soient mise en place avec des punitions, elles aussi spécifiques. Valérie se savait capricieuse et avait du mal avec la frustration qui pouvait dégénérer en crise incontrôlable rapidement. Cela arrivait surtout lorsqu'elle était sous pression ou si elle était fatiguée. Afin de parer un minimum aux risques de crises, avant toute sortie (shopping, repas en extérieur, ou autres), elle devra recevoir une fessée de prévention. Celle-ci devra être suffisamment sévère pour qu'elle fasse tout pour éviter une crise. Elle avait aussi interdiction de se masturber sans permission en dehors de la maison. Une infraction à cette règle donnerait lieu à une sévère correction dès que possible et la possible privation de certains privilèges. Concernant ses études, elle avait également demandé à Franck de la corriger sévèrement en cas de retard dans les devoirs ou de travail insuffisant. Quant à son fantasme particulier, elle ne pourra le réaliser qu'avec autorisation. Toute infraction donnera lieu à de sévères fessées. Il y avait de quoi faire avec tout ça. Malgré tout, ils s'étaient accordés un espace de jeu dans ces règles ou les punitions seraient bien plus amusantes. Les provocations diverses et variées et les "petites" bêtises en faisaient partie. Toutefois ces fessées là, même si plus légères, elles les sentaient quand même passer.
Valérie découvrait ce mode de vie particulier et si elle avait été très anxieuse au début, elle y prenait goût. En fait, elle adorait cette forme de prise en charge. Toute sa vie, elle avait été une fille modèle, quitte à oublier ce qu'elle était réellement, sa propre identité. Aujourd'hui, elle pouvait être elle-même sans retenue, sans crainte d'être jugée. Elle avait décidé de laisser Franck la modeler comme il le souhaitait. Elle pouvait être espiègle, chipie, ou carrément une "sale gamine", Franck l'appréciait sans la juger, telle qu'elle était, d'autant que c'était une fille adorable et affectueuse la plupart du temps. 
Franck était tout aussi heureux de la tournure que prenait la relation entre lui et Valérie. Elle était adorable et elle savait exprimer ses besoins et envies. Ce n'était pas si fréquent. C'était une femme intelligente qui savait ce qu'elle voulait, qui savait s'entourer des bonnes personnes et qui faisait preuve de générosité. Il reconnut en lui-même qu'il aurait du mal à lui mettre des fessées sévères car elle ne le méritait pas. Elle s'était débrouillée plus ou moins seule et s'en était très bien sortie. Pourtant, elle souhaitait être tenue, il ne comprenait pas bien pourquoi. Alors décida de demander conseil à Luc et Lisa. C'est surtout cette dernière qui lui fit comprendre l'état d'esprit de Valérie. 
"Vous savez, Franck, lui dit-elle, souvent, la vie d'adulte nous fait oublier qu'on a été des enfants, des ados et pour peu qu'on se soit bridé durant ces périodes essentielles, on a envie de pouvoir les vivre, même si c'est plus tard, d'où ce besoin de régression. Il y a aussi qu'en tant qu'adulte, énormément de responsabilités pèsent sur nous. On se met des interdits, la plupart pour des raisons sociales, d'autres pour des raisons morales. Alors on sature, il n'y a pas de soupape de sécurité et on finit par exploser. Peu de gens comprennent ça car eux-mêmes sont dans cette situation et vivent avec. La question, c'est qu'ils ne sont pas forcément heureux comme ça. Si vous leur posez la question, ils vous diront que si car la plupart du temps, ils sont dans le déni. Mais en réalité, ils ne vivent pas pleinement leur vie. Quand ils s'en aperçoivent, c'est trop tard. Pour ma part, j'ai décidé de vivre pleinement et librement ma vie et ainsi de retrouver mon identité. Croyez-moi, depuis que je suis avec Luc, je me sens libre et comblée parce que je n'ai pas besoin de cacher quoique ce soit. 
- Je comprends, dit Franck, mais quelle place à la fessée dans tout ça, c'est quoi son rôle ? Ce n'est pas purement disciplinaire ? 
- Chacun donne une place qui lui est propre à la fessée. Pour Nathalie et moi, il s'agit avant tout d'un geste d'amour. La preuve que nous avons une importance primordiale dans la vie de Luc. Il faut que vous demandiez à Valérie ce que cela représente pour elle. 
- D'accord, merci, Lisa. 
- Je vous en prie. 
- Euh, ça vous gênerait beaucoup de me tutoyer, Lisa ? 
- Non, je te vouvoyais par respect pour la fonction et tu es mon boss. 
- Euh justement, à ce propos... J'aimerais que tu sois mon égale, autant sur le papier que dans les faits. J'ai besoin de tes avis, de tes appréciations sur les affaires. J'aimerais que tu aies les mêmes privilèges. Si tu veux bien... 
- Oooh! C'est une sacrée marque de confiance et j'essaierai de ne pas vous décevoir. 
- Bon, c'est acté, alors. Tu pourras présider les audiences au même titre que moi. 
- Whaou, merci... 
- Tu le mérites. Et continue de préparer Valérie. Et si elle doit prendre une fessée, ne te gêne pas ! 
- D'accord. " dit-elle en riant. 

Il appela Valérie qui était encore dans la chambre :
"Je peux te poser une question sérieuse ? 
- Pourquoi, je ne suis pas sérieuse, d'habitude ?" 
Deux claques sur ses fesses la rappela à l'ordre. 
"Pardon, dit-elle en se frottant les fesses. 
- Bon, voilà ma question : dans ta vie, quelle place a la fessée ? 
- Tu sais, je l'ai découverte il y a peu de temps. Je vais regretter ce que je vais dire, mais j'ai appris à l'apprécier et même à l'aimer au point que c'est devenu un besoin. Si ça fait trop longtemps que je n'en ai pas eu, je me sens frustrée, en manque. Tiens, je te donne un exemple : tu viens de me mettre deux bonnes claques sur les fesses. OK, ça fait mal, je ne vais pas dire le contraire, mais ça fait partie des plus beaux gestes d'amour que tu peux me donner, et en fait, intérieurement, ça me un bien fou. C'est aussi intense que quand tu me fais l'amour. D'ailleurs, il faut que je te dise, la fessée m'excite aussi. Ça, c'est Lisa qui m'en a fait prendre conscience. Alors la réponse à ta question, c'est qu'aujourd'hui, je ne pourrais pas vivre sans. Et pourtant, qu'est ce que je les crains. Je crois que cette crainte fait partie du plaisir et du besoin que je ressens. C'est d'autant plus vrai que la fessée est plus sévère. Et tu sais quoi ? Je commence à aimer vraiment ça, cette brûlure sur mes fesses après une bonne correction me rappelle simplement à quel point tu m'aimes. Si tu ne m'aimais pas, tu ne serais pas inquiet pour moi, et tu ne chercherais pas non plus à satisfaire mes besoins ou mes envies.
- Je vois... Et je comprends."

Ainsi, c'était bien ce que lui avait expliqué Lisa, et elle avait eu raison sur toute la ligne ! C'était la première fois qu'il avait une fille comme ça. Même sa femme n'avait pas cet attrait pour la fessée. Valérie se découvrait elle-même par la liberté d'être qu'elle avait avec Franck. Elle n'avait à se cacher de rien à tel point qu'elle lui fit une demande étrange :
"J'espère que ça ne va pas te choquer... J'ai une requête à te faire...
- Je suis toute ouïe...
- J'aimerais réaliser un fantasme, j'aimerais bien me laisser aller une fois à faire pipi au lit... Juste par flemmardise, tu vois. Évidemment je m'occupe du nettoyage après. Je voudrais aussi, pour que mon fantasme soit complet, que tu me grondes et que tu me donnes une bonne fessée pour ça... Si tu ne veux pas, je comprendrais, tu sais...
- Je n'y vois aucun inconvénient, et après t'avoir punie, je te nettoierai à la salle de bain aussi. Je crois que je vais adorer te corriger et prendre soin de toi comme une petite fille. On mettra une alèse pour protéger le matelas. "
Valérie se jetta dans les bras de son homme et l'embrassa amoureusement. C'était exactement ce qu'elle désirait et elle espérait même qu'il lui donnerait une autre fessée après l'avoir nettoyée... Elle pensait même à le provoquer pour être sûre d'avoir une fessée supplémentaire. Rien que d'y penser l'excitait. Aussi, si précipita-t-elle dans la chambre, défit le lit, posa une alèse sur le matelas et refit le lit. Elle prit également la précaution de mettre plusieurs grandes serviettes éponges entre le drap et l'alèse. Ça éviterait de changer l'alèse à chaque fois, car elle comptait bien faire ça plusieurs fois. Tout était prêt...
Le soir, ils sortirent, mais avant, elle reçut, comme convenu, une fessée d'avertissement. Celle-ci fut suffisamment dissuasive pour éviter toute bêtise. De fait, cette soirée fut parfaite et ils rentrèrent fatigués mais satisfaits. Malgré leur vie commune, Franck avait toujours du mal à dormir avec quelqu'un à côté de lui. Alors ils dormaient dans deux lits séparés mais mis côte à côte. Ainsi, les matelas étaient indépendants et chacun avait sa bulle pour dormir. Cela convenait aussi à Valérie qui avait trop pris l'habitude de dormir seule. 
Ils s'endormirent rapidement. Cette nuit là, Valérie fit un rêve érotique. Elle se réveilla excitée au possible. Il faisait encore nuit et Franck dormait à point fermé. Elle commença à descendre sa main sur son pubis et son index trouva vite ce petit bout de chair si sensible qu'elle commença à masser doucement. Elle était si excitée que son doigt était déjà tout mouillé et les sensations montaient très vite la faisant se tordre de plaisir. Elle avait gardé sa culotte et elle avait passé sa main dessous. Ça n'empêchait pas ses effluves de mouiller abondamment celle-ci. Ça ne faisait que l'exciter encore davantage. Évidemment, l'orgasme arriva très vite et elle se rendormit satisfaite. 
Deux heures plus tard, vers six heures du matin, une envie pressante se fit sentir mais elle avait vraiment la flemme de se lever. Elle était encore à moitié endormie. Elle n'avait vraiment pas envie de se lever. Elle fit glisser sa culotte aux chevilles et la balança négligemment sur le côté du lit. Elle relèva un peu ses jambes et les écarta. Elle hésita mais sa vessie n'en pouvait plus alors elle se laissa aller, en se retenant un peu. Juste assez pour sentir le liquide chaud couler le long de ses fesses et l'inonder. La sensation était agréable, alors, elle se libéra complètement et ce fut un vrai soulagement. Elle resta ainsi un peu baigné par le liquide chaud que les serviettes éponges n'avaient pas pu totalement absorber et sombra à nouveau malgré elle dans le sommeil.
Deux heures plus tard, il était l'heure de se lever. Franck se réveilla le premier et prépara le petit-déjeuner. Valérie se réveilla un peu plus tard à la bourre. Elle sortit du lit remit sa culotte à la hâte, une chemise et alla déjeuner. 
"Bien dormi ? Demanda Franck. 
- Comme une souche ! Mentit Valérie. 
- Approche !" 
Celle-ci s'approcha de son homme qui l'embrassa amoureusement. Mais il sentit aussi une odeur suspecte. Il baissa avec autorité la culotte de Valérie dans laquelle il vit la tâche de ses émois de la nuit. Mais ça n'expliquait pas l'odeur. Il comprit très vite. Il lui enleva la culotte et la pencha sur ses genoux. Il commença alors une fessée sévère. 
"Tu as fait pipi au lit, n'est-ce pas ? 
- Ouiiiiiii ! Dit-elle en pleurant déjà. 
- Tu vas voir tes fesses !" 
Et les claques tombèrent plus dru et plus fort. Valérie suppliait, et pleurait toutes les larmes de son corps, ses fesses rougirent très rapidement. Au bout de deux minutes de ce régime, il arrêta, la releva et la prit par l'oreille pour l'emmener à la douche. Il la lava soigneusement tout en continuant de la gronder et de la fesser par moment. La peau irritée et mouillée intensifiait la douleur des claques ! C'était vraiment une bonne punition et c'était exactement ce qu'elle avait souhaité. Mais ça faisait bien mal quand même. Une fois séchée, toujours par les soins de Franck, celui la traîna au salon, et la repencha sur ses genoux :
"Non, s'il te plaît, pas une autre fessée ! Suppliait-elle. 
- Oh que si, tu vas aller au bureau avec les fesses bien brûlantes ! J'y tiens. Et en plus tu vas y aller en jupe sans culotte pour la journée ! Ça t'apprendra à faire pipi au lit !" 
Les claques tombèrent sur les fesses déjà bien douloureuses de Valérie pendant cinq bonnes minutes supplémentaires. Juste après la douche, c'était presque insupportable. Elle s'en souviendrait de cette fessée ! Mais qu'est-ce qu'elle l'avait désirée, cette punition. Son fantasme s'était enfin réalisé en totalité et elle se sentait apaisée. Une fois la fessée terminée, Franck l'envoya dans la chambre pour qu'elle change ses draps et les serviettes. Par chance, l'alèse était restée propre, elle n'aurait pas à la changer. Ensuite, elle s'habilla. Elle revint au salon prête pour aller au travail mais Franck l'attrapa par le bras, releva sa jupe et lui assena une bonne vingtaine de claques sur ses fesses. 
"Tu as de la chance, la prochaine fois, ce sera sur les cuisses ! J'espère que tu vas être très sage aujourd'hui ! 
- Ouiiiiiii ! Promiiiis !" Pleurait-elle à nouveau. 
Ils attrapèrent leurs affaires, et sortirent de la maison, non sans s'embrasser amoureusement avant. Valérie remercia son homme pour cette punition et lui assura avec beaucoup d'espièglerie qu'elle recommencera. Il lui répondit qu'il avait trouvé beaucoup de plaisir à la punir de cette façon mais qu'elle aurait de nouveau les fesses très brûlantes. Décidément, oui, il aimait cette fille adorable et chipie. Il ne s'en serait pas douté avant de la connaître. 
Arrivée au bureau, elle se mit au service de Lisa comme d'habitude. C'était calme, ce matin. Aucune affaire ne traînait sur le bureau de la patronne donc elles prirent du temps pour bavarder. Valérie raconta sa nuit et sa matinée à Lisa qui écoutait attentivement. 
"Tu crois que tu peux me montrer ? 
- Oh ben tu as déjà vu mes fesses, alors..." 
Elle releva sa jupe, offrant une vue indéniablement sexy sur ses fesses rouges à Lisa. 
"Ah oui, il ne t'a pas épargné. Je vois qu'il peut être aussi sévère que Luc. Et tu as ressenti quoi ? 
- A part la brûlure des claques, tu veux dire ? Un véritable apaisement du fait d'avoir réalisé mon fantasme, comme si je m'étais libérée d'un poids. C'est étrange comme sensation, et ça me fait un bien fou. Pour la première fois, je crois pouvoir dire que j'aime être fessée pour les sensations que ça me procure, douleur, excitation, apaisement, lâché prise... 
- Tu n'es qu'au début de ton voyage dans le monde de la fessée. Tu as un bon fesseur qui sait t'écouter sans te juger et sans aller trop loin. C'est une bonne chose, ce sera un bon guide et il te fera découvrir des choses dont tu n'as pas idée. En plus, ils échangent beaucoup plus avec Luc, ils en parlent forcément et Luc est quelqu'un de très expérimenté. 
- J'ai hâte."
La matinée se passa ainsi, à discuter et aussi à travailler ses études pour Valérie, mais la journée ne faisait que commencer. 

A suivre... 

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